Le déroulement actuel et probable des événements laisse croire à un changement du mode de fonctionnement de l’Etat.

© D.R.
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L’opinion hésite, de toute évidence, sur le sens à donner à la démission de Léon Nzouba. Elle croit en revanche qu’une nouvelle phase du mandat d’Ali Bongo vient de s’ouvrir. Se référant à l’alinéa 3 de l’article 15 de la Constitution, de nombreux observateurs ne comprennent pas très bien que le désormais ancien ministre de l’Education nationale ait présenté sa lettre de démission au Premier ministre et que l’opinion en ait été informée par le porte-parole du gouvernement, qui n’a même pas pris la peine de présenter la lettre du démissionnaire. L’exécutif doit clarifier cette situation, faute de quoi l’opinion y verrait une nouvelle marque de cet «amateurisme», cette «incompétence» tant décriés depuis 5 ans bientôt.
Les raisons de cette démission semblent en revanche limpides. Il fallait donner une tête et faire un sacrifice à titre symbolique ou expiatoire afin de ne pas cautionner cette idée que l’exécutif est en train de liquider notre système éducatif et, pourquoi pas, faire tomber la pression voire obtenir davantage de compréhension de la part des lycéens grévistes de la faim. Rien de surprenant quand on revient sur la valse des ministres à laquelle nous avons droit depuis 2009. Mais il y a quelque chose de sous-jacent dans ces événements. Alors que Léon Nzouba était présenté comme un très proche voire un intime du président de la République, ce dernier s’est contenté de «prendre acte» de sa démission quand il lui appartenait de l’accepter ou la refuser. Certes on pourra toujours évoquer le fait que le Premier ministre est le chef du gouvernement. Certes on pourra gloser sur un certain conformisme et la gravité de la situation. Mais, jusqu’à preuve du contraire, c’est encore le président de la République qui «nomme» et «met fin» aux fonctions des membres du gouvernement. Railleries, moqueries, interrogations : une fois encore, l’opinion s’interroge sur les modes de faire de l’exécutif et sa capacité à respecter les règles établies. Bien entendu, l’opinion peut se montrer un peu moins pointilleuse. Mais, peut-on gouverner en dehors de la loi, en prenant quasi-systématiquement des libertés avec elle ?
Ali Bongo doit donc adresser un « signal fort » pour montrer qu’il peut se conformer à la règle. Pour cela 2 voies s’offrent à lui : ou il remplace poste pour poste Léon Nzouba sans rien toucher de plus, ou il révoque puis renomme son Premier ministre avant de procéder à une redistribution des cartes au sein du gouvernement. Empruntera-t-il l’un ou l’autre de ces chemins ? Rien n’est moins sûr… Mais le déroulement des événements confirmera ou non le caractère critique et heurté des relations entre la Primature et la présidence de la République durant le mandat en cours. Après l’imbroglio ayant conduit au remplacement de Paul Biyoghé Mba puis la tragi-comédie ayant débouché sur la composition de l’actuel gouvernement, l’opinion a besoin d’être rassurée. Autrefois tenus pour des faire-valoir, des figurants, les Premier ministres sont aujourd’hui présentés comme des marionnettes. Avant, les Premiers ministres étaient faibles, mais les ministres avaient, pour la plupart du pouvoir. Aujourd’hui ni l’un ni les autres n’existent face à la multiplicité d’établissements publics et au cabinet du président de la République
Modernisation, recherche d’efficacité ? Tout ceci ressemble à de faux fuyants, des excuses peu convaincantes dans un régime semi-présidentiel. Présidentialisation ? A coup sûr !!! La question de fond qui se pose désormais est simple : nos gouvernants actuels arriveront-ils un jour à habiter leurs fonctions ? La Constitution est-elle une contrainte ou un instrument au service de la liberté, du vivre-ensemble ? La loi relève-t-elle du superflu ou de la nécessité ? Est-ce perdre du temps que de la respecter ? Est-ce faire preuve de faiblesse que de laisser chacun jouer pleinement son rôle ? Le Gabon s’est accommodé, bon an mal an, d’un régime semi-présidentiel. Peut-il aller sur les sentiers de l’avenir avec un régime présidentiel de fait, qui plus est non assumée ? Peut-il construire son avenir avec un régime parlementaire qui ne reconnaît cependant au Premier ministre aucun pouvoir réel, si ce n’est celui de faire le sale boulot et prendre les coups ? Si le gouvernement est recomposé, remanié au-delà du seul ministère de l’Education nationale sans que le Premier ministre n’ait préalablement démissionné, notre pays sera définitivement passé du régime semi-présidentiel à un régime inconnu, une sorte d’avatar du présidentialisme à géométrie variable, sans règles précises. En somme, nous serions alors définitivement entrés dans un régime politique non identifié…
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. La Fille de la Veuve dit :

