La Diaspora gabonaise pour la démocratie et les droits de l’homme (GDDHR), en partenariat avec l’Institut républicain international (IRI), organise le 5 septembre 2019, une conférence pour discuter des enjeux critiques et des défis en cours qui touchent les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac).

La Diaspora gabonaise pour la démocratie et les droits de l’homme une conférence pour discuter des enjeux critiques et des défis en cours dans la Cemac. © D.R.

 

La Diaspora gabonaise pour la démocratie et les droits de l’homme, en partenariat avec l’Institut républicain international, organise le 5 septembre prochain, une conférence sur les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) sur les enjeux liés à la gouvernance, l’influence étrangère et le rôle des États-Unis en Afrique centrale.

«À quelques exceptions près, les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale ont échappé à la surveillance des grands titres de l’actualité. Alors que la région regorge de ressources naturelles qui pourraient mieux profiter à la population, de nombreux pays d’Afrique centrale continuent de faire face à des problèmes de gouvernance et de sécurité qui entravent le développement et les avancées démocratiques», relève le communiqué conjoint de l’IRI et du GDDHR.

Cette conférence d’une journée mobilisera quatre groupes d’experts couvrant les questions de gouvernance, l’influence étrangère et le rôle des États-Unis en Afrique centrale. Il s’agira concrètement d’examiner la situation politique et des droits de l’homme dans cette région; de débattre de la corruption et de kleptocracy au cœur de la machine à laver en Afrique ; d’apprécier le rôle et l’influence de la Chine et de la Russie et de définir le rôle des États-Unis.

La Diaspora gabonaise pour la démocratie et les droits de l’homme a pour mission d’élaborer les politiques publiques du Gabon, d’assurer un changement de régime démocratique, de promouvoir la bonne gouvernance et la transparence, de lutter contre la corruption et de protéger les droits de l’homme. GDDHR s’engage dans des activités de sensibilisation, d’amélioration de l’éducation, de réalisation d’actions caritatives et de responsabilisation des citoyens gabonais.

 
GR
 

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