Des partisans de la majorité avaient mis en garde contre la manifestation de l’opposition du week-end dernier. Au vu du résultat, il faut maintenant démontrer qu’ils ne militaient pas pour le contraire de ce qu’ils affirmaient en apparence.

Rio, le 20 décembre 2014. © infoskinguele
Rio, le 20 décembre 2014. © infoskinguele

 
«Force doit rester à la loi». Ainsi parlent les défenseurs de la majorité dès lors qu’on leur évoque une manifestation de l’opposition. Après les émeutes du week-end écoulé, cette maxime revêt un tout autre sens, une toute autre tonalité. Rabâchée à longueur de colonnes, reprise çà et là, répétée partout, elle mérite une analyse plus froide, plus lucide.
On notera que depuis quelques semaines déjà notre confrère L’Union revient sur un scénario visant la déstabilisation des institutions, soulignant que «la rue n’appartient à personne», que «personne n’a le monopole de la rue» et invitant les forces de défense et de sécurité à prendre leurs responsabilités. Notre confrère se drape des oripeaux du défenseur des institutions et laisse, à mots à peine couverts, planer le spectre de la répression. Bien entendu, il dit rejeter toute forme de violence et s’en prend à bras raccourci à l’opposition, accusée de tous les maux comme si ses principaux responsables ne sont pas des hauts commis de l’Etat, des personnalités aux états de service éloquents. Si l’on admet que, sans le savoir,  L’Union se pose en chantre du concept wébérien de «violence légitime», on doit admettre que, sous nos latitudes, cette notion dérive trop souvent vers la négation des droits des individus et libertés publiques. Or, l’espace public, notamment les médias et l’opinion, a un rôle de régulation dans l’exercice de la violence légitime dont elle fixe les limites. Si notre confrère avait vraiment voulu défendre cette idée, il aurait tenu compte du champ des libertés et de sa dimension constitutionnelle. Il se serait alors rendu compte que la liberté d’association et de réunion est consacrée par la Charte nationale des libertés ratifiée par la loi 2/90 du 26 juillet 90 et aurait simplement milité pour que toute manifestation soit encadrée et protégée par la force publique, au lieu de bander les muscles et s’aventurer sur un terrain qui n’est pas le sien.
En fait, les propos entendus çà et là sont souvent contredits par une analyse rigoureuse et scientifique à laquelle ils ne résistent que très mal. Lors de sa rencontre avec la presse, le 18 décembre dernier, le porte-parole de la présidence de la République avait mis en garde les «putschistes», allant jusqu’à leur demander de mettre leurs progénitures en première ligne. En le faisant, il accréditait l’idée selon laquelle le débat politique au Gabon est une affaire de familles, que les uns et les autres sont moins au service du pays que de leurs parentèles. Ce faisant, il laissait s’insinuer l’idée que les forces de défense et sécurité sont sinon membres, du moins au service d’une famille. Pourquoi demander à Zacharie Myboto, Jacques Adiahénot, Paulette Missambo, Pierre Amoughé Mba… de placer leurs enfants sur la ligne de front ? Est-ce à dire que les forces de sécurité sont les enfants des ténors de la majorité ? Une lecture républicaine aurait dû le contraindre à constater qu’elles sont au service des institutions que Benoît Mouity-Nzamba, Luc Bengono Nsi, Jean Ping ou Moukagni Iwangou ont la prétention d’incarner un jour. En introduisant les familles dans le débat politique national, il a personnalisé les choses. En dénonçant les «putschistes», il a porté les passions à un degré d’incandescence insoupçonné. Plus grave, il a laissé croire que derrière le meeting annoncé, quelque chose de plus grave se préparait et que le régime se tenait prêt à y répondre en usant de la force et des institutions.

Guy Bertrand Mapangou, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, le 21  décembre à Libreville. © Gabonreview

Guy Bertrand Mapangou, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, le 21 décembre à Libreville. © Gabonreview


