Le président de la République a reçu, le lundi 17 novembre 2017, les responsables des syndicats des administrations du pays et du patronat dans le but de trouver des solutions à la crise sociale que vit actuellement le Gabon. Il a demandé au Premier ministre d’engager des négociations collectives globales, tant dans le secteur public que dans le secteur privé.

Ali Bongo Ondimba, le 17 novembre 2014 à Libreville. © facebook.com/MichelOgandaga
Ali Bongo Ondimba, le 17 novembre 2014 à Libreville. © facebook.com/MichelOgandaga

 
Très attendue, la rencontre des syndicalistes avec le président de la République, Ali Bongo Ondimba, s’est tenue et a surtout eu le mérite de mettre face à face les travailleurs et l’exécutif. La situation sociale du moment est en effet marquée par des séries de revendications corporatistes qui, depuis quelques, affectent la plupart des secteurs d’activités dans le pays.

Quelques moments de la rencontre du chef de l’Etat avec les partenaires sociaux. © facebook.com/MichelOgandaga
Quelques moments de la rencontre du chef de l’Etat avec les partenaires sociaux. © facebook.com/MichelOgandaga

Si certains ont parlé de réunion de négociations, il revient que du côté du Palais du bord de mer, l’on indique que ce rendez-vous entrait dans le cadre des concertations qu’a souvent eu le chef de l’Etat avec les forces vives de la nation. «Il ne s’agit donc pas, comme pourraient l’imaginer certains esprits
mal intentionnés, d’un exercice imposé par je ne sais quelles circonstances politiciennes ou conjoncturelles, mais bien de mon engagement à échanger, en temps voulu, avec les forces vives de
la Nation, dont vous êtes ici une partie de la représentation», a déclaré le président de la République. C’est dans ce sens que voulant un climat apaisé et serein, Ali Bongo Ondimba a fait le rappel des réformes engagées susceptibles, in fine, d’apporter de meilleurs conditions de travail, mais surtout de vie, aux Gabonais. Il a cité entre autres, l’instauration du revenu minimum mensuel dans la Fonction publique, portant le plus bas des revenus à 150.000 francs par mois ; le relèvement du montant des allocations de rentrée scolaire, de 25.000 à 62.500 francs par enfant ; l’extension de l’assurance maladie à toutes les couches sociales, particulièrement les plus vulnérables ; le paiement, entre 2010 et 2013, de plus de 170 milliards de francs CFA au titre des rappels de solde, pour un effectif global de moins de 70.000 agents de l’Etat.
C’est donc pour essayer de trouver des pistes de solutions et de réaffirmer aux syndicalistes qu’il est à leur écoute et qu’il est au courant des revendications, que Ali Bongo, en présence du Premier ministre, Daniel Ona Ondo, et de quelques membres du gouvernement, a rassuré les uns et les autres, donnant des orientations et en demandant de nouvelles réflexions sur des dossiers précis, ainsi que l’accélération de certaines réformes. Il est en cela question de ne plus poursuivre, dans les prochaines semaines, avec ce climat flouté par des revendications tous azimuts. «J’entends cependant les attentes et les revendications des uns et des autres. J’y perçois les aspirations du patronat, les insatisfactions des travailleurs des secteurs public et privé», a dit Ali Bongo.
Les syndicats réunis au sein du Mosaap, de l’Aresga, de la Conasysed, entre autres, réclament l’augmentation du Salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig), le relèvement du point d’indice des agents de l’Etat, la suppression de la Prime d’incitation à la performance (PIP), le paiement des primes ainsi que des rappels dus. Les revendications y relatives ont considérablement ralenti le fonctionnement de l’administration et de certaines entreprises étatiques ou paraétatiques.
Pour répondre à ces revendications, Ali Bongo Ondimba a instruit le Premier ministre de poursuivre les discussions avec les partenaires sociaux. «Les discussions que vous allez donc poursuivre avec les partenaires sociaux du secteur public doivent aboutir, entre autres, à la mise en place d’un nouveau système de rémunération», a-t-dit avant s’étonner du fait que la Prime d’incitation à la performance soit aujourd’hui «un sujet de discorde». «En décidant de réformer les fonds communs qui ne bénéficiaient qu’à 8% environ des agents publics, j’ai voulu, que par des mécanismes d’incitation à une meilleure performance de notre administration, qu’elle permette d’accroitre les revenus des travailleurs les plus méritants», a-t-il expliqué.
Un nouveau système de rémunération devra également être étudié au cours des concertations qu’aura le Pr Daniel Ona Ondo avec les partenaires sociaux, afin, entre autres, d’aboutir à l’amélioration du niveau de salaires des agents publics ; l’harmonisation des primes, des gratifications et des avantages en nature ; l’incitation des agents publics à de meilleures performances ; l’amélioration des pensions de retraite.
Ali Bongo Ondimba n’a pas manqué de revenir sur l’usage généralisé de la grève comme principal moyen de revendication, précisant que «le droit de former des syndicats est garanti par la constitution. Cependant, l’exercice de ce droit est encadré par un dispositif juridique et règlementaire qui indique entre autres, la procédure conduisant à la grève, tout en prescrivant le respect du principe de la liberté du travail, notamment pour les non-grévistes, et la mise en place obligatoire d’un service minimum. Notre arsenal juridique dans ce domaine prévoit la coupure de la Rémunération pour les jours non travaillés, à l’exception des prestations familiales et de l’aide au logement. Par ailleurs, et je le dis avec force, le droit de grève ne doit pas, dans son exercice, provoquer une interruption totale du service public, ou mettre en danger la vie, la santé, ou la sécurité de tout ou partie de la population».
Au final, le président de la République a demandé des négociations collectives et globales avec les partenaires sociaux tant de l’administration publique que du privé. «Ces négociations que vous allez mener avec l’ensemble des partenaires sociaux, doivent permettre de créer les conditions favorables à ce que notre pays, le Gabon, gagne sa place dans un monde où la compétition est de plus en plus rude. Car comme vous le savez, seuls les meilleurs pourront faire face aux défis de ce 21ème siècle, siècle d’ouverture et de concurrence », a indiqué le chef
 

 
GR
 

75 Commentaires

  1. jean-jacques dit :

    Ces syndicats ont des revendications stupides,ils font de la surenchère pour créer le désordre. Tous ces syndicats sont des opposants que Myboto et Ping financent. Merci Monsieur le Président tu les a fermer la bouche. Parlez encore avec vos fausses revendications des opposants viellards.

