20 élèves des écoles publiques de Lalala et d’Ozoungué, dans le 5e arrondissement de Libreville, ont visité le 26 février les installations du Centre d’appui de la pêche artisanale de Libreville (Capal), pour approfondir certains aspects développés en classe sur «les écosystèmes marins» et «la biologie marine».

Les élèves des écoles publiques de Lalala et d’Ozoungué au Capal le 26 férier 2019. © D.R.

 

Dans le cadre de l’exécution du projet sur la gestion durable des ressources marines du Gabon, porté par les équipes du programme éducation environnementale de Wildlife Conservation Society (WCS-Gabon), 20 élèves des écoles publiques de Lalala et d’Ozoungué, ont visité les installations du  Centre d’appui de la pêche artisanale de Libreville (Capal). Cette prime jeunesse est venue toucher du doigt les réalités des chapitres développés en classe sur «les écosystèmes marins» et «la biologie marine».

© D.R.

L’objectif de cette sortie, selon Léa Coralie Moussavou, l’animatrice principale du projet, est «de permettre aux élèves de vivre la théorie et la pratique du thème développé ; promouvoir la pêche artisanale au détriment de la pêche industrielle ; donner aux élèves la possibilité d’échanger avec les animateurs de chaque secteur d’activité du Capal et surtout, donner aux élèves une meilleure vision de la gestion des ressources marine».

Le choix du Centre d’appui de la pêche artisanale de Libreville, assurent les initiateurs du projet, répond à la nécessité de permettre aux enfants d’être au contact d’une des solutions pour une meilleure gestion des ressources marines du Gabon. Car en multipliant le nombre de pêcheurs artisanaux, tout en leur offrant des conditions idéales pour bien exercer leurs activités, ont réduit le gaspillage orchestré par la pêche industrielle. Désignés ambassadeurs de leurs écoles respectives, les 10 élèves de chaque école devront restituer, auprès de leurs camarades, le contenu de la visite.

 
GR
 

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