Sagacité juridique
On notera que le lendemain, le ministre de l’Intérieur reconnaissait qu’une requête «conforme aux dispositions de la loi n° 48/60 du 8 juin 1960 (…) notamment en son article 6 qui traite des délais de saisine d’une part, et d’autre part de la loi n° 16/2011 du 14 février 2012 portant modification de la loi n° 24/96 du 6 juin 1996 relative aux partis politique » lui avait été adressée pour solliciter la tenue de ce meeting. On relèvera qu’il signifiait cependant que «des citoyens se réclamant des structures politiques non reconnues, qui appellent ouvertement à l’insurrection et à la désobéissance civile» devaient intervenir à cette occasion. Cet élément l’aurait décidé à ne pas autoriser la rencontre. Doit-on rappeler que la désobéissance civile est un mode d’expression non violent ? Doit-on souligner qu’elle est explicitement reconnue juridiquement dans la hiérarchie des normes gabonaises ? L’article 2 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, qui figure en annexe de la Constitution et fait partie du bloc de constitutionnalité au Gabon, dispose, en effet, que «le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression». Or, l’oppression n’est pas une notion juridique. Elle est politique et renvoie au ressenti de chacun. Pis, la résistance à l’oppression dont notre bloc de constitutionnalité fait un droit, excède la désobéissance civile. Elle autorise celui qui la convoque à agir «immédiatement et très fort» et légalise des moyens d’action extrêmes. Nos responsables politiques en ont-ils conscience ? On ne peut en dire la même chose pour tous… A chacun selon sa culture politique et sa sagacité juridique….
L’idée que certains compatriotes veulent susciter une insurrection est malheureusement contreproductive. Elle donne le sentiment que la population est disposée à les suivre. Plus on la ressasse, mieux on instille la thèse d’un déficit de légitimité de la part du pouvoir actuel. A bien des égards, elle donne le sentiment que la majorité ne l’est que de nom, qu’elle est consciente que toute action populaire peut lui être fatale. Les accusations de l’opposition s’en trouvent donc curieusement confortées. Comment peut-on, en effet, redouter ceux de qui on tient le pouvoir ? Comment des «leaders en mal de popularité» peuvent-ils conduire un peuple à la révolte ? A l’évidence, il faut se demander si on n’est pas en face d’un usage abusif de l’antiphrase…
On en vient à se demander si le climat de surchauffe dans lequel a eu lieu la malheureuse manifestation de l’opposition du week-end dernier n’a pas artificiellement été entretenu par ceux qui croyaient bien faire. Chacun sait que la gouvernance c’est d’abord l’interaction des forces. Le maintien de l’ordre public est nécessaire mais, il doit se faire sans menaces ni crainte, sans tambours ni trompettes. Sauf à vouloir faire monter la pression, tous les gouvernants le savent. L’opinion populaire le sait aussi. Pour l’heure, elle vient d’enregistrer un mort de plus. Un mort de trop…
 

 
GR
 

67 Commentaires

  1. olivier dit :

    Ce soir je suis profondément triste, et j’ai une pensée particulière pour ceux qui sont tombés. Pourquoi le pouvoir en place au Gabon a-t-il interdit une manifestation pacifique qu’ il a lui-même autorisé quelques jours avant ?
    A mon humble avis il y a deux raisons à cela, d’un côté le pouvoir a voulu jouer au plus fin et d’un autre côté le pouvoir a eu peur de voir une déferlante humaine prouver aux yeux du monde qu’il est honni.
    Le peuple Gabonais paye une fois de plus le prix lourd pour sa libération, pour une justice équitable, pour la transparence dans la gestion de ses finances, de son patrimoine minier, culturel et social, enfin le prix lourd pour obtenir des institutions démocrates qui respectent sa volonté libre et sa souveraineté. Au pouvoir en place ce soir, j’aimerai vous dire qu’il n y a rien d’éternel dans ce monde surtout pas une œuvre démoniaque. En effet quand on voit les fétiches et sacrifices occultes fait à Rio pour maintenir le peuple en captivité cela ne fait plus aucun doute que ce pouvoir est démoniaque et on comprend mieux les nombreux crimes rituels, on comprend pourquoi certains commanditaires pourtant clairement identifie sont conseillés à la présidence et pourquoi il n y a jamais de véritables arrestations ou de condamnations. A ce pouvoir je tiens également à rappeler ce soir les paroles de feu Omar Bongo https://www.youtube.com/watch?v=sP6kjAJkxZE, a ce pouvoir je dis, la correction de Dieu est en chemin et elle ne saurait tarder, a ce pouvoir je dis rien ni personne ne pourra briser la détermination du peuple gabonais à se libérer des chaines l’oppression, du mépris et de l’injustice.
    Aux forces de défenses et de sécurités vous êtes la honte du peuple gabonais, une véritable honte vous qui la nuit sécurisez des marabouts pour envouter le peuple et le jour n’hésitez pas à tirer sur ce dernier. Si vous n’avez pas le courage d’accompagner le peuple dans sa soif d’équité et de changement alors ayez la dignité de laisser faire. Vous êtes une honte vous qui n’hésitez pas à brimer, blesser et humilier les étudiants mais qui en même temps êtes incapable de lever la tête fasse aux nombreuses brimades et humiliations que le pouvoir que vous soutenez aveuglement vous fait subir. Vous êtes une honte vous qui vivez pour la plupart dans la plus grande des misères, dans les bas quartiers avec nous quand ce n’est pas dans des camps en tôles et/ou d’une extrême salubrité, vous qui avez du mal à scolariser vos enfants, a vous soignez, vous qui êtes criblés de dettes du faite de vos salaires de misère et vous qui êtes incapables de demander un meilleur traitement, de meilleurs conditions de travailles et de vie mais qui obéissez au doigt et à l’œil du pouvoir comme un chien bien dressé par son maitre. Vous êtes une honte et soyez sans crainte avec ou sans vous le peuple va se libérer.