    • okoura dit :

      Tu n’es qu’un pauvre type, toi tu trouves que ce sont des revendications stupides ce que je souhaite pour toi et tes enfants c’est de manger à la poubelle de Mindoubé comme ces Gabonais quand ton argent de la trahison finira
      Les Gabonais mangent à la poubelle pendant que l’argent du Gabon se trouve au Benin au mali et dans les paradis fiscaux.
      Il y a un jour pour le bon Dieu, il n’est pas très loin ce jour

    • tate mboum dit :

      Tu ne fais plus rire, tu sais, tu es pauvre d’esprit.Je suis sur d’une chose avec toi, tu es homosexuel, malediction

    • bekalé mayombo wenceslas dit :

      moi je sais qui est jean-jacques c’est un béninois le genre qui pense être plus gabonais que les gabonais car je reconnais dans son raisonnement le même jean-jacques(béninois) qui intervenait souvent hors sujet lors de l’émission tranches de vie sur africa no1 à croire que ce monsieur ne vieillira pas pour lui demander un meilleur salaire pour mieux vivre c’est stupide! il va finir par avoir un avc à force de voir Myboto et Ping partout et il ne sait pas que opposant est un statut qu’il aura le jour où le pdg perdra le pouvoir et cela arrivera un jour car DIEU EST DIEU mais pour lui seul le vaudou compte souvenons nous qu’à dit Omar BONGO lors des voeux en janvier 2009? en conclusion je ne m’arrêterai plus pour lire ce que jean jacques écrit car c’est de bas étage et si beaucoup le font(sauf ceux qui pensent comme lui) jean jacques disparaîtra seul

    • luigi dit :

      Mais toi ce jean jacques la hein vraiment, tu n’as pas honte te tes propos ? ignores tu que ce que le pays vit actuellement est due par ce parti politique, qui depuis 50 ans suce ce pays, toi même si tu vis aisément je suis sure que c’est par des fraudes et des détournement ou même l’occultisme et les sacrifices des démunit que tu parviens dans ce pays a te sentir mieux. regarde bien ton pays si vraiment tu es Gabonais! en es tu fière ? quant des expatrier vienne au détriment de nos lois usurpé nos terres et biens, quant nos chapiteaux manque criardement de produit de premeirs soin, la simple compresse pour un accidenté de la route, le perfalgant dans le bloc opératoire,l’eau potable en hôpital ? crois tu vraiment que l’enseignant qui réclame plus de sale de classe pour que les enfants retiennent mieux les cours, des table banc, des tableau pour une école public, crois tu vraiment jean-jacques que l’éboueur qui fini par mourir d’infection pulmonaire ne méritait pas des visites médicaux chaque mois pris en charge par l’entreprise qui l’emploie, et le paye en monnaie de singe ses 90000f, j’ai pitié de ta mère ma propre tante Gabonaise que tu nourrie a la sueur de tes courbette, faux Gabonais va

    • Ntchéyazo dit :

      Oui Jean Jacques pour tout te dire nous sommes chez nous et avons des droits que nous défendons. Mais qui es-tu pour nous donner des leçons, tu fais certainement partie du cercle des profiteurs de ce qui n’est pas à vous. Et puis de grâce, apprends à bien écrire français avant d’envoyer ton poste.

    • Jon dit :

      Mais pourquoi vous répondez à ce jean jacques même ? Il n’en vaut pas la peine. Comme on dit au quartier on répond aux imbéciles par un grand silence.

    • md dit :

      Vous ne voyez pas que Jean-Jacques veux juste vous emmerder. Si ca se trouve, ce mr est un gros opposant. C’est l’ennui qui fait ca!

  2. supernova dit :

    Tout ça pour ça ? Donc il réunit les syndicats pour faire un monologue et leur dire que le premier ministre engagera des discussions? Marcel Libama avait raisons de pas s’y rendre finalement.

  3. Bouassa Jr dit :

    Seigneur ! Ce mec est plombé par son identité .
    Il est K O , usé jusqu’à la corde …

  4. GABOMA dit :

    nous ont veut avancer. ne nous retarder pas! 2016 est proche, et chacun de nous aura a elir son bon candidat: Gabonais d’origine, et surtout pas, mandiant politique, car on les connais tous. c’est gens qui font de la politique du vendre!

  5. Pipi de Chat dit :

    Surprenant tout ça! Il y a quelques mois, on nous disait que la nouvelle grille salariale était prête; et hier soir on nous annonce une fois de plus le lancement des négociations en vue de produire une nouvelle grille. J’ai envie de comprendre. Finalement on retourne au point zero, où sont donc les premiers résultats des travaux effectués antérieurement sur cette question?

    • LaNa dit :

      très bonne question,
      le coup de vie au Gabon est surpprenant pour ce genre de salaire.
      Allons 150 000…tu loues une chambre avec douche et wc interne 80 ou 100 mil avec femme et enfants;;;;; le reste tu en fais quoi???tu peux pas manger, et encore moins investir…dites moi…on veut affamer le peuple ou alors soulever une colere sans limite… l’Histoire ne vous apprend donc rien??Ou alors voulez vous juste ramolir les cerveaux de chacun durant les beaux discours sans fins sans but et sans SOLUTIONS APPARENTES??????Père de la Nation?ou Terroriste de cette Nation????

      • Vox populi, vox Dei dit :

        LaNa
        Voilà aussi un souci que tu soulèves, il faut une agence de régulation des loyers auprès des bailleurs. Chacun construit où il veut et fait louer son local à n’importe quel prix selon ses humeurs…Où va t-on ?

        • LaNa dit :

          Vous êtes mm sûrs qu’ils pensent à autrui?ils s’enfoutent.
          A pog le mobilier c’est pour les riches…pff ce qu’ils ne savent pas c’est que bien de gabonais vivent avec des salaires de 150mille par moi…conclusion: ils deviennent mm méprisables

  6. di papa dit :

    Jean Jacques désolé mais vraiment tu es stupide et incrédule, donc selon toi les syndicats font de la sur enchères? Eh bien, pose toi ces kestions, ou vont les recette du CEDOC? Pkoi l’arrêté N*12 k’ali avait signe en arrivant au pouvoir donne des mega et hyper avantages financiers au membre des cabinets ministériels,et a son cabinet? Et pkoi a la présidence ils ont des supras. Bonus? Les syndicats demandent juste ce ki leurs appartient,car se avec leurs argent,l’argent de ceux ki bossent durs,k’ali vie preske dans son avion,k’il réalise ses folies de grandeur,et ke les émergent narguent les Gabonais.

