L’institut africain de musique annonce le début des cours dans ses cycles Licence et Master, respectivement pour octobre et avril 2018.

African music institute ouvre ses Licences et Masters. © AMI

 

L’institut africain de music, en partenariat avec le Berklee College of Music de Boston, ouvre ses formations diplômantes en Licence et Master. Les candidatures pour ces deux parcours sont attendues sur www.africanmusic-institute.org.

La sélection des candidatures se déroulera en 3 étapes. Les candidats doivent au préalable soumettre des vidéos de leurs performances et l’ensemble des documents exigés sur le site officiel de l’établissement. A l’issue de cette étape, les candidats retenus passeront un entretien et une audition avec le directeur exécutif de l’institut et un professeur du Berklee College of Music.

Le parcours Licence s’organise autour de trois programmes intégrés : le programme d’enseignement général, la formation musicale et la spécialisation. Les trois spécialisations retenues sont : Bachelor performance, Bachelor songwriting et Bachelor electronic & design.

Le parcours Master qui se déroule un an comprend deux spécialités : Media management et Media production.

«Les cours seront dispensés en anglais, une mise à niveau est prévue afin que chaque élève puisse s’enrichir et développer sa créativité musicale sans barrage de la langue. Les cours de base de Berklee seraient enrichis de contenus spécifiques à l’Afrique tels que des exemples et des styles de musique trouvés sur le continent, des contextes historiques, des histoires et des anecdotes.», précise la direction de l’école.

Cet établissement situé à la Sablière, en face de l’hôtel Onomo, au nord de Libreville, devrait accueillir environ 140 étudiants chaque année. Il bénéficie de ressources technologiques optimales : studios d’enregistrements, équipements et installations de pointes, salle de spectacle, studios de télévision, régies vidéo et son.

 
GR
 

3 Commentaires

  1. Moi dit :

    Le pays des paradoxes où ali bongo souhaite réaliser tous ses délirs maintenant que rien ne peut le résister.
    -On fait venir des musiciens américains pour apprendre aux Gabonais leurs musiques. La musique est un fait culturel. Chaque culture produit sa musique conformément à son ou ses identité -s.
    -On dote cette institut de moyens techniques quand la « bibliothèque » de l’université de Libreville manque de dictionnaire et qu’à Masuku tout reste théorique; les « scientifique » devant tout imaginer jusqu’au tube à essaie.
    -où travailleront nos mozards? La fonction publique fera-t-elle une dérogation pour les kounabélistes?

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