Les responsables de l’entreprise de salubrité publique du Cameroun ont été reçus par le maire de Libreville et le Premier ministre.

Hysacam : Hygiène et Salubrité du Cameroun. © Journalducameroun.com
Hysacam : Hygiène et Salubrité du Cameroun. © Journalducameroun.com

 

L’entreprise, Hygiène et salubrité du Cameroun (Hysacam), forte de ses 45 ans d’expérience, a été l’hôte du Premier ministre et du maire de Libreville. Ce séjour à Libreville du directoire de cette entreprise emmené par le maire de la commune de Sangmélima, Joël Oyono Mva, avait pour but de voir dans quelles mesures nouer un partenariat avec la capitale.

En 45 ans, cette entreprise dit avoir acquis la maitrise de la chaîne de gestion des déchets urbains: collecte, transport, traitement, recyclage et valorisation. Elle dit aussi avoir inscrit son action, au fil du temps, dans le contexte du développement durable. Aujourd’hui, elle revendique une technologie de haut niveau, une main d’œuvre qualifiée comprenant des polytechniciens et des centres de traitement de déchets modernes.

Déjà présente au Tchad, au Bénin, au Niger, du Libéria et au Cameroun, elle compte importer son expertise au Gabon. «Le maire de Libreville a demandé à la société de faire une étude. Et c’est au vu de celle-ci qu’on pourra voir si cette société peut apporter la réussite qu’elle a eu au Cameroun au Gabon», a déclaré le maire de Sangmélima qui était accompagné du P-DG d’Hysacam, Michel Ngapanoun.

A noter que la maitrise totale de la chaine de gestion des déchets, fait de Hysacam, la première multinationale africaine autorisée à vendre des crédits carbone grâce à la Centrale de captage et de traitement du biogaz, inaugurée le 30 juin 2011.

 

 
GR
 

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