    • LaNa dit :

      Ne repondez pas à ce gabonais(si vraiment ce Jean-Jacques est gabonais)…c’est un semeur de trouble…il a vaicu une cuillere en Or dans la bouche et surement ailleurs aussi…pfff…on peut bien avoir vaicu sa vie,bien vivre et assurer sa famille…mais Jean Jacques, le Gabon, c’est pas une Hacienda voyons, on est dans un pays libre, de droit, un pays où le cout de vie est inqualifiable, vu le nombre de personnes qui vivent avec moins de 300 fCFA par jour…c’est révoltant…Chaque jour, mm en étant dans un véhicule climatisé, il n’y a qu’une personne sans coeur pour ne pas avoir pitié de ces personnes qui errent dans les décharges de Mindoubé ,Mont-Bouet, pour chercher à manger, des enfants de fonctionnaires qui vivent à 5 ou plus dans des pseudo maison de 2chambres, des meres de famille qui vendent au marché et qui ne peuvent mm pas scolariser leurs enfants faute de moyens…
      Please jean-Jacques ,toi qui est si puissant, KHOkhOlo!!!aide les avec le biais de ta bande d’amis…Oh?cette vie là, on ne la verrait pas si écoeurante si des projets de lois étaient performants, on ne subirai pas la vie de manière si cruelle dans un pays où tout nous ait donné mais tout nous est confisqué, arraché, volé…Ok,on va dire que c’est de notre faute, mais un jour, que nos vies se mettent en veilleuse…Le Silence aussi fait peser,…les bombes à retardements sont enclenchées…et on vient de différents horizon et de différents couches sociales…
      Alors ne vient pas nous les casser Jean Jacques, nous on a un coeur! et nous sommes épuisés et déçus de ce pouvoir ou nouvel impérialisme qu’on nous fait subir.

  7. Mabenda dit :

    Il y a hélas un grand absent, un partenaire très très important, donc incontournable, mais sous estimé par les syndicats enclins à réclamer chaque jour un peu plus : c’est l’Economie ! Attention, les budgets de l’Etat ne sont que fiction, ils ne reflètent pas la situation économique réelle du pays. Celle-ci permet-elle de satisfaire toutes ces revendications en forme de « tout ou rien » ? L’appel en faveur d’un dialogue sincère sera-t-il entendu de la part de ceux dont la stratégie est la paralysie totale du pays servant ainsi un objectif inavoué de conquête du pouvoir ? Les partenaires sociaux responsables sauront-ils saisir l’invite à aborder tous les sujets, sans tabous ? Dans ce cadre, on doit poser clairement la question de la bonne gouvernance de nos finances publiques, des inégalités de traitement, des rentes de situation, des régimes spéciaux, des mesures en faveur de la réduction drastique du train de vie de l’Etat. En retour, les partenaires sociaux doivent prendre conscience de la fragilité du tissu économique de notre pays, tributaire des cours des matières premières, erratiques par essence et qui connaissent actuellement une tendance baissière. Bientôt dans les rares entreprises encore en activité et prospères, on arbitrera entre augmentation de salaire et maintien des emplois existants. Comment un syndicat responsable peut-il exiger des augmentations de salaire dans un contexte de baisse d’activité !

    • demain un jour nouveau dit :

      je suis d’accord avec ton analyse mais il est normal et impératif qu’il y ait une meilleure répartition de la richesse nationale. macky sall arrivé au pouvoir a eu comme première mesure forte la suppression du sénat, économie réaliser 11 milliards affectée immédiatement à assainissement des grandes villes. et si on rédusiait réellement le train de vie du président de la république, de celui de l’assemblée,et autres institutions, des ministres et hauts cadres je vous rassure qu ‘on pourrait économiser plus de 50 milliards de nos francs et les réaffecter au relèvement des salaires des employés du public, à la consturction de logement, d’hopitaux, de salles de classe et à la formation et réinsertion professionnelle

    • Mbia mote dit :

      Un syndicat responsable peut exiger des augmentations de salaire dans un tel contexte dans la mesure ou les membres qui le composent sont des pères et des mères de famille qui subissent de plein fouet la vie chère pendant que nos dirigeants se pavanent dans de gros 4×4 (l’État a les moyens d’acheter de gros 4×4 plaque bleue)et vivent dans un luxe insolent au vue et au su de tous les gabonais. Par ailleurs, le contexte économique actuel est le résultat de la mauvaise gouvernance de M.Ali Bongo(on a jamais vue une gestion du pays aussi médiocre , un manque d’inspiration et d’intelligence aussi avéré)qui pense surement que les problèmes de ses compatriotes(s’il nous considère comme tel)vont se résoudre au travers des multiples voyages qu’il fait aux frais du contribuable.Il y a plus de 17 million d’habitants au Cameroun voisin,les agents publiques dans ce pays doivent certainement dépasser le nombre d’habitants du Gabon!Je me demande dans quelle situation serait le Gabon actuellement si M. Ali Bongo devait gérer une population de 5 million d’habitants.

    • Mbia mote dit :

      Heureusement que Dieu nous a donné beaucoup de vent donc le président Ali peut le brasser à sa guise et autant qu’il le veut.Mais seulement les gabonais on bien compris que ça n’est que du vent. En réalité, pour ma part, ce monsieur n’a rien fait de bon dans ce pays depuis qu’il est au pouvoir: il n’y a aucun projet qu’il ait mené à son terme, il a cassé le stade omnisports pour reconstruire un nouveau stade sur le même site alors qu’il était plus intelligent et plus simple d’en construire un sur un site vierge et de réhabiliter l’ancien. Conséquence, ce stade est toujours aujourd’hui inachevé. Cela aurait pourtant été doublement avantageux. Il en va de même pour l’hôpital Jeanne Ebori et la cité de la démocratie.Il casse des maisons sans que l’on voit des agrandissements de routes ou des constructions de trottoirs.Cela a pour conséquence une augmentation du prix du loyer car les gens qui habitaient ces maison se ruent dans les quartiers et les bailleurs en profitent pour augmenter les prix, c’est la plus basique des lois du marché:quand un produit devient rare, son prix augmente. M.Ali devrait le savoir quand il casse sans prévoir d’alternative. Heureusement pour lui qu’au pays des Bongo les lois ne s’appliquent qu’à la pauvre population.Longue vie au roi des émergents!

  8. témoin occulaire dit :

    Comment discuter avec un imposteur? ACTE DE NAISSANCE OU DEMISSION!

