Organisée sous le thème «Diversité culturelle et construction de la Nation», la 14e édition de la Fête des cultures est célébrée du 25 au 27 mai à Libreville. Villages de la culture et d’arts culinaires, concours de talents, concert, conférences… sont autant d’évènements prévus à cet effet, entre l’arrière-rue du Sénat et l’avenue Jean-Paul II.

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Revenue sur le devant de la scène en 2017, après cinq ans d’absence, la Fête des cultures se tient du 25 au 27 mai à Libreville. Initiée en 1997, elle permet notamment aux populations d’être en phase avec toutes les diversités culturelles locales à travers les danses traditionnelles, les rites et la gastronomie, notamment. Pour cette 14e édition, le thème retenu est «Diversité culturelle et construction de la Nation».

Selon le ministère en charge en de Culture, plusieurs événements seront organisés à cet effet. La journée du 26 mai donnera notamment lieu à l’ouverture des villages de la culture, des arts culinaires et des enfants. Cela marquera également le début du concours de talents sur la scène du boulevard Jean Paul II, suivi d’un grand concert. La célébration de la journée se poursuivra le lendemain, le 27 mai, avec l’ouverture des festivités, la suite et la fin du concours de talents. Puis, le concert de clôture.

Toutes ces manifestations auront pour épicentre l’avenue Jean-Paul II à Libreville. Le village culinaire devrait prendre ses quartiers dans la rue située entre le siège local de la BEAC et le rond-point des Cocotiers, derrière le siège du Sénat. Le village des enfants devrait, lui, camper dan l’enceinte l’Inspection délégué d’Académie jouxtant l’école Martine Oulabou.

Mais avant, la Fête des cultures 2018 sera marquée, le 25 mai, par une série de conférences sur la «Diversité culturelle et construction de la Nation». Les communications prévues à cet effet s’articuleront autour de quatre axes : histoire de la construction de l’Etat au Gabon ; penser la culture nationale aujourd’hui ; multi-culturalité, société et modernité ; langues, littératures et identité nationale.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. AIRBORNE dit :

    Aucun impact économique ni social. Juste du divertissement et des retrouvailles des pots,amis, beau freres, belle soeurs, autour d’une partie de songho, elone, plat de meyaga, nyenbwet, le timba, l’ipoti, arrosé de musungu, malamba, moinaboka. Rien d’autre que divertir les gabonais dans leur souffrance. Après là y a quoi même?

  2. Rév. Pasteur Israël Nahum dit :

    La culture dans la diversité gabonaise devra être fêté quand on est libre et non soumis au diktat des dieux de mensonges qui promettent mont et ciel.
    Vive Dieu et vive le Gabon

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