    Article 15
    Le Président de la République nomme le Premier Ministre (L.1/94 du 18 Mars 1994).
    Il met fin à ses fonctions, de sa propre initiative, ou sur la présentation par le Premier Ministre de la démission du Gouvernement, ou à la suite d’un vote de défiance ou de 1’adoption d’une motion de censure par 1’Assemblde Nationale.
    Sur proposition du Premier Ministre, il nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions.

  2. HONTE A VOUS dit :

    VOUS AVEZ DIT RE
    GIME INCONNU?????

  3. Kleths dit :

    Excellent…J’ai vraiment pris plaisir à lire et relire cet article. Bonne continuation chère Roxanne BOUENGUIDI. S’agissant du fond, plus rien ne m’étonnera dans ce pays. Comme disait quelqu’un « on ne fait pas semblant d’être incompétent ».

  4. custer93 dit :

    Depuis 2009, ABO est omnipotent dans tous ce qui concerne la vie publique de ce pays. Les décisions sont centralisées au niveau de la présidence et le gouvernement est informé comme nous par voie de presse. OBO faisait au moins semblant de donner une marge de pouvoir à son gouvernement même si « Petit papa » nous dira plus tard qu’il n’a jamais gouverné mais c’était moins flagrant que ce régime présidentiel qui ne dit pas son nom. Qu’ABO prenne son courage et traverse la rivière. Allons y vers un régime présidentiel avec un vice-président et des secrétaires faisant office de Ministres. Comme ça, au lieu d’utiliser les 1er Ministres comme des fusibles quand tout foirent et s’approprie les mérites quand tous va bien il ferait de tout endosser.

  5. Irma dit :

    Faites revenir ndong Sima au la primature

  6. Jean-Marcel BOULINGUI dit :

    Léon Nzouba va quitter la politique. Il va être nommé à la tête d’une entreprise parapublique. On attend l’élection législative partielle de Mouila. Jusque-là, tout va. Mais sentant que Maganga Moussavou peut se présenter et gagner cette élection (il démissionnerait alors de la mairie de Mouila pour y placer un autre militant PSD), les responsables PDG réfléchissent à ce qu’il y a lieu de faire.

  7. jean-jacques dit :

    M.le Prof mérite un poste à la présidence pourquoi pas DC du PR? il a montré qu’il n’était pas au Gouvernement pour les honneurs ou l’argent, c’est une décision que quelqu’un qui a un esprit d’un blanc et la formation militaire, ils sont combien au Gabon qui démissionnent ?
    Où est celui de l’enseignement supérieur voila encore un autre Moundounga à la tête d’un ministère de feu.
    Le Président doit bien réfléchir sur le choix du nouveau ministre on copie la France pour les autorités françaises ne viennent pas nous aidez surtout dans les ministres clés, Education & Enseignement supérieur, santé,finance, budget, fonction publique , travail, affaire sociale.
    si possible pour qu’ils viennent occuper ses ministères sous formes des contrats renouvelables chaque 5 ans, ça pourra coûter cher à l’Etat mais les choses vont s’améliorées, on a eu l’exemple avec M.Garnier, les choses marchaient au niveau du Baccalauréat. Ou encore l’A.N.G.T le DG était américain en ce moment un anglais il y a moins des problèmes dans cette agence, par rapport à A.N.B.G depuis la création on a déjà changé l’équipe deux fois, c’est pour dire que nous même gabonais ça ne va pas.
    Pourquoi l’Afrique du Sud qui eu l’indépendance après le Gabon aujourd’hui est déjà loin bien avancer? c’est par ce que les anglais sont rester dans les postes clés du pays. Pourquoi on ne peut pas le faire au Gabon????
    Un pays ou les gens passaient leur temps seulement à faire de la politique , détournements, quand Ali vient avec les idées de essayer de travailler différemment en mettant les nouvelles têtes dans la gestion du pays rien ne marche , s’il avait garder les caciques la situation allait être catastrophique, c’est pas facile de changer ces mentalités dans les têtes que ceux qui étaient habitué au partage du gâteau.

