Les insuffisances de la première étape du projet étaient au centre d’une séance de travail, le 6 septembre à Libreville, avant le lancement de la deuxième phase.

1 jeune

© D.R.

 

 

Corriger les errements de la phase 1 du projet «1 jeune, 1 métier». Tel était l’objectif des travaux préparatoires au lancement de la phase 2 du projet, le 6 septembre dernier à Libreville. Les travaux étaient dirigés par le ministre délégué à la Formation professionnelle.

Nicole Assélé a notamment évoqué le cas des formateurs, dont certains n’hésitaient pas à exiger d’être payés à mi-parcours de la formation. Par ailleurs, certains centres de formation n’existaient que de nom, «car après avoir tissé un contrat de performance avec le projet, ces centres étaient dans l’incapacité de former les jeunes faute de structures adéquates». «Nous ne voulons plus que de telles choses se reproduisent  et c’est ici le lieu de dire publiquement si vous renoncer ou poursuivez l’aventure avec nous », a lancé Nicole Assélé. Celle-ci a également dénoncé l’attitude de certains formateurs qui exigeaient parfois du matériel aux jeunes élèves, «alors que les pouvoirs publics avaient tout mis en œuvre pour que la formation atteigne les buts visés».

Pour la deuxième phase du projet, le ministre délégué à la Formation professionnelle a demandé aux formateurs de mettre un accent particulier sur les secteurs de l’hôtellerie, BTP, coiffure-esthétique, mode, coupe et couture, etc. Nicole Assélé a, par ailleurs, exprimé sa satisfaction sur les résultats de la première étape du projet.

Composé de 137 personnes, la première promotion du projet s’est constituée en coopérative et a pu bénéficier d’un sponsoring d’un partenaire à hauteur de 30 millions de francs CFA pour le montage de plusieurs affaires avec, en prime,  une reconnaissance juridique de leurs activités.

 

 
GR
 

5 Commentaires

  1. jean - jacques dit :

    Cher président c’est ce genre des projets que les faux opposants avec leurs complices de UE et la France sont contres vous.au lieu de leur donner les mallettes.

  2. AB de Nour dit :

    Pourquoi les jeunes décrochent ils à mi parcours scolaire? Voila la question que les PD-giste n’arrivent pas se poser au lieu de distraire avec des projets à la fuite de leur insouciance face une reforme du système éducatif.

  3. AB de Nour dit :

    Pourquoi les jeunes décrochent ils à mi parcours scolaire? Voila la question que les PD-giste n’arrivent pas à se poser au lieu de distraire avec des projets à la fuite de leur insouciance face une reforme du système éducatif.

  4. Pauvre Gabon dit :

    Vous pensez que le Gabon a besoin de ces petites mesurettes ? L’éducation gabonaise est malade: dernier au classement mondiale avec un taux de redoublement de près de 50%. Voilà la réalité. Pendant ce temps, Sylvia Bongo construit des écoles privées à Libreville dont le prix d’entrée est de 1.500.000 FCFA. Il y’a un mélange de genre qui dépasse l’entendement. Le pays est en otage. Les Bongo sont partout, même dans vos votre culotte ! Voilà la réalité. Ne vous laissez pas berner par cet affichage honteux. ! Le Gabon a besoin d’une éducation de qualité, des formations dignes de ce nom. Pas de petits séminaires de quelques mois. On ne forme pas un plombier, un maçon ou un électricien de qualité en un ou deux mois. Arrêtez d’être naïfs !

  5. Ruth Apanga dit :

    Monsieur mon président je viens auprès de votre grande personnalité pour vous soumettre les préocupations de sept jeune gabonais ayant subit une formation de plus de 11 mois de formation à la gendarmerie nationale et à la fin du stage ont été révoqués ! Certains pour des raisons injustes ! La plus jeune radiée est âgée de 18 ans et demi est rentrée en formation à 17ans,a subit le stage jusqu’à la fin et après on l’a radie! Vous aviez insisté sur l’emploie des jeunes gabonais ; comment faire face a se genre de situation ! Certains ont une famille,des enfants mais après sont radiés injustement. Que faire???

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