Si aucune célébration n’a eu lieu au palais Omar Bongo Ondimba à cause de la pandémie du Covid-19, la présidente du Sénat a toutefois tenu à exprimer sa reconnaissance aux agents, ces «petites mains» qui font vivre l’institution dont elle a la charge.

Dr Lucie Milebou-Mboussou, présidente du Sénat. © Sénat-Gabon

 

Crise sanitaire oblige, au palais Omar Bongo Ondimba, ni partage de muguet ni collation n’ont eu lieu comme les années précédentes pour la célébration, le 1er mai, de la fête du Travail. Patronne des lieux, Lucie Milebou-Mboussou n’a pas moins profité de l’occasion pour exprimer sa reconnaissance aux agents de l’institution dont elle a la charge. Dans une adresse faite à ses différents collaborateurs, la présidente du Sénat salue et dit apprécier le rôle de ces derniers au sein de l’institution, «notamment dans la qualité du travail parlementaire».

«Ces petites mains souvent anonymes sont d’un apport considérable pour la réussite de nos tâches quotidiennes. Votre efficacité est nécessaire dans l’aboutissement des missions qui nous sont dévolues par la Constitution», leur écrit-elle, disant se réjouir de ce que «le grand nombre se dévoue à donner le meilleur de lui-même» depuis plusieurs années, permettant ainsi à la chambre haute du Parlement gabonais de continuer à jouer sa partition.

Au sujet de la riposte des autorités contre la pandémie du Covid-19, Lucie Milebou-Mboussou a exhorté ses collaborateurs à être «solidaires» du gouvernement, respectant scrupuleusement les mesures de prévention édictées ces dernières semaines dans le but de briser la chaîne de contamination de la maladie. Elle n’a pas manqué de rendre «un hommage mérité à toutes les personnes, qui au quotidien, sont en première ligne dans cette crise sanitaire», et d’adresser sa «solidarité» et sa «compassion» aux familles touchées par la pandémie.

 
GR
 

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