  8. Thomas Sankara dit :

    Très bon article et analyse limpide. Nous sommes sous l’équateur ou les paramètres de gouvernances et de gestions sont totalement hors norme et n’obéissent à aucune règle mondialement reconnue. Attendons sagement et nous verrons bien la nouvelle trouvaille gabonaise.

  9. Kombila Aimé dit :

    Leon Nzouba sera DIrecteur de Cabinet du PR

  10. Bangando du mapane dit :

    Votre journal me déçoit de plus en plus. trop de légèreté dans vos articles et de la part de vos journalistes.
    -D’abord, ce n’est pas du tout professionnel de ne pas citer le fameux article 15 dont vous faîtes référence, au point que c’est un internaute qui le fait. Article ainsi dévoilé, on peut se rendre compte qu’il n’est pas interdit à un ministre de démissionner; ni à personne même dans un Etat de droit. Démissionner est un droit universel et permanent.
    -Ensuite, qui donc est mieux placé que le porte-parole du gouvernement pour faire une annonce publique concernant le gouvernement?
    -Après, une lettre est un document privé qui concerne d’abord le destinateur et son destinataire. Sauf dans le cas d’une lettre ouverte, rien n’oblige à la publier.
    -Et pour finir, j’aimerais vous rapeller que dans les milieux d’intellectuels, un observateur est une personne avisée et sensée qui émet des analyses sur des faits pertinents et pas sur des détails sans importances;s’interroger sur la signification de cet acte, c’est bien. mais s’interrroger sur le fait que ce soit le porte-parole qui annonce la démission d’un ministre sans en exhiber la lettre, etc. c’est du gros n’importe quoi.
    S’il vous plaît, élevez le débat!

    • Dibal' dit :

      Voici une bourde venant d’un émergent, toujours incompétent. On ne dit pas destinateur et destinataire. Pour élever le niveau comme tu le souhaites, commence par dire EXPÉDITEUR et DESTINATAIRE.
      S’il te plait!

    • La Fille de la Veuve dit :

      @ Bangando du mapane ,
      Le bien nommé.
      Un Ministre est naturellement en droit de démissionner. Et Cette démission doit être adressée au Président de la République qui l’accepte ou la rejette, car c’est lui qui nomme le Ministre. Et Oarce qu’elle aura été adressé au Président de la République, seul lui ou son porte parole ou encore le ministre démissionnaire peut rendre cette information publique.
      Normalement, le Premier ne reçoit que la copie, à titre d’information, de la lettre de démission. Dès lors, le porte parole du Gouvernement n’avait aucune raison de venir rendre publique cette démission.
      La procédure normale aurait voulu que le Ministre de l’Education Nationale informe le Premier ministre de sa décision de présenter sa démission du Gouvernement au Président de la République au cours d’une Audience. Qu’il adresse ensuite sa lettre de démission au Président de la République et fasse porter une copie au Premier ministre.
      Mais bon…. Nous sommes au Gabon.
      André Mba Obame parlait d’Amateurisme, à la réalité il faut parler d’INCOMPETENCE.

    • Mao dit :

      Bangando du mapane. Fainéant… Même lire la Constitution c’est d’autres qui doivent le faire à votre place ? On vous donne l’article et l’alinéa, ça ne suffit pas ? la prochaine fois vous demanderez quoi ? Qu’on vous mettre un lexique ou un glossaire pour expliquer chaque mot ? C’est ça… Vous pouvez parfois vous taire car, comme dit Eyéghé Ndong : « on n’est pas obligé d’être volontairement nul »….

