Du 16 au 17 février, aura lieu à Libreville la première édition du Salon de l’étudiant gabonais (SEG), organisée par le cabinet d’orientation Majord’Home, à laquelle prendront part plusieurs représentants d’établissements nationaux et marocains.

La 1ere édition du SEG aura lieu à Libreville du 16 au 17 février 2019. © AFP

 

La 1ere édition du SEG aura lieu à Libreville du 16 au 17 février 2019. © D.R.

Présenté par ses organisateurs comme une «rencontre incontournable» à laquelle sont conviés élèves et étudiants gabonais, le Salon de l’étudiant gabonais dont la première édition aura lieu les 16 et 17 février prochains à Libreville (Karé F à Glass), ambitionne d’être la principale plateforme d’orientation scolaire du pays. Le cabinet Majord’Home veut en faire un rendez-vous annuel auquel seront invités des responsables des universités et grandes écoles publiques et privées installées au Gabon, ainsi que dans d’autres pays. Pour sa première édition, le SEG accueillera des représentants d’établissements marocains.

A cette rencontre gratuite et ouvert au public, seront également présents des entrepreneurs, et des personnalités publiques, dont le rôle sera d’informer, d’orienter et de conseiller les futurs bacheliers sur les filières de formation et leurs débouchés.

«Organisé sous le patronage du ministère de l’Education nationale, le SEG permettra de faire découvrir le maximum d’opportunités aux jeunes gabonais et africains soucieux de leur avenir professionnel. Innovation, entrepreneuriat, alternance, emploi, leadership, intégration africaine et avenir seront les maîtres mots de ce rendez-vous qui s’inscrira désormais comme un évènement annuel à Libreville», annonce le cabinet d’orientation crée, il y a deux ans, par deux jeunes Gabonais Mehdi Ondoua Nzeh et Levin Badouna Minko.

Convaincus de ce que «les jeunes sont inégaux face à l’orientation scolaire et surtout dans les pays d’Afrique subsaharienne comme le Gabon», les deux compères espèrent qu’«à terme, le Salon de l’étudiant gabonais rassemblera l’ensemble des meilleures écoles du continent». «L’Afrique gagnerait à former elle-même sa jeunesse, car elle en a les moyens», estime Levin Badouna Minko, quand Mehdi Ondoua Nzeh se sent, lui, «le devoir d’orienter nos jeunes frères et sœurs afin qu’ils fassent les meilleurs choix pour leur avenir».

 
GR
 

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