Les rideaux de la 11e édition de la balade documentaire de Libreville sont tombés le 2 décembre 2016, avec la remise des cinq récompenses mis en jeu pour cette année.

Clôture des Escales documentaires de Libreville. © Gabonreview

Clôture des Escales documentaires de Libreville. © Gabonreview

 

La 11e édition des Escales documentaires de Libreville s’est achevée. Les trophées du prix Charles Mensah, du prix spécial du jury, du prix de la jeunesse et les deux prix de la commune de Libreville ont été distribués le 2 décembre dernier aux lauréats, en présence du ministre délégué en charge de la Communication, de la Culture, Jean Olivier Koumba Mboumba.

Quelques moments des Escales documentaires de Libreville. © Gabonreview

Quelques moments des Escales documentaires de Libreville. © Gabonreview

Pour ce rendez-vous riche en programmation, avec 22 films provenant de plusieurs pays d’Afrique et du monde, quinze réalisations étaient en compétition pour cinq récompenses offertes. «Le choix fut difficile, car les films en compétition étaient tous de qualités. Nous avons remarqué l’excellent niveau de tous ces films, des dialogues brillants, des images inventives, la maitrise du sujet par les réalisateurs…», a souligné le président du jury, Simon Augé.

Le palmarès 2016 des Escales documentaire de Libreville brille de l’éclat des films ci-apres.

  • Prix Charles Mensah : «Cheikh Anta Diop (Kemtiyu)» d’Ousmane William Mbaye
  • Prix spécial du jury : «The stormmakers (Ceux qui amènent la tempête)» de Guillaume Suon
  • Mention spéciale du prix spécial du jury : «L’arbre sans fruit» d’Aïcha Macky
  • Prix de la jeunesse : «Sembene Ousmane» de Gadjigo et Jason Sylverman
  • Mention spéciale du prix de la jeunesse : «Philippe Maury, Ombres et Lumière d’une légende» de MaggocYoungou
  • 1er prix de la commune de Libreville : «2ans et responsable» d’Yves Mathieu Moudounga
  • 2e prix de la commune de Libreville : «Laisse-moi dans le bac» d’Herman Nzamba

Un peu émus que cette édition s’achève, mais si heureux de sa réussite, le directeur général de l’Institut gabonaise de l’image et du son Henri-Joseph Koumba et la directrice de l’Institut français du Gabon, Bérénice Deschamps ; ont salué tous ceux qui les ont accompagnés, humainement et financièrement dans cette aventure documentaire, souhaitant sa pérennité pour plusieurs milliers d’épisodes. «Les EDL constituent l’un des moments forts de la vie culturelle de la capitale gabonaises», ont-ils affirmé. Vivement qu’elles reviennent plus flamboyantes et éclectiques.

 
GR
 

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