  9. LaNa dit :

    …vraiment les gabonais vivent trop mal…il voudrait des negociations entre temps nous ce sont des solutions que l’on espère…vraiment c’est de l’ennui total…Quel perte de temps…

  10. Le Villageois dit :

    À propos du phénomène « jean-jacques ».
    Avez-vous remarqué comme moi que jean-jacques commente la majorité des articles politiques publiés sur ce site. Très souvent, ses commentaires sont parmi les premiers à apparaître. Alors, comme il a des positions tranchées, jamais nuancées mais souvent controversées, les « réponses à jean-jacques » inondent et accaparent les pages de réactions… et finalement on perd l’intérêt et la pertinence des avis qui concernent l’article principal de Gabon Review, objet premier des commentaires que nous postons. Pour élucider ce phénomène intriguant, j’ai élaboré 2 hypothèses possibles : Soit, 1) jean-jacques travaille à Gabon Review, ce qui expliquerait bien ses positions dans le peloton de tête et 2) jean-jacques est payé (probablement par quelqu’un du régime qu’il défend) pour faire un travail de « sabotage » sur ce site, en vue de « désorienter » les débats et créer la confusion, d’où sa présence 24h/24 sur ce site, preuve qu’il n’a pas d’autres occupations. Quoiqu’il en soit, force est d’admettre qu’il réussit parfaitement son coup, grâce à ceux qui, très nombreux, le suivent chaque jour, dans sa grosse machination délirante. J’attire l’attention pour qu’on soit vigilant, car à terme, sa réussite va nuire à Gabon Review, quel que soit l’une ou l’autre des 2 hypothèses. Tout un phénomène !

    • LaNa dit :

      Bien d’accord avec vous…Ce dooit etre un cas social…et un véritable trouble fait

    • la gaboma dépassée dit :

      très d’accord avec votre analyse….

    • Ongowou dit :

      @ Le Villageois.
      Très bonne analyse. Il reste à constater seulement que ce phénomène, qui se fait appeler Jean-Jacques, est un hibou, ainsi que quelqu’un, sur ce site le lui a signifié à mots couverts et de façon très subtile. Il est un élève bon studieux de l’Émergence, pétri de médiocrité qui vient défendre son académie. Est-ce ainsi que, là-bas, ils souhaiteraient que le Gabon devienne, comme ce malotru de Jean-Jacques ? Il faut encore l’envoyer de nouveau sur les bancs pour écailler tout son être social. Mais il est certainement déjà trop vieux…

    • okoura dit :

      vous avez raison je pense qu’il faille faire l’impasse sur cet asticot dont la place se trouve dans la poubelle

    • Le Miroir de la petite émergence. dit :

      Effectivement, j’ai fait le même constat. Désormais, ignorons ce type de peu d’importance.

    • Mbia mote dit :

      Bien parlé Le Villageois, je pense effectivement que nous venons sur ce site pour porter un regard intelligent sur l’actualité et les problèmes de NOTRE PAYS, ne nous laissons pas distraire par ce monsieur visiblement déconnecté des réalités du pays et qui de surcroit a un vocabulaire qui donne mal à la tête, ce qui à mon sens peut se comprendre vu qu’il y a des diplômes fictifs au sommet de l’émergence.Pour ma part c’est la seul allusion que je fait à lui car il fait perdre un temps précieux à toutes ces personnes qui ont des commentaires intéressants à faire sur l’actualité de NOTRE PAYS.

    • PIP dit :

      Moi depuis que les gens orientent les débats en fonction des aneries de Jean Jacques j’ai perdu l’intéret de réagir. J’ai aussi pu remarquer à quel point les gens peuvent se laisser facilement manipuler. Pourtant, il est très facile d’arriver à la conclusion que C,est un pion qui a pour tache de detourner les intervenants du vrai sujet…IGONREZ LE PARDI!!!

  11. 241 Vert jaune Bleu dit :

    Ya Ali: Le premier devoir de l’administration est d’appliquer les lois, toutes les lois. Pas une partie de la loi, mais la loi. Les lois et les règlements de notre pays. L’administration ne saurait fouler au pied ces lois et règlements, et agir dans l’illégalité
    Les Syndicalistes: Le gars-ci veut jouer avec nous hein…La Loi, la Loi, la Loi. commence par l’appliquer toi même avant de nous demander de l’appliquer.
    Ya Ali:Je demande au Premier Ministre de trouver immédiatement des solutions à tous vos problèmes, Donc continuez avec lui.
    Les Syndicalistes: Mais lui fait quoi? Rien, depuis là, juste aller battre campagne au Woleu. OK. En tout cas, on te réserve la plus grande grève jamais connue dans ce pays…Déjà l’ONEP arrive avec ses conséquences « PAS DE CARBURANT ».

  12. les revendications de nos syndicats sont fondées mais j’ai comme l’impression, que certains syndiqués viennent non pas pour trouver des solutions mais pour gangrener la bonne marche des négociations.Que chacun joue sa partition on ne peut pas faire mourir les gabonais dans les hôpitaux, sous prétexte qu’on n’est en grève. apprenons à reconnaître ce qui se fait et la suite sera meilleur

  13. Tara dit :

    Mr le président vous êtes optimistes et pragmatiques les syndicalistes présents à ce rendez vous ont saisie la porté de ce message il ne s’agit des discours démagogiques ou des promesses veines vous leurs avez donné le temps nécessaire pour revenir vers vous et nous attendons avec impatience votre prochaine rencontre.
    Ce problème ne date pas d’hier et le président ne peut pas juste venir comme ça et régler comme avec une baguette magique tous les problèmes,les syndicalistes doivent harmoniser leurs revendications elles trouverons solutions qui va lentement va surement.

  14. Gabon aux gabonais dit :

    Vraiment comment discuter avec quelqu’un qui n’est certainement pas à sa place compte tenu d’abord de la manière dont il a accédé au pouvoir en 2009 et enfin de sa situation douteuse car comme le rappelle mon prédécesseur nous voulons la preuve matérielle que Mr Ali Ben est bien gabonais d’origine comme l’exige la volonté de tous les gabonais à travers l’article 10 de notre constitution;sans cela tous les risques perdurent et l’apaisement passe par cela aussi et pourquoi tant de balbutiements alors qu’il lui suffit juste de brandir son acte de naissance ou faire le fameux test d’ADN.
    D’autre part vue la manière dont est actuellement géré notre beau pays comment croire en une réelle volonté de l’amélioration des conditions de vie des gabonais? pour ma part je ne fais et ne ferai aucune confiance à ce Monsieur car:
    * S’agissant des logements les gabonais sont toujours mal lotis mème pas une zone viabilisé dans les règles de l’art afin que les gabonais d’abord puissent en retour acheter leurs parcelles.
    * S’agissant de l’enseignement franchement à moins d’ètre aveugle le système éducatif gabonais est bousillé il faut le dire par la faute des dirigeants…bref tous les secteurs régaliens de l’état sont à terre sinon en phase de régression alors que les dépenses d’investissements ne cessent de décupler d’ou la nébuleuse légion étrangère et les détournements intempestifs dont lui mème le PR est responsable à travers son ANGT qu’il pilote mais alors là maladroitement.
    * S’agissant du politique en guise de bonne fois il devrait au moins faire limiter les mandats présidentiels à 2 comme auparavant;procéder à une élection présidentielle à deux tours; permettre aux partis d’opposition d’ètre aussi au coeur du système électoral gabonais…
    En somme mes chers amis il ya tant à redire qu’il est impératif que ce monsieur et son « gang » s’en aillent sinon que nous les fassions partir quitte à ce qu’hélas le sang coule.

