Le mensuel gratuit Enoromi magazine fêtera, le 16 mars, sa première année de parution. Spécialisé dans la promotion de l’entrepreneuriat au Gabon, ce mensuel gratuit, qui s’affirme comme un support de qualité dans son segment de marché, met en relief chaque mois des référents en matière de leadership.

Séïf Mostley et Dorine Henry Mekame le 14 mars 2019. © Gabonreview

 

Apparu dans le paysage médiatique gabonais en mars 2018, Enoromi magazine fête, le 16 mars, sa première année d’existence, à travers un dîner de gala. La production de ces douze premiers numéros n’a pas été une sinécure, à en croire le rédacteur en chef du magazine. Le journal a été lancé dans un contexte difficile, assure Séif Mostley. «On s’est battu, on a essayé de s’inscrire dans une logique qui ferait que chaque mois nous puissions mettre à disposition un numéro du magazine».

Spécialisé dans la promotion de l’entrepreneuriat au Gabon, ce mensuel gratuit, qui s’affirme comme un support de qualité dans son segment de marché, met en relief chaque mois des référents en matière de leadership. Son ambition est de vendre le Gabon à travers ses meilleures réalisations, en mettant en avant les talents, les créateurs de talents, c’est-à-dire les vrais tisserands du tissu entrepreneurial national, quels qu’ils soient et quel que soit le secteur.

Le dîner de gala de ce 16 mars sera également l’occasion de remercier tous ces talents mis en valeur par le magazine, et lesquels, par l’aura de leurs parcours, ont permis à Enor9mi magazine de croitre et se bonifier au fil des numéros. «Il fallait qu’on remercie ces personnes qui ont cru en nous et qui nous donnent le courage de continuer», a déclaré Séif Mostley pour qui toutes les questions abordées dans le magazine depuis mars 2018 valaient leur pesant d’or.

Pour la directrice de publication, Dorine Henry Mekame, la vocation du journal est de vendre les personnes qui ont pris le risque de s’engager dans le domaine de l’entrepreneuriat.  L’objectif du gala est de «positionner le magazine de manière à ce que tout le monde en entende parler». «Nous remercions ces personnes qui se sont prêtées au jeu et qui ont voulu partager leur expérience avec les autres gabonais», a-t-elle affirmé.

Ce dîner gala servira également de rampe de lancement du site Internet du magazine. Toutefois, cette mutation ne se fera pas au détriment du format papier du journal, tiré actuellement à 5000 mille exemplaires. «On dit que les Gabonais ne lisent pas, mais je suis tentée de croire que ce n’est pas totalement vrai. Les numéros quand ils arrivent, au bout de quelques jours c’est terminé et les gens en redemandent», a fait observer Dorine Henry Mekame.

 
GR
 

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