Le ministère de l’Intérieur qui avait enjoint les organisateurs du meeting donné par l’Union des forces du changement (UFC), de ne pas y accorder la parole aux leaders de l’Union nationale, interdite, n’a pas manqué de réagir, avec promptitude, au non respect de sa consigne. Les partis politiques organisateurs risquent la suspension ou la dissolution. Sauf l’UNPR de Me Mayila.
Jean Éric Nziengui Mangala, Porte-parole du ministère de l'Intérieur - © François Ndjimbi/Gabonreview.com
La participation du parti interdit, l’Union nationale de Zacharie Myboto, au meeting donné par l’Union des forces du changement (UFC), le samedi 22 septembre au carrefour Rio, malgré l’avertissement du ministère de l’Intérieur, a poussé ce département gouvernemental à réagir sitôt le rassemblement de l’opposition terminée.
Dans un point presse, donné ce même samedi 22 septembre 2012, le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Jean Eric Nziengui Mangala, a rappelé qu’à la suite des démarches menées par Jules Aristide Bourdès Ogouliguendé, président du CDJ, et Louis Gaston Mayila, leader de l’UNPR, qui avaient correctement répondu aux explicitations exigées, «le ministre de l’Intérieur a donné son accord pour la tenue de ce meeting tout en saluant l’esprit légaliste et républicain qui a guidé le organisateurs dans la démarche d’obtention de l’autorisation. En sus, il leur a rappelé que les responsables de l’ex-Union nationale, parti politique dissout depuis le 25 janvier 2010, ne doivent pas prendre la parole au cours de cette circonstance.»
La consigne n’a pas été respectée. De ce fait, le porte-parole de l’avenue de Cointet, siège du ministère de l’Intérieur, n’a pas manqué d’indiquer qu’«En revanche, le gouvernement a noté que si les organisateurs de cette réunion publique se sont conformés à l’exigence d’obtention d’une autorisation pour la tenue de ce meeting, l’on peut déplorer leur attitude de défiance vis-à-vis des lois et de l’autorité de l’Etat.» Et Jean Eric Nziengui Mangala de souligner qu’en donnant expressément la parole aux responsables de la formation politique dissoute, les organisateurs de l’évènement ont enfreint «les termes» de l’autorisation qu’ils avaient reçu pour organiser ce meeting et les articles 41, 42, 45 et 46 de la loi n°16/2001 du 14 février 2012 portant modification de la loi n°24/96 relative aux partis politiques.
Le ministre de l’Intérieur se réserve donc le droit d’appliquer à tous les partis politiques organisateurs les dispositions de cette loi qui vont de la suspension à la dissolution. L’article 40 de la loi susvisée indique en effet que par «décision motivée», le ministre de l’Intérieur peut «suspendre ou dissoudre un parti politique ou un regroupement de partis politiques». L’article 41 de la même loi stipule que la suspension peut survenir, entre autres, en cas d’«organisation de réunions publiques déclarées interdites par l’autorité administrative compétente».
Prenant l’opinion nationale et internationale à témoin et soulignant que «le gouvernement ne se laissera pas distraire», Jean Eric Nziengui Mangala a indiqué que ces agissements «participent de la volonté d’une frange de compatriotes à installer le chaos dans notre pays.»  Si on note que le ministère de l’Intérieur n’a pas donné de date pour faire appliquer les sanctions dont il se réserve le droit, on devra remarquer qu’un seul parti membre de l’UFC pourrait y échapper : l’UNPR de Me Louis Gaston Mayila dont le courrier, transmis dans la matinée au ministère de l’Intérieur, passait en boucle sur TéléAfrica alors que se déroulait le meeting problématique.
Jean Eric Nziengui Mangala a d’ailleurs spécifié que par cette correspondance, Me Mayila «s’est désolidarisé de l’organisation de ce meeting parce que dit-il et on le cite : «n’ayant pu amener mes pairs à obéir à la consigne des pouvoirs publics, j’ai décidé de ne pas prendre part à ce meeting et à dégager par voie de conséquence ma responsabilité et celle de mon parti, devant les conséquences éventuelles qui peuvent en découler». Refusant par là, de participer à une réunion devenue illégale».
Dans la salle du ministère de l’Intérieur où se tenait le point presse, des journalistes n’ont pas manqué de faire remarquer au porte-parole que le secrétaire général de l’UNPR de Me Mayila avait pris part au meeting, au rang des officiels. Quelle suite le ministre de l’Intérieur, Jean François Ndongou, entend-il donner à cette affaire ? Wait and see.