  15. DEZKELLY dit :

    Pour ma part je crois que tous avions le droit de nous rachéter.Ici le président en exercice veut renouer sa confiance avec les gabonais,veut refaire les choses dans les normes même si c’est un peu tard la volonté y est .regarder cette fois encore si les choses sont toujours mal faites alors on le change.Dans tous les cas c’est nous meme qui l’avons voter et Dieu l’a etabli,alors si ça ne va plus on divorce c’est tout.il termine son mandant et en on trouve un autre .N’insulter pas les autres ça ne changera rien .jean-jacques a le droit de dire ce qu’il pense meme si c’est tordu à vos oreilles et DI-PAPA doit supporter sans injure,car ça ne vous grandi pas.Merci

  16. NGOMO Privat dit :

    Ali Bongo a l’outrecuidance,
    de s’adresser encore aux organisations de notre pays
    alors qu’il se doit de préciser la question de ses origines.
    C’est un mépris souverain à l’endroit du peuple. Quel esprit monarchiste !
    Qu’il ne pense pas qu’en faisant l’autruche sur cette question importante et désormais centrale du débat politique, il s’en tirera avec la disparition par le temps de la polémique nationale et mondiale née du flou artistique sur sa naissance qu’ils’obstine à na pas vouloir dissiper.
    Mais, en dernière instance, le peuple reste souverain !!!

  17. demain un jour nouveau dit :

    et si nous parlions un peu du train de vie de l’Etat….il y a des institutions qui ne servent à rien et sont des gouffres à sous, prenons le cas du sénat gabonais, budget près de 17 milliards si je ne me trompe; en quoi ce sénat qui ne fait que reproduire les actes de l’assemblée est il utile? et notre assemblée nationale avec son tout puissant président et ses 120 députés pour un si petit pays; les multiples voyages du chef de l’Etat, et chaque ministre avec plus de 6 voitures de service valant entre 20 a 60 millions chacune, et ces tout puissants dg…et j’en passe, un jour il va bien falloir mettre fin à tous ces abus au détriment de la masse.

  18. gabao.kool dit :

    L’Ibo ali bongo est un sans papier qui raconte des histoires à dormir debout. Où est son acte de naissance ? Depuis plus de (5)ans,le biafrais ali bongo ne fait que pomper du fric dans les poches du béninois accrombessi et le somalien liban souleiman, laissant ainsi les vrais gabonais formés dans des situations critiques et vulnérables . Aujourd’hui l’Ibo ali bongo revient avec les mêmes méthodes de distraction pour éssayer d’apaiser le problème d’acte de naissance auquel il est confronté . Le biafrais ali bongo est un faussaire qui falsifie, et l’histoire et les documents, et, qui pratique du faux à plus de 50 ans d’âge malgré son statut d’homme politique reconnu depuis de longues dates sous l’ère de son père adoptif Omar Bongo Ondimba. L’Ibo national doit montrer son acte de naissance signé par l’AEF, à défaut de cela, il passe le test d’ADN. Quant à vous les syndicalistes, comprenez une fois pour toute que l’Ibo national ali bongo est un mythomane qui, après avoir laminé la constitution de nôtre pays, doit être regardé avec du mépris et répulsion.

  19. le gabonais d'en bas dit :

    On nous a habitué dans ce pays des années durant, lorsqu’on veut noyer un problème, on crée des commissions de ceci et de cela, au finish zéro, les problèmes qui sont soulevés par les syndicats ne datent pas d’aujourd’hui, je suis vraiment navré de constater cette fuite en avant; en tout cas pour moi on attend rien de tout cela.

  20. philippe vouette dit :

    Voila le décor est planté …
    Je pensais que la nouvelle grille salariale était prête….mais j’ai dus rater un épisode…donc maintenant nous retournons négocier pour produire une Toute Nouvelle grille…OK !!!!
    Il se moque de nous….mais de toute façon nous aimons être traité comme cela…
    Nous parlons de la constitution bafouée et on nous oriente vers d’autre choses….et nous suivons…ainsi petit A petit cet aspect pourtant important deviendra insignifiant ….
    On agite le magot et les promesses de magot et nous sommes obnubilés au point d’en oublier le plus IMPORTANT….NOTRE CONSTITUTION….
    Et il se joue même de nous en nous parlant de la loi, rien que la loi qui doit être respectée ….
    Cordialement,
    Philippe vouette

  21. LaNa dit :

    Ayez un coeur tout de meme

  22. eternite dit :

    Il est tres malin notre président, comment enterrer les revendications sociales et salariales des partenaires sociaux, je vous le donne en mile; en créant une commission de suivi, ou en affirmant aux partenaires sociaux qu’instructions soient données au PM pour négocier collégialement !!!
    Comment engager des Négo collectives entre le public ( agents de l’état ) et le privé; les revendications salariales sont certes les mêmes, mais les conditions travail ne le sont pas; les grilles salariales sont pas les mêmes, les conventions collectives sont pas les mêmes, et les branches sectorielles sont quasi inconnues au Gabon; négocier avec quels syndicats; on ne connait pas l’audience nationale des syndicats qui étaient présents à ce point d’information avec le président,.. etc donc résultat.. c’est un enfumage !!!
    Certains disent que les syndicats sont « gourmands » et devraient tenir comptent des réalités économiques du pays; mais dans quel pays ayant un tel potentiel économique et naturel, l’état est un Etat spectacle ( course de off shore, marathon, trophée des champions, Marina Attias etc ) sans repondre aux attentes sociales du pays; le train de vie de l’Etat à lui seul est dispendieux et ne correspond pas aux sacrifices demander aux populations.
    La négociation collective, n’est pas gérer par l’exécutif, ce point d’information est juste la confirmation d’ABO aux partenaires sociaux, que le gouvernement ne répondra en rien à leurs attentes ( les différents ministères ne sont pas compétents et encore moins mandatés pour négocier ) et que lui le président reste incontournable !!!
    Point d’orgue de cet enfumage, il rappelle aux partenaires les obligations de services minimum ( ce qui est bien ) mais le droit de grève est inscrit dans la constitution de notre pays et surtout que les négociations se doivent d etre loyales… si les partenaires sociaux en arrivent à une telle colère, c’est que rien n’est loyal.. tout est « pipé » et pour ABO, il avait prévu cette situation pour 2016, afin de se poser en sauveur des « forces vives de la nation », mais meme sur le front social ( en complément du public avec l’affaire Peant ), sont agendas est bousculé et il n’est plus maitre de son temps…

  23. Paco la panthère noire dit :

    Nous n’avons pas d’argent pour satisfaire vos revendications ! Nous sommes préoccupés par l’avenir de notre famille, et mettons tout en œuvre afin que rien ne changent. Et pour cela il faut de gros moyens financiers pour arroser les réseaux d’amis et les marabouts. Allez boire et danser au rythme de maman et que vos esprits reposent en paix pour l’éternité.

