Le directeur général de l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (Aninf), Alex Bernard Bongo Ondimba et le Responsable pays de la Banque africaine de développement, Robert Masumbuko, ont procédé le 14 mars au lancement des études de faisabilité de la deuxième phase du projet Cab-Gabon.

Lancement des études de faisabilité du projet Cab-Gabon, et de la mise en place d’un centre national de données (Datacenter). © D.R.

 

© D.R.

Les études de la faisabilité de la deuxième phase du projet Cab-Gabon ont été lancées le 14 mars à Libreville. Elles concernent la mise en place d’un centre national de données (Datacenter). Ce centre comprend une plateforme Centre d’alerte et de Réaction aux attaques informatiques (CSIRT), une infrastructure à clé publique (PKI) ainsi qu’un Centre d’opération de sécurité (Soc).

Les travaux ont été lancés le 14 mars par le directeur général de l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (Aninf), Alex Bernard Bongo Ondimba, et le Responsable pays de la Banque africaine de développement, Robert Masumbuko.

Financée grâce à un don de la BAD d’un montant de 454,3 millions de francs CFA et prévue pour une durée de six mois, l’élaboration de ces études de faisabilité intégrera également la mise en place de la fibre optique sur 14 axes du périmètre national désignés prioritaires, établis sur 2000 kilomètres. Ces axes incorporent les interconnexions du Gabon avec le Congo Brazzaville, le Cameroun et la Guinée équatoriale, conformément au Plan de développement des infrastructures en Afrique (PIDA).

Selon le coordonnateur projet Cab-Gabon, Alain Christian Nkoghe Obiang, ce projet favorisera des communications sans interférences réseau, l’amélioration de l’économie du savoir, la baisse de la fracture numérique, la baisse des coûts de communication et insérer le Gabon au cœur de la société de l’information et de la communication.

 
GR
 

0 commentaire

Soyez le premier à commenter.

Poster un commentaire