 
GR
 

0 Commentaires

  1. l'homme intègre dit :

    Mayila représente quoi mème dans ce pays avec son parti? mème pas un grain de sable que peut-il face à un peuple hors de lui? Rien du tout qu’il aille quémander à Ali sa pitance quotidienne. La Mama avait raison de chanter On vous connait voilà un que le peuple gabonais connait mantenant très bien car son masque étant tombé.

  2. Le citoyen libre dit :

    Je crois qu;il faut que l’on repondre a ce gouvernement ditacteur avec des manifestations dans tout le pays dire que nous sommes fatigues de cette ditecture..!

  3. Le citoyen libre dit :

    Jean Eric Nziengui Mangala, j’espere que tu n’es qu’un simple porte parole de Ndougou ? Ce serait domage que tu sois dans la liste des personnes qui font du mal aux gabonais parce que le jour que le PDG ne sera plus au pouvoir nous ne t’oublierons pas mon frere.

  4. Le citoyen libre dit :

    Me Mayila «s’est désolidarisé de l’organisation de ce meeting parce que dit-il et on le cite : «n’ayant pu amener mes pairs à obéir à la consigne des pouvoirs publics, j’ai décidé de ne pas prendre part à ce meeting et à dégager par voie de conséquence ma responsabilité et celle de mon parti, devant les conséquences éventuelles qui peuvent en découler». Refusant par là, de participer à une réunion devenue illégale».
    Pour nous c’est pas d’obtenir la legalite de s’exprimer le plus important c’est dvoir pu s’adresse aux Gabonais.
    Vous allez finalement interdir tous les partis d’opposition.
    Nous savons que vous allez dans quelques jours creer vos partis d’opposition au sein du PDG pour vous accompagner aux elections.

  5. Gabao.kool dit :

    La seule resposabilité de Mayila, en tant qu’opposant, c’est d’aller quémander de l’argent et négocier les postes en catimini auprès du PDG. En fait, ce type et sa bande, qui ne cessent de trahir le peuple doivent tout simplement être reniés de l’opposition vraie qui parle au nom du peuple.
    On ne peut pas, et ne doit pas vivre des mêmes fourberies, d’un côté, de Mayila et consort, et de
    l’autre côté, des Bongo et le PDG. Il faut mettre
    fin à celà d’une manière où d’une autre.

  6. manondzo dit :

    On ne reconnait pas l’autorité, on n’obéit pas à sa loi et on supplie la même autorité à s’asseoir et discuter ensemble… cette opposition est faite de blagueurs!! De toute les façons elle a un « président » de la république qui a prêté serment, un « premier ministre » et un « gouvernement », qu’elle fasse SA conférence nationale! Pourquoi supplier quelqu’un dont ne reconnait même pas son autorité…Paradoxal!

  7. Le citoyen libre dit :

    Pour combre le PDG il nous faut un leader qui a pas un passe commun avec le PDG.

  8. james2012 dit :

    Me Mayila est libre et faire ce qu’il entend mais les autres? on ne peux pas vouloir de quelque chose et son contraire, les soit disants opposants ne reconnaissent pas la légitimité du Président Ali mais veulent d’une conférence nationale dite souveraine et ils vont parlé au nom de qui ou de quoi? le Gabon n’est pas une république bananière comme certains hommes et femmes de ce pays le disent, je pense qu’il faut arrèter de distraire le peuple.

