Libreville abrite du 28 au 29 avril 2017, la 7ème session extraordinaire du Conseil des ministres de la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC), axés sur la réforme institutionnelle.

Les officiels à l’ouverture de la 7ème session extraordinaire du Conseil des ministres de la CEEAC. © Gabonreview

 

Le ministre des Affaires étrangères, Pacôme Moubelet Boubeya, a présidé le 28 avril dernier à Libreville, les travaux de la 7ème session extraordinaire du Conseil des ministres de la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC), axés sur la réforme institutionnelle.

Il s’agira pour les experts de la sous-région entre autres, de réfléchir sur les mécanismes d’amélioration du cadre institutionnel, la transformation systématique de cet espace communautaire ; les dispositifs inhérents à l’application de la libre circulation des personnes, des biens et services. Ils élaboreront également des stratégies pour la création des emplois pour une jeunesse dynamique et une zone sécurisée pouvant attirer des investisseurs qui contribueront grandement au développement de la sous-région.

L’objectif de cette session extraordinaire est de donner corps et vie à la vision des chefs d’Etat et de gouvernement, en adoptant une feuille de route qui conduira à la mise en place effective de libre-échange, le projet prioritaire de la CEEAC.

«Dans un avenir proche, nous devons progresser dans la mise en œuvre des solutions inclusives pour accélérer notre intégration et nous permettre de passer de 3% à notre sous-région des échanges intracommunautaires aujourd’hui à plus 20% comme c’est le cas en Asie», a souhaité le ministre des Affaires étrangères Pacôme Moubelet Boubeya.

En effet, de l’avis des participants, la mise en place d’un vaste marché pour l’écoulement des produits dont l’exportation vers d’autres marchés se heurte de plus en plus à des obstacles de toutes sortes est vitale.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. King Cisco Epanya dit :

    La tchatche, rien que la tchatche en Afrique Centrale et faire du sur place. Dès qu’on decide de la Libreville circulation, on commence aussitot à reflechir sur la maniere de ne pas applique, après on s’ etonne que l’Afrique de l’Ouest evolue plus que nous.

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