Dépêché par le chef de l’État, le coordinateur général des Affaires présidentielles s’est rendu, mercredi 12 février, dans le chef-lieu du département de Tsamba-Magtsi où il est allé s’assurer de la fin des travaux sur le chantier de la centrale électrique de cette localité, avant son inauguration prévue dans les prochaines semaines.

Noureddin Bongo Valentin (casque bleu), sur la nouvelle centrale électrique de Fougamou, le 12 février 2020. © Twitter/NoureddinBV

 

Fruit d’un partenariat public-privé entre l’Etat gabonais et Gabon Special Economic Zone (GSEZ), la centrale électrique de Fougamou devrait être inaugurée dans les prochaines semaines. C’est, en tout cas, ce que Noureddin Bongo Valentin a annoncé, jeudi 13 février, sur son compte Twitter. Dépêché par le chef de l’État, le coordinateur général des Affaires présidentielles s’est rendu mercredi dans le chef-lieu du département de Tsamba-Magtsi pour s’assurer de la fin des travaux sur ce chantier visant «l’amélioration de l’offre d’électricité pour les populations» de la localité.

«Cette centrale permettra localement une meilleure desserte en énergie des populations, conformément à l’exigence du président [de la République] de faire de l’amélioration des conditions de vie des Gabonais une priorité, à Libreville comme à l’intérieur du pays», explique le collaborateur d’Ali Bongo. Ce dernier assure que cet outil aura un impact social et économique, y compris pour les populations vivant dans les zones reculées de Fougamou.

Selon Noureddin Bongo Valentin, la nouvelle centrale électrique de Fougamou bénéficiera «à 350 villages pour plus de 25000 ménages». Pour lui, c’est la preuve de l’ambition d’Ali Bongo pour qui «le Gabon doit développer un modèle lui permettant de produire davantage d’électricité pour couvrir ses besoins tout en respectant l’environnement».

C’était la première visite officielle du jeune coordinateur général des Affaires présidentielles sur le terrain. Il n’était accompagné d’aucun membre du gouvernement.

 
GR
 

7 Commentaires

  1. Biyoghe Armand dit :

    Je ne sais pas si vous vous rendez compte, mais subrepticement, le Gabon est en train de devenir une nouvelle province du Maroc. Et je crois, personnellement, que les jeux sont fait. Nous avons perdu notre pays. Désormais, No us vivrons dans ce pays comme des étrangers et des esclaves à la merci des Bongo qui, un élément qui vous échappe peut-être encore, ne sont plus aujourd’hui des gabonais.

    Je ne fais que passer…

  2. Milangmissi dit :

    Un peu comme BLA à l’époque, le président qui est mort les envoie c’est ridicule morbide lugubre

  3. Dramane Fofana dit :

    Moi à ta place, j’aurai honte d’être gabonais avec tout ce qui se passe actuellement. Tu as perdu ton pays, peuple gabonais, depuis l’arrivé de cette famille Bongo au pouvoir.

    Un malien qui ose te dire la VÉRITÉ.

  4. Teddy dit :

    Ce serait plus facile pour gabonreview de dire que « nous sommes payés pour faire la campagne présidentielle anticipée de Nourredine Bongo ». Je ne lis plus vos bêtises.

  5. ULIS dit :

    Il n’a pas été capable de gérer un restaurant. C’est une Nation qu’il saura gérer ? Je pose cette question sans être xénophobe, car pour moi, ce n’est pas un gabonais, mais bien un marocain. Mais même s’il était un gabonais, du moment où il n’a pas su gérer un petit restaurant, c’est à lui que vous confiez un Etat ?

    Entre-nous, il n’y a vraiment pas de gabonais capable de gérer cette nation ou c’est encore le jeu de la françafrique qui perdure ? Pourquoi la France humilie TANT le Gabon et l’Afrique (Subsaharienne surtout) ? Arrêtez ça SVP. Parce que une marmite qui bouillonne finit par… FAITES TRÈS ATTENTION A CE JEU QUE VOUS JOUEZ AVEC LE PEUPLE GABONAIS. Nous sommes presque que certain que l’opération SCORPION est juste de l’enfumage pour vous préparer à nous imposer un Bongo ENCORE en 2023. Ce qui serait INADMISSIBLE, INSUPPORTABLE pour le peuple gabonais meurtri par 55 ans de règne sans partage de la famille Bongo que vous, français, avez imposé au peuple gabonais.

  6. Hugo dit :

    Et la France qui est derrière ce théâtre viendra encore nous dire qu’elle n’a pas de candidat. Qu’elle aille se faire FOUTRE, cette pourriture de France. Ton ou tes candidats ne deviendront plus jamais présidents du Gabon. Tu peux les garder chez toi. Les Bongo, c’est fini.

  7. Yvan Stevy Nguema Ndong dit :

    Les frères il faut déjà céder de râler car c’est pas celà qui nous aidera . Levons tout simplement et peu importe le nombre de morts

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