    • Le fils du pays dit :

      @ james mon frère
      je crois que tu n’eas rien compri et certainement tu ne comprendras rien. L’opposition ne demande pas une CNS pour supplier qui que ce soit mon frère. Il faut relire tes archives pour comprendre que c’est au cours de cette grande messe que sont prises les grandes décisions du bled. Durant 40 ans nous avons vu où le bateau est aller acosté, aujourd’hui, il s’agit de le diriger vers un autre cap c’est tout et rien d’autre.
      Si quelqu’un ne peut s’exprimer au nom de son parti sous pretexte qu’il est dissout, mais au moins on peut le faire en tant que personne physique et morale. Pour le PDG a peur des leaders de l’UN? Hein dis-moi!!!

  9. Gabao.kool dit :

    Combien de fois faut-il que l’on vous dise, qu’un président digne de ce nom, reste un élu du peuple qui, conséquemment, le reconnait et l’accepte dans sa totalité.
    Or, Ali Bongo est d’abord rejeté par le peuple Gabonais qui le renie et ne veut pas le sentir. Alors, pourquoi feront le contraire, ces
    adversaires politiques qui, aujourd’hui parlent au
    nom du peuple ?

  10. james2012 dit :

    Bien au contraire , ils ne parlent que pour eux même, regardez le contexte actuel, qui avons nous que ses soit de la majorité ou de l’opposition, les mêmes depuis 1990, on parle trop de politique et l’economie quant font ils, rien dutout.

  11. Mba Obame dit :

    Mais vous parlez de Mayila, je crois que notre grand Chef Mba Obame avait donne un delai pour le depart d’acrombessi. Depuis longtemps le delai est depasse,no comment,silence radio. Alors qui de Mayila ou du Sauveur Mba Obame divertit le plus?

  12. Gabonais dit :

    Que Ndongou s’abstienne d’appeler la communauté internationale à témoins. A moins qu’il ne parle de la communauté des dictateurs. Car aucune démocratie, aucun monde libre de peut se réjouir de voir un parti au pouvoir menacer de suspension ou de dissolution tous les partis de l’opposition légale. Et il n’arriveront pas à faire croire au monde qu’autant de partis peuvent arriver à former une coalition autour d’idée folles et de division sans se dire : qu’il y a certainement des abus de la part de ce pouvoir si son opposition est poussée à se rassembler autour d’un discours radical de révolution. Le PDG n’a d’autres choix que de faire avancer la démocratie par un découpage cohérent, des élections transparentes et à deux tours, la biométrie.

  13. Gabonais dit :

    james2012 il n’y aura pas d’économie qui marche tant qu’au niveau des politiques on n’a pas les personnes qu’il faut. Et le fonctionnement du pays tel que conçu par le PDG ne permet l’émergence des personnes qu’il faut à la place qu’il faut. Et aucune économie ne peut être efficiente avec des dirigeants politiques complètement à côté de la plaque. C’est un mensonge et une démagogie de vouloir faire croire que tous les leaders de l’opposition ont été aux affaires à côté des PDGistes et même si. Ce n’est pas une raison d’accepter que les choses continuent à se dérouler de cette façon.

    • Mark dit :

      C’est pourquoi il faut se debarasser de la vielle peau des politiques!
      C’est vieux qui ne savent meme pas a quoi sert un Ipad…Et tu penses que le developpement viendra de la? Ils n’ont meme pas la vision plus longue que le bout de leur nez! Cependant, la vision de la poche pleine et du vol atteind le soleil et plus proche, la lune…C’est triste pour le peuple qui suit ces roublards…

  14. Boukoubi Maixent dit :

    Force doit rester à la loi. Que Ndongou dissolve tous ces partis qui ont tenu le meetong à Rio et c’est tout. S’il ne fait pas alors on saura qu’il est contre l’émergence…