  24. manami dit :

    J’espère que pour beaucoup d’entre nous,les Gabonais ne sont pas stupides, nous savons que c’est les peuples qui font leur histoire et leur destin .Cette histoire de dialogue avec les syndicats c’est juste jauger et voir s’il était encore compris des Gabonais, et même essayer de détourner la pression syndicale par rapport à l’affaire Pierre Pean. Nous savions que la fameuse rencontre n’apportera rien comme solutions aux problème des Gabonais, nous pouvons toujours rêver au Gabon , comme voila il y a quarante années à danser à la gloire de despotes presidents.

  25. keller dit :

    OH! si l’ecart est de 12 ans, Pascaline sa soeur ainee a sa naissance maman avait donc quell age 10 ans?

  26. Bouka Rabenkogo dit :

    Lettre ouverte au Pouvoir Judiciaire
    Sommes-nous dans un pays de non droit? Où une partie du peuple peut s’arroger la souveraineté du Peuple (TITRE PREMIER : DE LA RÉPUBLIQUE ET DE LA SOUVERAINETÉ
    Article 3)?
    Dans un précédent article je faisais observer la vacance de pouvoir, par la simple observation de l’absence « d’état civil » du supposé dénommé Ali Bongo Ondimba. Je rappelais au pouvoir Judiciaire, je site: « Monsieur Pierre Péan, quelque soit la nature de ses intentions, révèle des informations graves sur la personne garante aujourd’hui des institutions de la République et qui occupe la noble fonction de Président Chef de l’Etat Gabonais.
    Ces informations graves, qui terni l’image de notre pays et souille la fonction de Président de la République, nécessitent une clarification totale du concerné sur sa véritable identité. Mais rappel aussi, la duplicité entretenu par toute l’élite gabonaise à l’asservissement volontaire de notre propre pays. Cette attitude complaisant a eu pour corollaire, de reléguer l’avenir de la Nation et du peule Gabonais à de médiocres intérêts individuels pour et à l’avantage du plaisir du colon. Surtout après les indépendances tchatcha de 1960.
    Le peuple souverain gabonais ne peut plus souffrir de voir à la tête de son pays un inconnu à l’identité douteuse accepté par toute la classe politique achetée en 2009. J’ai eu en ma qualité de commissaire CENAP à ladite élection, la possibilité d’observer la duperie de toute la classe politique sans exception pour de l’argent, au détriment du peuple gabonais.
    Nous demandons à monsieur Ali Bongo Omdimba, suite à tout ce qui précède, de suspendre son activité en tant que Président de la République Chef de l’Etat, jusqu’à ce que le doute soit totalement levé sur son identité (présentation de l’acte de naissance AEF).
    Que les institutions de la République, garantes de la Loi, des textes constitutionnels et réglementaires informées, assument leur responsabilité dans le cadre de la vacance de pouvoir ainsi constatée.
    Le peuple gabonais tout entier appel Ali Bongo Ondimba au sens de l’honneur et aux respects de nos valeurs Bantou. »
    Il est important de rappeler au Pouvoir Judiciaire, les principales dispositions de la Constitution par lui concerné:
    TITRE PRÉLIMINAIRE : DES PRINCIPES ET DES DROITS
    FONDAMENTAUX
    Article premier
    21°) Chaque citoyen a le devoir de défendre la patrie et l’obligation de protéger et de respecter la Constitution, les lois et les règlements de la République;
    22°) La défense de la nation et la sauvegarde de l’ordre public sont assurées essentiellement par les forces de défense et de sécurité nationales. En conséquence, aucune personne, aucun groupement de personnes ne peuvent se constituer en milice privée ou groupement paramilitaire, les forces de défense et de sécurité nationales sont au service de l’État.
    TITRE PREMIER : DE LA RÉPUBLIQUE ET DE LA SOUVERAINETÉ
    Article 3
    La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce directement, par le référendum ou par l’élection, selon le principe de la démocratie pluraliste, et indirectement par les institutions constitutionnelles. Aucune section du peuple, aucun groupe, aucun individu ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale.
    Article 5
    La République gabonaise est organisée selon les principes de la souveraineté nationale, de la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire et celui de l’État de droit.
    Article 7
    Tout acte portant atteinte à la forme républicaine, à l’unité, à la laïcité de l’État, à la souveraineté et à l’indépendance, constitue un crime de haute trahison puni par la loi.
    TITRE II : DU POUVOIR EXÉCUTIF
    1 – DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
    Article 8
    Le Président de la République est le Chef de l’État; il veille au respect de la Constitution; il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect des accords et des traités.
    Article 10 (Révisé par la Loi n° 13/2003 du 19 août 2003)2
    Si, avant le scrutin, un des candidats décède ou se trouve empêché, la Cour Constitutionnelle prononce le report de l’élection.
    La Cour Constitutionnelle peut proroger les délais prévus, conformément à l’article 11 ci-après, sans que le scrutin puisse avoir lieu plus de trente cinq jours après la date de la décision de la Cour Constitutionnelle. Si l’application des dispositions du présent alinéa a pour effet de reporter l’élection à une date postérieure à l’expiration du mandat du président en exercice, celui-ci demeure en fonction jusqu’à l’élection de son successeur.
    Sont éligibles à la présidence de la République, tous les Gabonais des deux sexes jouissant de leurs droits civils et politiques, âgés de quarante (40) ans au moins.
    Toute personne ayant acquis la nationalité gabonaise ne peut se présenter comme candidat à la présidence de la République. Seule sa descendance ayant demeuré sans discontinuité au Gabon le peut, à partir de la quatrième génération.
    Les modalités d’application du présent article sont fixées par une loi organique.
    Article 12
    Lors de son entrée en fonction, le Président de la République prête solennellement le serment ci-dessous, en présence du Parlement, de la Cour Constitutionnelle, la main gauche posée sur la Constitution, la main droite levée devant le drapeau national:
    « Je jure de consacrer toutes mes forces au bien du peuple gabonais, en vue d’assurer son bien-être et de le préserver de tout dommage, de respecter et de défendre la Constitution et l’État de droit, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge et d’être juste envers tous ».
    Article 13
    En cas de vacance de la présidence de la République pour quelque cause que ce soit, ou d’empêchement définitif de son titulaire constaté par la Cour Constitutionnelle saisie par le Gouvernement et statuant à la majorité absolue de ses membres, ou à défaut, par les bureaux des deux chambres du Parlement statuant ensemble à la majorité de leurs membres, les fonctions du Président de la République, à l’exception de celles prévues aux articles 18, 19 et 116, alinéa 1er, sont provisoirement exercées par le Président du Sénat ou, en cas d’empêchement de celui-ci dûment constaté par la Cour Constitutionnelle saisie dans les mêmes conditions que ci-dessus, par le Premier Vice-président du Sénat.
    L’autorité qui assure l’intérim du Président de la République, dans les conditions du présent article, ne peut se porter candidat à l’élection présidentielle.
    En cas de vacance ou lorsque l’empêchement est déclaré définitif par la Cour Constitutionnelle, le scrutin pour l’élection du nouveau président a lieu, sauf cas de force majeure constatée par la Cour Constitutionnelle, trente jours au moins et quarante cinq jours au plus après l’ouverture de la vacance ou de la déclaration du caractère définitif de l’empêchement.
    Article 14a
    Le Président de la République est assisté d’un Vice-président de la République. Le Vice-président de la République est nommé par le Président de la République qui met fin à ses fonctions, après consultation des Présidents des deux chambres du Parlement. Le Vice-président de la République est choisi au sein du Parlement ou en dehors de celui-ci.
    TITRE V : DU POUVOIR JUDICIAIRE
    I – DE L’AUTORITÉ JUDICIAIRE
    Article 67
    La justice est rendue au nom du peuple gabonais par la Cour Constitutionnelle, la Cour de Cassation, le Conseil d’Etat, la Cour des Comptes, les Cours d’Appel, les Tribunaux, la Haute Cour de justice et les autres juridictions d’exception.
    Article 68
    La justice est une autorité indépendante du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif. Les juges ne sont soumis, dans l’exercice de leurs fonctions, qu’à l’autorité de la loi.
    Article 69
    Le Président de la République est le garant de l’indépendance du pouvoir judiciaire, dans le respect des dispositions de la présente Constitution, notamment en son article 36. Il est assisté du Conseil supérieur de la magistrature et des présidents de la Cour de cassation, du Conseil d’Etat et de la Cour des comptes.
    Les dispositions de l’Article 14a, cinq (5) ans plus tard, pas n’ont pas jusqu’à ce jour été appliqués. Le Pouvoir judiciaire serait il complice de parjure à notre Pays?
    « Le Patriote »
    Michel Bouka Rabenkogo
    Membre de la Conférence Nationale de 1990;
    Membre de la commission des institutions;
    Membre créateur d’EKAMA;
    Membre de la FESYPAG;
    Ancien membre du Comité central PDG;
    Ancien candidat à l’élection Présidentielle 2005;
    Commissaire CENAP Election présidentielle 2009.
    En réaction : https://www.gabonreview.com/blog/affaire-pean-manipulation-surenchere-guerre-mediatique/