    • Bangando du mapane dit :

      La Fille De La Veuve, la démission du ministre Nzouba a été adressée à son premier ministre, comme le veut la procédure de démission d’un ministre. A charge au premier ministre de transmettre au président. En concertation, ils acceptent ou rejette la décision.
      Il ne vous a pas échappé que nous sommes dans un régime semi-présidentiel et non présidentiel.Puisque la démission a été remise au PM, c’est bien au gouvernement de l’annoncer au peuple.
      Mao, si un tant soit peux vous lisiez les journaux occidentaux, vous vous rendriez compte qu’à chaque fois qu’un on cite un texte, on le montre. parce que tout le monde n’est pas censé l’avoir en tête, et si on vient sur le journal, c’est pour avoir l’information complète. ça s’appelle du professionalisme!
      Quant-à Dibal, vous venez juste de démontrer pour quoi les émergents sont toujours devant vous.
      Pardon, au lieu de tomber dans l’insulte comme vous, je préfère m’en retourner dans mon mapane.

      • La cigale dit :

        @Bangando du mapane.C’est quoi « les institutions de la 5è République  » ? C’est quoi « La constitution de 1958 » ? Montrez-moi le journal qui détaille ce que c’est puisqu’on en parle tout le temps dans les articles… Fainéant… C’est quoi « une information complète » ? Celle qui vous épargne du moindre effort personnel ? Passez votre route…

  11. Jeune Diplomé Chomeur sans piston dit :

    En ne s’interessant qu’aux FETES TOURNANTES,le Petit monarche tente un tour de passe-passe dont les objectifs sont les suivants: se creer un boulevard pour 2016 et proteger « sa »famille Bongo.
    En effet, il convient de poser le postulat suivant: LE PILLAGE DES RESSOURCES DE GABON A COMMENCE EN 1967,DES L’ARRIVEE AU POUVOIR DU CHEF DES PILLEURS DU GABON ET TOUTE SA LEGION FAMILLIALE. En effet,les enquetes actuelles se portent sur une periode qui va de 2002 à 2008. Mais quel gabonais,avec un peu d’honneteté intellectuel peut croire que le pillage du pays a commencé en 2002?
    Nous pouvons dès lors affirmer qu’au sommet de la PYRAMIDE DES FAMILLES QUI ONT PILLé le Gabon,se trouve les Bongo.Nous pouvons dès lors proceder à la declinaisons suivante: Omar Bongo Ondimba(Chyef des pilleurs du Gabon)-Le petit Monarche Alain(fils ainé du chef des pilleurs du Gabon)-Pascaline Ferry Bongo(fille ainée du chef des pilleurs du Gabon)-CHristian Bongo(fils du chef des pilleurs du Gabon qui a fait disparaitre la compagnie nationale aerienne). Cette liste n’est pas exhaustive car le defunt Bongo a fait et adopté beaucoup d’enfants.
    Tout cela pour dire que tout les enfants du defunt Bongo(chef des pilleurs du Gabon)qui se sont partager en 2010 l’Heritage Volé laissé par leur patriarche sont des receleurs de Bien Mal Acquis.
    Or, Ali2025 fut le principal heritier de cette fortune amassé pendant 47ans de reigne des Bongo. Au fait,qui a dit que les Bongo avaient la science infuse?(pardonnez moi car c’est vrai qu’ils ont la science infuse du VOLE);Qui a dit que seul un BONGO etait capable de gouverner ce pays?
    Pourtant leur reigne à la tete de ce pays est un Fiasco total.
    Pour conclure, ne proposons au Petit Monarche des Tropics de commencer par nettoyer devant sa porte en procedant a l’arrestation de tous les membres de sa Famille,commencant par FIDELE ANDJOUA(individu qui n’a jamais rien fait pour le Gabon,qui n’a jamais servis dans aucune administration mais qui est MILLIARDAIRE parcequ’il est le grand frere du Chef des Pilleurs du Gabon)et en terminant par YACINE et DENIS-JUNIOR.
    De cette facon il montrera vraiment qu’il aime ce pays, parceque nous les 80% de Gabonais qui vivons dans la misère depuis 47ans du reigne des Bongo,nous sommes Convaicu que tous les Bongo deteste le Gabon en commenbcant par ALAIN BERNARD lui meme.
    Les enquetes actuelles sont de la POUDRE AUX YEUX

  12. Jeune Diplomé Chomeur sans piston dit :

    Au fait, en quoi GILBERT NGOULAKIA est il credible pour juger des cas de corruption alors qu’il trone sur la cour des comptes depuis 17ans. Est-il a ce poste depuis si longtemps parcequ’il serait le plus intelligent et le plus performant de tout les gabonais magistrat? MARIE-MADELEINE est-elle en poste depuis 20ans à la CC parcequelle serait la plus vertueuse des magistrat gabonais?