    • Gabonais dit :

      Boukoubi Maixent tu es pathétique. Vraiment les PDGistes sont résolus à emmener le Gabon au Cahot. Il n’ont pas compris qu’à ce stade des choses ils n’arriveront plus à museler les gens à moins qu’il aillent jusqu’au crime. Et leur entêtement à bloquer les revendications de l’opposition qui premièrement ne veut que la consolidation de notre démocratie afin que ce ne soit plus celui qui perd dans les urnes qui gagne, ne conduira qu’à une tension encore plus grande!

  15. Mba Obame dit :

    Avant de crier sur Mayila,interrogez Mba Obame sur le delai qu’il avait donne pour le depart d’acrombessi.

  16. Gabao.kool dit :

    Parler au nom du peuple, c’est simple suivre la voie démocratique et non repressive comme le fait Ali Bongo, qui n’est pas d’ailleurs qualifié pour diriger le GABON.
    Maintenant, s’agissant justement de ceux que vous appelez les mêmes : Ali Bongo, Burantsuooooo, zouba Ndamaaaaa… en font parti.
    Cependant, est ce que développer le pays est synonyme de le mettre à la disposition des expatriés, aujourd’hui devenus KINGS dans nos localités ? Où encore, d’organiser les coures nautiques, les forums insensés, juste pour se faire entourer par les celibrités comme au vieux temps, lorsqu’on se cherchait ? Est ce que développer le pays c’est d’inviter R kelly, mon frère James 2012 ?
    On ne voit rien de ce qui est faites comme promesses, mais plutôt, l’on assiste au pillage et à la délinquance économique. Rappelons que, la tendance haussière de la croissance dans les pétroliers dont le Gabon fait parti, est le resultat du prix de barril qui est monté et non les politiques infantiles et incompétentes d’Ali Bongo.

  17. Gabao.kool dit :

    Retenir: ce qui est faite comme promesse.

  18. Mba Obame dit :

    Ce qui est grandement etonnant avec notre opposition,est que aussi etrange que cela puisse paraitre,le seul programme qu’elle a dans son discours c’est le depart d’Ali,rien d’autre. Personne ne propose son chronogramme de developpement, aucune hypothese idoine pour enrayer la pauvrete. Quel est le projet de societe de l’opposition a part chasser Ali du pouvoir?

    • Gabonais dit :

      L’opposition a un projet de société pas les mensonges d’Ali Bongo qui est incapable de réaliser le dixième de ses promesses. D’autres part, il faut arrêter votre veille antienne. Tant que les Bongo et le PDG sont au pouvoir, les projets de société ne sont que de la salive parce que rien ne peut marcher de façon efficace avec ces gens.

    • Mark dit :

      Mais tu vois? les gabonais ne comprennent rien a cela!!! Ils insultent le PDG et Ali sans pour autant proposer des solutions de developpement, pas de programme sociaux, RIEN!!! Et ils se font appeles des opposants, c’est pathetique que le gabonais puisse s’associe a une telle aventure…Au moins Ali a un plan et on voit son action…Andre et le reste proposent quoi au peuple? La meme chanson « Tout sauf Ali »?…C’est triste!!! Pauvre peuple…Easy manipulable

  19. Le petit-fils de la veuve dit :

    Tout ça là c’est long.
    Moi je vous dis qu’il nous faut une femme au pouvoir dans ce pays.
    Je soutiens Laure Olga GONDJOUT pour 2016. On est fatigué des Bongo. On veut Laure Olga GONDJOUT en 2016. Une femme compétente et expérimentée.

    • Le Citoyen libre dit :

      Oui je crois qu’il ne suffit pas d’avoir une femme parce que savons que les femmes sont aussi pire que les hommes la preuve la presidente de la cour constitutionnelle.
      Nous pouvons accepter une femme a la tete du pays mais pas une mere qui protege uniqument les interets de sa famille.

