Les parties prenantes impliquées dans la collecte des données sur les équations allométriques dans les pays du Bassin du Congo ont pris part du 13 au 14 juillet 2017 à Libreville, à l’atelier régional sur l’analyse des données de la biomasse et la valorisation scientifique.

L’atelier régional sur l’analyse des données de la biomasse et la valorisation scientifique. © D.R.

 

La douzième activité de la composante 2 du projet régional de renforcement des capacités institutionnelles en matière de REDD+, pour la gestion durable des forêts dans le Bassin du Congo (PREREDD+) de la Comifac, s’est tenue sur deux jours à Libreville.

A l’issue des quarante-huit heures de traitement des données et la modélisation des équations allométriques, les participants ont amassé une moisson utile. Ils ont restitué les avancées sur les publications de trois études complémentaires, les manuels de procédures de collecte des données produits par les trois études complémentaires, ainsi que les analyses des résultats préliminaires.

«Le Gabon porte ce projet parce qu’il permet de proposer un modèle pour les estimations de stock de carbone à l’échelle nationale. Ensuite, nous confronterons les informations issues du Gabon avec les 5 autres pays pour déduire une équation régionale», a indiqué le directeur de l’Institut de recherche en écologie tropicale, le professeur Alfred Ngomanda.

Organisée au bénéfice de parties prenantes impliquées dans la collecte des données sur les équations allométriques, au sein des pays du Bassin du Congo, cette rencontre sous régional avait pour objectif précis : faire les points d’étape sur l’analyse des données de biomasse et sur le processus de la rédaction des articles scientifiques. Il s’agissait également de valoriser les études complémentaires réalisées par les doctorants dans le cadre du PREREDD+.

 
GR
 

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