Nouveau maillon stratégique de la mairie de Libreville en matière de gestion de la cité, la direction générale des services techniques à l’environnement et aux aménagements urbains (DGST-EAU) a décliné sa stratégie. Le 20 avril à Libreville, cette nouvelle direction elle a mis en place les 14 départements devant lui permettre de remplir pleinement ses missions.

Photo de famille des chefs de départements du projet DGST-EAU autour de Célestin Ndong (cravate rouge), le 20 avril 2019 à Libreville. © Gabonreview

 

La direction générale des services techniques à l’environnement et aux aménagements urbains (DGST-EAU) vient de positionner ses pions. Le 20 avril à Libreville, cette structure a procédé à la mise en place des chefs des 14 départements, qui vont favoriser le développement budgétaire et durable de la cité par les moyens de mécanisme de la bonne gouvernance.

«Cette nouvelle gestion des collectivités locales répondra entièrement aux pratiques étatiques», a souligné le fondateur de la DGST-EAU. Selon Célestin Ndong, cette direction est présentée comme une solution alternative et urgente de Libreville et ses environs, plombés des difficultés en matière d’insalubrité et gestion des ordures ménagères.

La DGST-EAU se donne pour mission principale de veiller à la planification et supervision du bon fonctionnement de Libreville et ses environs par ses différents départements, en organisant les moyens techniques ; définir la stratégie des services non productifs ; suggérer les lois rectificatives en améliorant la réglementation et conditionnalité en matière d’hygiène, salubrité, dépravation publique, extra vestimentaire et la moralisation de l’État, etc.

Dans le cadre de ses activités, cette nouvelle direction ambitionne créer 1002 emplois par an, soit 5010 en cinq ans. «Il s’agit d’un élément considérable, car il participera à la résolution de la question du chômage des jeunes gabonais», a affirmé Célestin Ndong. «Je reste persuadé que nous saurons ensemble relever les défis et les convertir en victoire éclatante, pour le développement de Libreville et ses environs», a conclu l’expert en environnement et aménagement urbain.

 
GR
 

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