  20. nababy dit :

    no comment! se sa notre fameuse opposition!!! étant qu’observateur de la vie politique au Gabon, j’affirme que c’est une serie de « coup bas » et que l’opposition n’est Unie, UFC n’est qu’une parodie dont les meneurs sont MBA Obame et sa dream team!!.sinon pourqoi l’UFC ne peut pas s’exprimé sans les membres de l’UN? en creant l’Union Nationale un seul homme « MBA OBAME » a participé a sa dissolution! aujordhui ce sont ces memes « types » qui veulent participer a la destabilisation de l’UFC! reflechissez un Peu!!! ce pose maintenant un probleme de leaders ship dans l’opposition! qui est leader de l’UFC? certainement pas le peuple!

  21. nababy dit :

    @Boukoubi Maixant je me repete « en creant l’Union Nationale un seul homme « MBA OBAME » a participé a sa dissolution! aujordhui ce sont ces memes « types » qui veulent participer a la destabilisation de l’UFC! » reflechissez un peu! Attention a ce « gang » quand il ya une veritable opposition qui veut naitre dans ce pays il ya un « destructeur » un « pion » qui surgit pour la neantir! l’UFC est un véritable block d’opposition voila comment ils veulent encore detruire la coehosion! pourquoi il n’ya que ces opposants qui se dit de l’UN qui foule au pieds les institutions et les lois en vigueurs? Attention! MAYILA n’a pas agis en tort!

    • Boukoubi Maixent dit :

      @Nababy. ça veut dire quoi « foule au pied les institutions » ? ça veut dire tirer sur les gabonais quand ils se sentent floués après une élection ? ça veut dire légiférer en opportunité ? ça veut dire nommer ma parente à la cour constitutionnelle ? Qui peut accepeter d’aller au tribunal m’affronter en sachant que le juge est mon parent ? En droit, il y a le principe de suspicion légitime qui rend nul et de nul effet toute décision prise par mon parent dans une affaire me concernant. Qui est Mborantsuo ? Quelle crédibilité et quel respect accordés à une institution qu’elle dirige et loge dans sa propre maison aux frais de l’Etat ? C’est ça vos institutions ? Mais vous avez une drôle de conception de l’Etat et de la République. Si votre Ali Bongo respectait les institutions et le droit, il ne l’aurait pas renommée comme il ne se serait pas permis de donner des ordres aux parlementaires en violant le principe de sépration des pouvoirs. Si votre Ali respectait les institutions ou plutpot s’il savait ce qu’est un Etat, il ne se ferait pas représenté à l’étranger par Nzouba Ndama ou Rogomé qui appariennent à un autre pouvoir…. On vous répète les mêmes choses que tout étudiant de 1ère année droit connaît mais vous vous entêttez à voulouir ressembler à ceux qui ont définitivement tourné le dos à l’intelligence…

  22. manondzo dit :

    @Boukoubi Maixent. Je persiste en disant que l’opposition supplie le Président de la République, elle est coincée: elle ne veut pas reconnaître Ali BONGO ONDIMBA comme Chef de l’Etat, mais paradoxalement elle supplie ce dernier d’organiser une conférence nationale. N’IMPORTE QUOI!

    • Boukoubi Maixent dit :

      @Manondzo. Votre insistance à au moins un mérite : celui de prouver que la clé de la légitimation d’Ali se trouve entre les mains des leaders de l’UN. En creux vous reconnaissez ainsi que ce sont eux qui sont légitimes. Votre insistance revient à leur demander d’accepter de transférer leur légitimité à Ali Bongo. De ce fait, vous admettez sans le savoir qu’Ali Bongo n’est pas légitime. CQFD. Mais, qui en doutait encore ? En tout cas pas Ali Bongo. merci d’avoir enfin avoué qu’il est illégitime. Encore un peu d’effort et vous demanderez son départ comme plus de 58% des Gabonais….

