Réunis en assemblée plénière, du 15 au 21 janvier à Libreville, les évêques du Gabon ont dénoncé la recrudescence des crimes rituels dans le pays, marquée par un nombre de cas recensés s’élevant à 62 pour l’année écoulée.

À l’occasion de leur assemblée plénière tenue du 15 au 21 janvier, les évêques du Gabon ont réfléchi à l’auto-prise en charge de leur Église, aux normes nationales en matière d’administration et d’aliénation des biens temporels de l’Église et au fléau des crimes rituels au Gabon.

Les hommes de Dieu ont particulièrement condamné les crimes rituels au Gabon. Des pratiques contraires à toute valeur humaine et chrétienne, et auxquelles la Conférence Episcopale compte s’attaquer, avec le concours de toutes les personnes qui craignent encore Dieu. «Les auteurs et les commanditaires de ces actes crapuleux ne doivent pas rester impunis. Car, la vie est un don de Dieu. Et à ce titre, elle ne doit en aucun cas être détruite pour quelque avantage que ce soit», ont-il fustigé.

Les évêques ont initié une série de manifestations contre les crimes rituels au Gabon, à l’instar de la célébration le 28 décembre de chaque année, de la «Fête des Saints innocents», qui sera consacrée en 2012 à «la prière pour les victimes innocentes de toute forme de violence». L’Église emboîte ainsi le pas à l’Association de lutte contre les crimes rituels au Gabon, qui a recensé 40 cas de crime rituels au Gabon en 2008, 42 cas en 2009, 37 en 2010 et, selon sa dernière communication, 62 en 2011, concernant 28 enfants, 20 femmes et 14 hommes. «Mais les commanditaires restent toujours impunis», a souligné cette organisation, non sans préciser que «le chiffre avancé est infiniment insuffisant car, la structure ne couvre pas toute l’étendue du territoire national. On assassine tout le monde, sans distinction de race, de religion, de sexe et d’âge.»

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Arrétez de jouer à l’autruche, vous ne les ignorez pas. Ces commanditaires de ces actes sataniques sont ceux à qui vous accordez tous les privilèges. Allez y à Sainte Marie le dimanche qui sont assis aux premiers bancs ? eux. Mème si Jésus est venu pour les pécheurs mais pour ceux là. Car leur Mal a dépassé le seuil de tolérance. Tu laisses ton nourrisson de 6 mois à la maison à ton retour du boulot c’est pour apprendre qu’il a disparu ensuite cadavéré dans une brousaille non loin de ta maison. Pire ton enseignant, viens à domicile te chercher pour soit disant un entretien c’est pour te décapiter et raconter des bobards par la suite à ta famille que vous avez eu un accident de circulation. Mème moi qui ne suis pas expert de Miami je sais au moins les dégâts d’un objet contigu et l’impact d’une voiture sur un être humain? Questions aux enquèteurs: 1) Comment expliquez vous que 2 personnes marchant cote à cote avec 50 cm d’écart ne puissent pas être fauchées toutes les deux en mème temps étant donné que le soit véhicule venait dans leur dos ? 1er mensonge. Comment expliquez vous qu’une voiture puisse arrachez les parties tant prisées par les sectes (seins, clitoris, pénis et langues). Si c’est une voiture, elle aurait fait une pâtée donc rien de récupérable. 2ème mensonge. Comment expliquez vous que quelqu’un dans un état second car fauché mortellement puisse avoir le reflexe de donner sa position à la seconde mème du drame? Quand on sait que d’habitude ce sont les premiers secours qui le font. 3ème mensonge.Pourquoi après ce drame, le portable n’a plus émis et retrouvé sachant que le dernier appel venait de son accompagnateur. 4ème mensonge. En un mot ne nous moquez pas de nous autres les pôvres car les anges de satan cohabitent avec vous et vous le savez très bien. Avant d’enlevez la paille qui est dans l’oeil du voisin otes d’abord celle qui est en toi. Pas plus tard qu’il ya cela quelques mois à Oyem un curé détenteur de reliques humaines, un pasteur protestant surpris entrain de déterrer un puissant notable de la contrée à Medoumou 18 km de Bitam, j’en passe sur ces faits divers sataniques auxquels est liée l’Eglise ? Seigneur où allons avec cette dérive ?

Poster un commentaire