Du 28 novembre au 2 décembre 2016, trois villes du pays accueilleront et exploreront à leur manière le monde et notre temps, à travers la 11e édition de la balade du film documentaire qui réunit réalisateurs, programmateurs, critiques, spectateurs, autour de projections, formations, appels à projet, rencontres et conférences.

© Gabonreview/Shutterstock

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Onze années après sa mise en route par le défunt Charles Mensah, alors directeur du Centre national du cinéma (Cenaci), et Guy Lacroix, l’ancien directeur du Centre culturel français (CCF), le film documentaire poursuit ses écales sur le territoire national, à travers les villes de Libreville, Port-Gentil et Moanda pour la promotion des réalisations africaines et gabonaises en particulier.

Cette année, neuf grandes activités maintiendront les écrans allumés sur les différents sites de projections. Il s’agit entre autres, de la remise du prix Charles Mensah et prix spécial du jury ; la production et la distribution gratuite du journal du festival par l’Association des critiques gabonais d’art et cinéma (Acrigac), le lancement d’un concours citoyen filmeur, citoyen acteur qui primera deux meilleures réalisations à l’aide du téléphone portable ; l’organisation d’un colloque TV5 Monde et DIFFA sous le thème «la distribution des films en Afrique Centrale», un master class à l’intention des réalisateurs gabonais confirmés ou en devenir, ainsi qu’une soirée hommage au père du cinéma gabonais Philippe Maury décédé le 7 juin 2016.

Ces activités se dérouleront sur les sites ci-après : l’Institut français du Gabon (IFG), l’Université Omar Bongo (UOB), certains lycées et collèges de Libreville, Port-Gentil et Moanda. Ces sites feront voyager les cinéphiles dans ce genre cinématographique, le documentaire, qui ne cesse de s’épanouir et de s’affirmer en un univers riche et multiple.

«Les Escales documentaire de Libreville sont un des moments forts de la vie culturelle de notre capitale. Cette année encore le festival placera Libreville au cœur de la création. Le public pourra ainsi découvrir une riche programmation de près de 30 films provenant de plusieurs pays d’Afrique et du monde», assurent l’Institut gabonais de l’image et du son (Igis) et son fidèle partenaire l’Institut français du Gabon (IFG).

 

 
GR
 

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