    • Le fils du pays dit :

      @ manondzo
      Finalement, je crois que tu es bloqué et ton argument nous laisse perplexe. Qui supplie qui et pourquoi? Ne trouves tu pas que tu tournes en rond sur cette question de CNS? Tu as mieux à faire et on ne peut pas te l’interdire, c’est ça la démocratie mon frère

  23. nababy dit :

    @Boukoubi Maixant! tu continu a faire dans la langue de bois! quand tu cite ses autorités Nzouba, Regombé, bourantsouo et ces institutions que vous ne voulez pas respectez ont -elle eté mis en place dpuis 2009? ces autorités que vous cités on servis quand nos pseudo opposant etaient dans la gestion du pays et ne leur on jamais contesté! aujordhui ces institutions sont a « craché » c’est triste pour toi! fais la politique avec un peu de reserve sinon tu ne comprend rien.

    • Boukoubi Miaxent dit :

      @Nababy. Comme les pièces détachées se pratiquent depuis des années, il faut laisser les choses aller dans ce sens…. C’est ça ? Pourquoi, bien qu’on sache qu’il en est congénitalement incapable, votre Ali Bongo parle-t-il de rompre avec certaines pratiques ? Comme ces institutions existent avant 2009, il ne faut pas les dénoncer, leur demander de devenir républicaine et moins partisanes. C’est ça ? Drôle de raisonnement…

  24. manondzo dit :

    @Boukoubi Maixent. Vous pouvez toujours rêver, ALI est là jusqu’en 2016, voire 2023. Et ce n’est pas une bande d’octogénaires qui sont entrain de livrer leur dernier combat qui l’en empêcheront. Parlez! parlez! mais laissez nous avancer!

    • Boukoubi Miaxent dit :

      @Manondzo. Et voilà le catéchisme, la vulgate émergente….. Et voilà vos certitudes éculées. Sans doute est-ce pourquoi vous maintenez, sans g^pene aucune, à la tête de la Cour constitutionnelle quelqu’un à qui vous êtes notoirement parent…. Tout étudiant de 1ère année droit sait que les décisions prises par un juge concernant une affaire qui engage un de ses parents sont nulles. L’éthique du magistrat recommande que l’on se recuse dans ce cas. Votre Mborantsuo, qui se dit juge, s’st-elle récusée un jour ? Quelle valeur donner à vos institutions ou à ses décisions ? Juridiquement aucune. Elles ne valent que du fait de la capacité de l’armée à les faire respecter, y compris au prix du sang des Gabonais. Un peu triste que vous vous employez à soutenir quelque chose dont vous savez qu’elle ne mène que vers la mort de Gabonais comme vous… Pourvu que cela ne se retourne jamais contre vous et contre un des vôtres… Attention cher ami : personne n’avait cru que Myboto, Eyéghé Ndong, Missambo, Mba Obame se retrouveraient un jour à subir cela… Que cela vous serve de leçon…. Bonne chance à vous…

  25. Sablière dit :

    Quand tu veux résoudre un problème il faut s’attaquer à sa cause.
    Pour résoudre les principaux problème du peuple gabonais (injustice sociale, riche illégallement répartie, infrastructure médicale, scolaire, routière datant des années 60…) aujourd’hui il faut évidemment s’attaqued à la cause immédiate de ce problème et ensuite traiter la cause du point de vue élargie. Ici la cause immédiate depuis plus de 42 ans des pb des gabs est sans équivoque: Le BONGO/PDG.
    Alors posons-nous la question par qui du PDG ou de BONGO est la véritage cause immédiate? Voyons si on enlève le PDG est-ce que Bongo sera toujours le problème? Réponse OUI, bon et si on enlève BONGO est-ce que le PDG sera toujours le PB des gabonais: NON, en tout cas plus au même degrés.
    Et voilà, la sentence est donné, BONGO étant la cause principales des maux subits par les gabonais est la cible, la mauvaise gangraine dont il faut se débarrasser au risque de périr.
    Que ceux qui se demandent pourquoi cer acharnement sur le petit BONGO comprennent que le petit BONGO fait énormement du tord à tout un peuple et ce depuis trop longtemps.
    Qu’il parte et nous vivrons mieux.

