Le président Ali Bongo Ondimba séjourne à New York (Etats-Unis d’Amérique) où il assiste à la 69ème Assemblée générale des Nations Unies qui se tient du 16 septembre au 1er octobre 2014. De nombreux événements marquent cette session ordinaire dont la première Conférence mondiale sur les peuples autochtones, les 22-23 septembre 2014 ; le Sommet sur le Climat «Accélérer l’action», le 23 septembre 2014 et enfin le «débat général» du 24 au 26 septembre 2014 au cours duquel il interviendra.

Le Président Ali Bongo Ondimba échangent avec l'ambassadeur du Gabon aux Etats Unis, Michael Moussa, à son arrivée à l'aéroport JFK de New York.  © DCP
Le Président Ali Bongo Ondimba échangent avec l’ambassadeur du Gabon aux Etats Unis, Michael Moussa, à son arrivée à l’aéroport JFK de New York. © DCP

 
Dans le cadre des travaux de l’Assemblée générale proprement dite fixés du 21 au 26 septembre 2014, le président de la République, selon l’agenda publié sur son site internet officiel, devra prendre part à une réception offerte par le président américain Barack Obama à l’honneur des Chefs d’Etat et de gouvernement. Il assistera ensuite à la réunion annuelle de la fondation Clinton Global Initiative contre le braconnage des éléphants et le trafic d’ivoire. En plus des audiences, Ali Bongo Ondimba devra prendre la parole à la tribune des Nations Unies après avoir, entre autres, pris une part active à un débat sur le climat, la santé et l’emploi que le Gabon co-présidera avec la Finlande, à la Clinton Global «initiative pour la protection des éléphants».
C’est donc sous la présidence de Sam Kahamba Kutesa, ministre des Affaires étrangères ougandais, que les travaux de cette 69è Assemblée générale des Nations Unies se dérouleront du 16 au 1er octobre 2014 sous le thème «Réaliser et mettre en œuvre un programme transformateur de développement pour l’après-2015».
Après les progrès enregistrés grâce à la mise en œuvre des huit Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), à savoir : éliminer l’extrême pauvreté, l’éducation primaire pour tous, l’égalité des sexes, réduire la mortalité infantile, santé maternelle, Vih-Sida-Paludisme, environnement, partenariat mondial pour le développement, les efforts soutenus des dirigeants pour atteindre les objectifs fixés se poursuivront avec le programme de développement pour l’après-2015 qui sera centré sur le développement durable : un développement économique inclusif, un développement social inclusif, la paix et la sécurité, et la durabilité de l’environnement.
A un peu plus d’un an de l’échéance pour la réalisation des OMD, les chefs d’Etat sont appelés à adopter un programme ambitieux pour l’après 2015 qui vise à améliorer la vie des populations et protéger la planète pour les générations futures. Ce programme, en phase avec la politique menée par le chef de l’Etat en faveur de la population gabonaise, abordera de nombreuses problématiques : mettre fin à la pauvreté et à la faim, améliorer la santé et l’éducation, bâtir des villes plus durables, combattre les changements climatiques et protéger les océans et les forêts.
Le chef de l’Etat gabonais s’est déjà engagé à apporter des solutions concrètes aux attentes de la jeunesse de son pays, à la détresse des familles sans ressources, à l’espoir des femmes et des hommes qui veulent entreprendre. Toutes choses qui se traduisent notamment par la promulgation de la loi sur le développement durable pour le bien-être des générations actuelles et futures, la stratégie d’investissement humain, l’extension de la Prime d’incitation à la performance à plus de 30 000 fonctionnaires, la tenue des premières Assises sociales du Gabon suivies de mesures à fort impact dans les domaines du social, de l’éducation et de la santé pour les Gabonais économiquement faibles ou fragilisés.
Durant cette semaine onusienne, le numéro un gabonais sera la voix du Gabon dont l’ambition est d’assurer le bien-être des populations en intégrant le développement social et économique, la conservation et la protection de l’environnement.

 
GR
 

3 Commentaires

  1. OBAME dit :

    Bonjour
    En lisant cette article,
    3 questions me traversent l’esprit:
    – C’est très bien de traiter de l’«initiative pour la protection des éléphants».
    Qu’en est-il de l’ «initiative pour la protection des Gabonais économiquement faibles soit 90 % des gabonais» ?
    – Combien coûte au contribuable gabonais que je suis la participation d’Ali Bongo a la Clinton Global «initiative pour la protection des éléphants».
    – Ou en est-on au Gabon des objectifs du millénaire ?
    Merci au émergeants pour leurs éléments de réponse.

  2. @Magondo, un éternel assisté social comme Ali Bongo ne peut que respirer la fainéantise. Voilà pourquoi il vole l’argent de l’Etat depuis tout petit. Il ne sait et ne saura jamais ce que c’est que travailler. Il s’entoure de gens qui font le boulot à sa place. Mais comme ces gens voient déjà que monsieur est un glandeur alors ils font le boulot à moitié. Résultat des courses, tous les chantiers, ou presque, sont à l’arrêt. Ils vont nous faire un peu de bruit comme 2016 approche mais au final rien de concret.Vous demandez de vrais échangeurs comme dans de vraies capitales, Ali vous livre des ponts, des passerelles. Libreville est l’une des capitales les plus nulles du monde, sans trop exagérer. Cette ville ne ressemble à rien.Mais ça ne semble déranger personne qu’elle ne ressemble pas à grand chose.

  3. Le citoyen libre dit :

    ALI par politesse il ne faut plus descebdre de l’avion avec les lunettes noires, tu es quant meme un chef d’etat non ?
    As-tu deja vu les autres chefs d’etats garder une paire de lunettes noires vicée sur le nez comme un garde de garde-de corps ?
    La veste doit etre fermée, Tu dois donner une certaine image de responsable.

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