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Enseignement supérieur : L’EPCA à l’heure de l’égalité des chances
Pour donner la chance au maximum des 8000 candidats d’intégrer l’établissement, le 28 novembre, l’Ecole de préparation aux carrières administratives (EPCA) a mis à la disposition des aspirants des ouvrages leur permettant de mieux préparer les épreuves à venir.
Vue du complexe ENA-EPCA à Libreville. © D.R.
Prévu pour se tenir du 28 au 30 novembre 2016, le concours d’entrée à l’Ecole de préparation aux carrières administratives (EPCA) n’aura pas lieu aux dates indiquées par le ministre de la Fonction publique. La raison : l’organisation par cet établissement d’un «séminaire d’appui pédagogique» au profit des 8000 candidats visant à les préparer aux épreuves qui les attendent à partir du samedi 10 décembre 2016. Un séminaire qui, lui aussi, n’a pas eu lieu. A la place, l’école a mis à disposition des candidats des ouvrages numériques abordant les différentes disciplines auxquelles ils seront confrontés.
Si Richard Mamiaka, le Secrétaire général de l’Ecole, avait indiqué que l’objectif du séminaire gratuit et ouvert à tous les candidats était de limiter les échecs au concours, en permettant au plus grand nombre d’être retenu, pour Guy Benjamin Ndounou, le directeur général de l’EPCA, la mise à disposition des fascicules téléchargeables sur le site de l’EPCA répond à la même ambition. Comme pour le séminaire préalablement prévu, ces documents numériques gratuitement accessibles concernent les différentes matières sur lesquelles devaient porter le séminaire. Il s’agit notamment des matières telles le Droit public, les Finances publiques, l’Economie générale ou la rédaction administrative, particulièrement pour les candidats issus de l’administration. Pour le DG de l’Ecole, cette initiative répond à la politique de l’égalité des chances prôné par les autorités gabonaises.
En raison du nombre de candidats enregistré cette année, et face à l’incapacité du complexe ENA-EPCA de tous les accueillir, les responsables de ces deux grandes écoles envisagent d’organiser le concours dans les classes de lycées, collèges ou des écoles primaires de Libreville.
10 Commentaires
Apparemment tout n’est que politique, quand il y a le concours pour rentrer dans cette école, cela se cache, seul les enfants des sont au courant…il faut donner l’information à tout le monde car nous aussi on veut apprendre là-bas…..
Apparemment tout n’est que politique, quand il y a le concours pour rentrer dans cette école, cela se cache, seul les enfants des .. sont au courant…il faut donner l’information à tout le monde car nous aussi on veut apprendre là-bas…..
QUELLES SONT LES FORMATIONS MISES EN PLACE DANS CETTE ECOLE?
Cher journaliste quel est le site internet de l’EPCA?
houlala tu tapes EPCA et puis c est tout, mon dieu !!!
l emmergence n est pas de ce monde lol
Attendons la liste des admis pour voir si l égalités des chances est pour tous.
Pas si sure.
C’est illusoire car il faudrait plutot corriger le concours comme l’entrée au prytane militaire de LBV. Nous savons que quand le DG voulait renvoyer les élèves qui n’avaient pas de moyenne, c’est plutot ses propres parents qui étaient dans cette situation et les renvois des élèves sans moyenne fut annulés. De quelle égalité de chance parle-t-on. C’est de l’enfumage.
Je ne suis pas un AS de l’informatique mais pour une telle information, je crois qu’il serait preferable de mettre un lien permettant d’accéder directement a ladite documentation. Sauf si mon clavier me joue des tours…Je ne trouve aucun site web répondant aux exigences de l’EPCA. L’égalités des chances ne se limite pas a donner une informations sans sources concretes! svp, donnez nous le liens pour accéder au site
https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjCnYmx487QAhVCvhQKHUmLCAoQFgggMAE&url=http%3A%2F%2Ffonction-publique.gouv.ga%2F413-archives%2F272-communique-concours-d-entree-a-l-epca%2F&usg=AFQjCNEZ0QqpERe3o51yhosyPlTmd9Ptug
quelle couche !
C’est hallucinant! Ce pays marche vraiment sur la tête!
Mais enfin, on nous dit que la Fonction publique compterait actuellement plus de 80 000 agents dont plus de la moitié ne trouve pas emploi. Comment est-il possible de vouloir recruter d’autre pour une population de moins de 2 000 000 d’habitants? Où seront affectés les nouveaux? Et je ne parle même pas des difficultés pour soutenir la dépense de solde.
En second lieu, dans un pays qui fonctionne normalement, il n’appartient pas à une école publique professionnelle d’imposer un recrutement d’agents. Ce sont les administrations qui, en fonction de leur besoin et des crédits ouverts, font la demande de recrutement au ministre de la Fonction publique qui organise le concours de recrutement.