    • Mark dit :

      Commence a participer au developpement de ton pays en apportant des idees constructives et non simplement des accusations ou encore des critiques…TOUS, sont passes aux affaires, Bongo pere est parti, le fils fait la difference que le pere et le reste n’ont pu faire en 42ans, moi, je lui donne du credit! Ali est le president du Gabon et il est en voie de developper ce pays en moins de 10ans…Tu auras dans ce delais ce que tu devrais attendre en 150ans…Arretes vos discours sans propositions concretes et laisse ALI travailler!!!

  26. ni lire ni écrire dit :

    Qu’est ce que vous aimez l’écume ! Je me suis amusé à compter les commentaires sur les posts purement politiques, ceux qui ne font que compter les points de la bataille de cour de récréation que se livrent les politicaillons et ceux sur les faits de société, l’économie etc… C’est édifiant, le rapport est de 1 à 10, et encore certains arrivent à parler de politique sur des sujets pour le moins éloignés !
    Si seulement vous aviez de vrais discussions « Politiques », au sens noble du terme. Projet contre projet. Peut on Gaboniser les postes maintenant ou doit on attendre que la formation soit améliorée? Doit on commencer par faire les routes ou par faire des logements? Doit on utiliser la manne petrolière pour distribuer la richesse aux plus démunis, ou bien investir pour l’avenir au risque de creuser les inégalités? Mais tout ce que vous trouvez à dire, c’est : lui il est méchant, lui il est mieux… Lui il a triché aux élections (en oubliant que c’est l’autre qui a mis le système en place) Pfff… Allez, continuez avec votre mauvaise foi à regardez ces « jeux du cirque » moi je vais me boire une Régab et regarder la mer, au moins son écume est jolie…

  27. james2012 dit :

    @ le fils du pays,la gourmandise politique est un vilain défaut, je pense qu’il ne faut pas tout confondre, ces soit disants opposants vont parlé au nom de qui ou quoi si ce n’est que pour eux même, de toute façon, ils ne sont pas opposants par conviction politique mais tout simplement par pure égoîsme, lorsque le Président Bongo Ondimba décède, tous se prévalait d’être le dauphin la suite on la connaît, il y a nouveau président et chacun retourne sa veste en brandissant qu’il ya eu un coup d’Etat constitutionelle tout en se basant sur un documentaire sur la françafrique qui est un sujet que tout monde connait, alors pourquoi lorsque le défunt président était là personne ne s’est levé pour crié à une autre concertation politique, la répone est claire: NOBODY!!!
    Pour moi ils ne sont pas digne de confiance et le comble c’est qu’à peine ils créent UFC ce machin, ils diabolisent Mr MAYILA, déjà!!!!! alors oû ces opposants sont sérieux ou bien ils prennent vraiment les gens pour des idiots.
    Si déjà sous OMAR ils n’ont pas fait leur preuve à par bien entendu s’enrichir sur le dos du contribuable, vous croyez que c’est demain qu’ils le feront, j’en doute, ces gens là ne changerons jamais et en plus il n’ont aucun programme pour le développement du Gabon, Lorsqu’un arbre est tordu on ne plus le redresser.

    • Guy Massard dit :

      @james2012. Vous qui connaissez les faux ou pseudo-opposants, pouvez-vous créer votre parti politique et devenir le vrai opposant que nous suivrons ? Vous qui êtes un rabre droit, permettez-nous d’avoir encore foi en l’avenir, devez opposant, je vous en prie… Ou alors, laissez ceux qui ont les c….. faire

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