  13. Bouka Rabenkogo dit :

    Qui a tué Omar Bongo Ondimba?
    Ou sont passés Emungania alias Fargas et la société IMPALA?
    Les militaires sont en grogne. Omar Bongo Omdimba tance le ministre en charge du département et appel le Chef d’Etat Major Général des Armées: Qu’est ce qui se passe avec les ténues des militaires? Je n’ai pas été associé à ce projet Monsieur le Président répond le Chef des Armées. Le Président réagit: comment peux tu accepter qu’on fasse du désordre chez toi?
    Une semaine plus-tard, le Chef d’Etat Major Général des Armées est limogé. Le responsable du département voulait il que le Général intercède en sa faveur ou soit complice du détournement?
    Monsieur le Président de la Cour des Comptes. Pour une justice équitable, interpellé tout le monde. Le mouvement « ÇA DOIT SE FAIRE MAINTENANT » a un dossier sur chacun d’entre vous!!!
    Il faut commencer par Ali Bongo Ondimba qui entretien la tradition de « Voler à Soit Même » établit par Albert Bongo (son père adoptif) et son clan, qui sont incapables de justifier aujourd’hui, la provenance de leur immense fortune.
    « La charité bien ordonnée commence par soit même »
    Vous avez transformer tous les gabonais en voleur de leur propre richesse. Le mouvement « ÇA DOIT SE FAIRE MAINTENANT » soutien à 100% le propos du Révérend Mike Jocktane qui appelle au départ d’Ali Bongo pour l’Avènement de la « Nouvelle République » et d’une « Nation ».
    « Le Patriote »

  14. Bwekayé dit :

    On a pas changé de régime, on a juste changé de bwétè…! Franchement, Monsieur le rédateur de cet article débile, peux-tu seulement me dire dans quel régime nous trouvons-nous????….

  15. jeune fille dit :

    Léon NZOUBA a cherché, il a trouvé avec les enfants, car il n’est pas un homme de parole . Oh ses propre parents sur qui il jure à chaque fois pitié!!!!!!! et c’est nul!!!!!! . bref! il s’est bien humilié.

  16. jean jacques dit :

    Le citoyen libre
    Jean Jacques, est serieux, pourquoi pas l’ancer un appel d’offres ?
    ———-
    Gabon cherche President serieux pour 2ans, etre personne integre, avoir un directeur de Cabinet 100% gabonais, etre capable de nommer un 1er ministre à la hauteur des besoins des Gabonais.
    M.ou Mme citoyen libre,,mais comme si vous étiez quand le Président Ali à la magistrature Suprêmes. Même si la majorité des gabonais sont ingrand ou mauvais Ali n’a jamais nommé deux (02) gabonais au poste du DC? je vous informe d’un certain M.OTTA et M.OYIBA.
    Pourquoi ceux qui visaient ce postes de DC ne critiquent pas les expatriés qui enseignent nos enfants, petits et soeurs au Gabon.
    On a les médecins expatriés au Gabon Education et la Santé vous allez me dire ce ne sont pas des secteurs importants pour un pays?
    Le poste du DC qui derraneg à cause des millions, les honneurs,et les recevoir les cartes de visites des grandes personnalités qui rentrent à la Presidence.
    Jes uis sûr si ceux qui meurent de jalousie pour le poste du DC que paraîtrait un expatrié occupe, Si vous étiez le peuple italiens qui voit une conglaise se faire nommer ministre. con sens les pays ou le peuple a déjà atteint le niveau de tolerance, qui accepte l’autre en fonction des capacités de la personne.
    Dites nous la personne qui le messi, pour changer le Gabon à un mandat? Et cette personne va travailler avec qui? par ce qui ceux qui sont avec Ali ne travaillent pas ,ne sont pas compétents d’après vos CRITIQUES.
    Les amis rester tranquille, ceux qui critiquent Ali, le gouvernement ce sont des personnes qui ont la nostalgie du gâteau( millions, nominations).

  17. mbongo dit :

    Nzouba serait très avisé de commencer à rembourser l’argent qu’il a volé à l’enseignement technique et professionnel; tous les crédits pillés, pourtant dédiés à la construction du lycée technique de bikélé, pour se bâtir une grande cabane à mouila… quelle honte.

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