Des études de faisabilité en vue du bitumage des tronçons routiers Kougouleu-Medouneu, Makokou-Mekambo-Ekata et Oyem-Assok Medzeng devraient bientôt commencer au Gabon, à l’initiative de la commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac).

La Cemac va bitumer trois tronçons routiers au Gabon, au nom de la libre circulation. © Gabon.lesgillaux.fr

 

C’est bientôt la fin du calvaire pour les usagers de la route du Gabon. C’est du moins ce qui ressort des avis à manifestation d’intérêt lancés le 19 juin dernier par la Commission de la Cemac, qui envisage de recruter des experts chargés d’étudier la faisabilité du bitumage de trois tronçons de route dans le pays, d’une longueur totale de 468 kilomètres.

Il s’agit, précise la Commission, des tronçons de route Oyem-Assok Medzeng (40 km), Makokou-Mekambo-Ekata (260 km) et Kougouleu-Medouneu (168 km), le maillon manquant de la liaison routière Libreville-Bata (Guinée équatoriale).

Le bitumage de ces voies répond à l’une des missions principales de la Cemac, consistant à «promouvoir un développement harmonieux des Etats membres dans le cadre d’un véritable marché commun, basé sur la libre circulation des personnes et des biens». Pour le Pr Daniel Ona Ondo, président de la Commission de la Cemac, l’accomplissement de cette mission passe par «la réalisation et le développement d’infrastructures fiables», à l’instar de ces trois routes pour lesquelles les populations attendaient des travaux depuis plusieurs années.

Les études de faisabilité qui seront bientôt lancées seront financées par le Fonds de développement économique (Fodec).

 
GR
 

3 Commentaires

  1. Maganga dit :

    Un gros canular electoralithique.

  2. Okoss dit :

    CEMAC ou bien l état gabonais?
    Faut être clair car ils viendront encore inaugurer.
    Au fait c est qd la fin des travaux pk5 _pk12.
    7 km en 5 ans c est simplement #$^*&
    N est ce pas frérot Nkogue Bekale

  3. Matho dit :

    « Bientôt la fin du calvaire pour les usagers de la route au Gabon »… N’est ce pas là un optimisme un peu excessif, quand on est qu’au stade de « recruter des experts chargés d’étudier la faisabilité » du projet?

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