  27. MBOU NDONGA dit :

    le PR aurait pu faire un simple communiqué à la télévision!!!!cinéma ouais!

  28. Vox populi, vox Dei dit :

    C’est de la distraction, comme l’a si bien dit un intervenant avant moi, la grille n’est elle pas encore mise en place ?
    Les enseignants peuvent se remettre au travail et les fonctionnaires aussi pendant un an et demi sans suite à leurs revendications. Dans ces conditions que fait on ? Le corps enseignant et les fonctionnaires n’ont pas commencé à grever du jour au lendemain sans avoir travaillé afin de revendiquer ce que de droit.

  29. Yiduka dit :

    Permettez-moi d’être plus terre-à-terre sur ce sujet: remarquez le décorum en arrière plan d’alain bernard bongo; vous constaterez la médiocrité et le mauvais goût… Quel manque d’imagination avec ces palmiers et tous les autres accessoires!… C’est carrément déprimant, et c’est à l’image du discours insipide dont alain bernard bongo a abreuvé les pauvres syndicats.

  30. LaNa dit :

    Cher GABON REVIEW, des adresses mails se retrouvent afichées à longueur de temps sur mon PC, prière remédier à ce problème…merci
    (La preuve: ce message vient de LaNA… et NON de bekalé…)

  31. le puant dit :

    ALI BONGO fait dans la divertion . Les problemes des Gabonais sont identifiés depuis des années ! Le remède , c’est la volonté politique . C’est de donner un coup de pied dans la fourmiliere .
    ALI BONGO est un arrogant , ne respecte personne , n’a de compte à rendre qu ‘ aux présidents de la CENAP , l’Assemblée Nationale , la Cour Constitutionnelle , du président du Groupe Bolloré , Groupe CASINO .
    Les Gabonais ! pour eux ? des sous hommes . Que ALI BONGO sache , quoi qu’il fasse le peuple est souverain . Pour exemple le peuple Burkinabè . 2016 APPROCHE , s’ il veut se représenter qu’ il décline son vrai acte de naissance au peuple gabonais ; rien qu’ au peuple gabonais .

  32. Moutouki dit :

    Le président aux origines douteuses veut distraire les syndicats, il joue les prolongations. Mais ces conseillers en communication se trompent.

  33. Yupanqui dit :

    @keller,
    Dois-je vous rappeler que Pascaline Mferri, celle qui débite des énormités à téléPDG est née de mère différente d’Alain Bongo? Ce n’est pas moi mais les mensonges dans lesquelles cette famille est engluée qui donne ce calcul de 12 ans d’écart d’àge entre Dabany Nkama Joséphine reconnue par son frère Assélé en 2009 comme étant stérile, et Alain Bongo.
    Ali et sa famille nous prennent vraiment pour des idiots, non, des chiens qui aboient comme a dit Pascaline. A part que là les chiens vont sortir les crocs sérieusement et mordre car y en a assez!

  34. Yupanqui dit :

    @keller
    rappelant par l’occasion que les propres enfants de Bongo (du moins ceux qui acceptent de jouer au toutou devant Ali. Bongo a reconnu 52 enfants, il ne bat pas néanmoins le record dans le domaine qui est détenu par Assélé)traitent ainsi leur papa Omar Bongo de pédophile. C’est grave! Et ils parlent d’honorer et de respecter la mémoire de leur patriarche.

  35. Ntchéyazo dit :

    Que du blabla!!! C’est tout simplement un aveu d’échec. Nous avons rigolé en l’écoutant lire un discours dont il ne mesure pas la portée quand l’inquiétude grandit autour de lui (regarder la tête de son entourage le plus proche) à propos de la violation de la Constitution. Le temps de la propagande est finie depuis belle lurette. On s’habitue aux mensonges même poussé par les syndicats, il nie les faits quand bien même il en perd le sommeil Kokolo

  36. marc dit :

    Messieurs, il s’agissait d’un debat constructif et ces negociations sont essentielle pour notre nation pourquoi toujours promouvoir la discorde. Le President est une Institution qui represente la souverainté et les syndicats on des revendications legitime qui necessite une discussion. Le president et les syndicats semblait en phase, il dise la meme chose on parle de la capacité d’execution.

  37. jean-jacques dit :

    Vous pouvez me calomnier et m’insulter. Je suis a vie ALIBENISTE,PEDEGISTE et EMERGENT. Je vais accompagner et soutenir le President elu du Gabon jusqu’en 2025. Je ne suis pas comme vous qui passe le temps a insulter sans rien proposer. Nous avons le PSDE notre plan strategique. Vos vieillards opposants ont quoi? Rien.

  38. alpha Koumbi dit :

    Je ne vois plus rien qu’on puisse attendre de ce pouvoir. La realite est que le gabonais souffre. On paye trop d’impot pour une qualite du service publique mediocre. Je travaille dans une entreprise privee et je paye en gros pres de 800.000 de taxes. Mais je me sens encore dans l’obligation d’inscrire mes enfants dans une ecole privee, je dois encore souscrire une assurance maladie privee. Je dois aussi prendre en charge mes petits freres et soeurs qui sont encore sur le bancs de l’ecole, aider mes neveux et nieces, bref la liste est longue. Pendant que moi je dois epargner pour m’acheter une voiture, un fonctionnaire recoit un dotation d’un vehicule de l’Etat dont il ne prend meme pas soins. L’argent du contribuable gerer dans le desordre. Arretons avec ce boucan.

    • philippe vouette dit :

      @Alpha Koumbi,
      ne dit pas ce genre de chose sinon ils vont dire que tu es instrumentalise par les opposants…..
      Il y-a des avancees significative au GABON depuis 2009 …
      1) Crime rituel en hausse
      2) Le train de vie de l’etat en Hausse
      3) La dette du Gabon en Hausse
      4) Le nombre de greves en hausse
      Le pays avance …et tes 800.000 de taxes doivent etre aux Bermudes..ou dans les iles caiman….ou alors ont servi a acheter la derniere voiture de luxe du Champion en faux en usage de faux…
      Imagine les Gabonais qui ont 150.000 frs CFA/mois combien de fois ils jonglent pour joindre les deux bouts…….
      C’est la base (Le peuple) qui doit faire des sacrifices…pendant que les dirigeants font leur one men show…
      Au Gabon ce que j’aime depuis 2009 c’est L’ASPECT …
      Le Gabon Pays d’aspect …la television vomie la propagande PDGiste …
      On fait une nouvelle universite a LBV mais on ne regle pas d’abord les problemes de l’UOB, et de L’USTM…dans l’incapacite de regler deux problemes en ajoute un troisieme probleme….c’est le GABON que je connais…
      Mais que voulez vous …nous avons les dirigeants que nous meritons …sinon comme un seul homme on dirait STOP!!!
      Cordialement,
      Philippe Vouette

  39. gabarone dit :

    Qu’est-ce qu’il est déconnecté de la réalité ce Ali! Quelqu’un qui vit dans une bulle au point de faire confectionner un faux acte de naissance à 52 ans. J’ai pitié pour mon pays d’avoir un tel élément, un faussaire, un illusionniste, un voyou notoire.

  40. sylvie mbadinga dit :

    Un acte de naissance est un document juridique attestant de la naissance d’une personne. Alors, ou est ton acte de naissance originale?

  41. jwice dit :

    jean-jacques,tu es vraiment fou.Je ne sais meme pas si tu es salarié.Qu’entends tu par revendications stupides?Je pense très franchement que c’est toi qui est stupide.Donc si tu n’as rien à dire, il serais mieux pour toi de te taire.

  42. philippe vouette dit :

    A la différence de plusieurs personnes j’interviens non pas avec un pseudo mais plutôt avec mon nom de famille et mon prénom …
    Hier j’ai suivi l’intervention de Mr Laurent BAGBO ….et une phrase a retenue particulièrement mon attention ….
    Il a dit je cite : « Qui ne respecte pas la constitution n’est pas démocrate. »
    ALI n’est pas démocrate….car il ne respecte pas la constitution …
    HIER J’AI RECUS 3 COUPS DE TELEPHONE A 22 :27 ; 23 :10 ; 23 :43
    Il y-avait écrit lors de l’appel numéro inconnu ….l’individu qui m’a appelé hier ma simplement dit :
    On va te massacrer ta famille et toi !!!! Espèce de fils de pute…
    1) Ma mère n’est pas une pute (un peu de respect)
    2) Je n’ai peur que de DIEU
    Un jeune homme d’une vingtaine d’année freluquet est mort en 2009 A POG près de moi, des militaires lui demandait de dire que ALI BEN est sont père et il a refusé…
    Il a dit que sont père s’appelait MOUNDOUNGA …il s lui ont enfoncé la baïonnette (Ils étaient tous vêtu en noir avec des cagoules) sur le coté il est tombé et jusqu’à son dernier souffle il a appelé son père MOUNDOUNGA …….
    Je répète …trop de choses trop de vies sont enlevées par ce régime incognito….assassinats, empoisonnements, enlèvements….mensonges …. …Calomnies …..
    Nous avons le devoir de dire les choses comme elles sont non pas pour tout enflammer ou détruire ou appeler A la révolte car nous allons être tous perdant… mais plutôt pour sensibiliser la population , attirer son attention ….sur les pratiques de notre régime ….
    Par des marches pacifiques, en paralysant petit A petit le pays nous allons devoir emmener le régime actuel a déposer le bilan …car il faut que cela s’arrête …
    Cordialement,
    Philippe Vouette

  43. manondzo dit :

    Préparez vous pour 2016, ce n’est pas la peine de vous égosiller car il n’y aura rien avant cette date, Ali sera candidat à sa succession et cette candidature sera validée (ne vous en déplaise)par l’autorité compétente. Ménagez vos efforts pour trouver un candidat unique, car entre PING et EYEGHE NDONG, vous aurez fort à faire, sans oublier les trublions Maganga Moussavou et une fraction de l’UPG. J’allais dire les deux tendances UPG, car lorsqu’un côté va présenter un candidat, l’autre côté, par orgueil (on se connait) présentera aussi le sien; ainsi on aura une pléthore de candidats de l’opposition qui se neutraliseront, car ayant un même électorat, et le PDG l’emportera le doigt dans le nez.

  44. ADN! ADN! ADN! FAUSSAIRE! FAUSSAIRE! FAUSSAIRE!
    Ali Bongo tu mérites de croupir en prison, toi et plusieurs éléments de ta famille et autres lèche-bottes qui ne vivent que des miettes que vous leur donnez.
    Biafrais tu es né, biafrais tu demeureras. De toute façon tu agis comme un biafrais, et tu es complexé comme un biafrais.

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