  2. Minko dit :

    ROXAŃNE , quelle plume !!!
    Avec une pareille analyse , les jours de mon quotidien préféré sont comptés….
    BRAVO.

  3. Manondzo dit :

    Merci Roxanne , je garderai précieusement cette analyse ..
    Merci encore de nous éclairer de ta plume le scénario des émergents …
    Tout est effectivement réunis …

  4. bdkmli dit :

    tout ce que je peut dire, c’est que ALI envoi souvent son Perroquet (Bili bi Nze) croquer les micros pour détourner le débat.les grèves à répétition et autre crise, ne sont la panache des opposants. quand Ali créa son affaire de (PIP) là a commencé les pb.confisquer le trésor à la présidence, là ya pb,les promesse non tenus, là réside les vrais pb etc, donc arrêtez de diaboliser l’opposition. les vrais problèmes sont ailleurs.la réalité est que, les VRAIS Gabonais ne veulent plus voir ALI au pouvoir point-bar.

  5. kild dit :

    Les gens qui comment n’etaient pas a Rio pour voir ce qui c’est passé. Ce sont les manifestants qui ont commencé a agressé les policiers avec des bouteilles.Ne racontez pas des choses dont vous n’avez pas vecu

  6. charly dit :

    LES MOTS ME MANQUENT, pour décrire L’INDIGNATION ET LA COLÈRE. Cette question est pour les PDGistes: est-il plus facile a ALI BONGO DE TUER DES GABONAIS PLUTÔT QUE DE FAIRE UN TEST ADN ? ET VOUS ACCEPTEZ D’en être complice ? Pourquoi ces assassinats inutiles,alors qu’il est certain, que ce dictateur assassin partira. PENSEZ VOUS QUE LE SANG INNOCENT DES GABONAIS QUE VOUS FAITES COULE SAUVAGEMENT NE CRI PAS  » JUSTICE ». TOUS LES PDGistes actuelles sont pour nous complice, TOUS. DE MÊME QUE MAPANGOU, MPOUHO et MAMIACKA S’ASSURENT UNE PLACE, PAR CES ASSASSINATS COMMIS EN LEURS NOMS, AU MIEUX EN EXIL, sinon AU TPI. TOUT CA POUR DEFENDRE UN BIAFRAIS, LA HONTE SUPREME.

    • Observateur dit :

      Tu délires type. Tu racontes trop de bêtises. Fais quand même semblant de réfléchir avant. Ou bien on vous distribue des pense-bete que vous reproduisez mécaniquement. Il ne fera jamais ce test ADN, c’est du pur fantasme. Pourquoi demander lui demander le test et l’acte de naissance? Demandez à BengoneNsi et Pean. Ils n’ont pas de copies? Sinon sur quel base ils vous envoient vous faire lyncher bénévolement dans la rue?

  7. la dimension dit :

    il y’a ds choses que mêm ls Hom ls plus fort et ls plus armés n peuvent arreter. cet chose est en cours tic tac tic tac

  8. raphael bandega lendoye dit :

    Le pouvoir établi a montré sa fébrilité devant la manifestation prévue par l’Opposition. Cette fébrilité est la marque de sa panique dans la gestion du pouvoir dont il s’est accaparé depuis pus de quatre années déjà. C’est l’aveu de son absence de légitimité. Ce n’est pas nouveau. La crainte de la capacité de l’Opposition a entrainer l’adhésion populaire est permanente dans son action. En effet, alors qu’il s’était opposé aux manifestations publiques de l’Union Nationale, il s’était résolu à lui accorder son assentiment pour une manifestation qui devait relier Rio au Ministère de l’intérieur: le cortège a été discipliné. Plus tard, le 15 septembre 2012, il prétexta la prise de parole de l’Union Nationale, parti dissout pour réduire la liberté des demandeurs, partis reconnus, d’organiser librement leur meeting: la manifestation se déroula sans heurts à RIO. On peut encore prendre les exemples des deux retours de voyage d’AMO qui ont été suivis de marches spontanées, pacifiques et civiques pour dire que les occupations de la rue par l’Opposition ne sont pas toujours facteurs de violence. Celles-ci ne surviennent que lorsque le pouvoir s’oppose à ces manifestations. Il en est ainsi du meeting du 15 août 2012 et du dernier meeting de Rio. Chaque fois on a déploré des pertes en vies humaines. Cela n’arrive que parce que le pouvoir a peur de la capacité de mobilisation de l’Opposition et du pouvoir de la rue. Cela ne s’explique que parce qu’il est conscient de sa faiblesse véritable qui n’est occulté que par la complicité des institutions aux ordres et par l’accaparement des médias d’Etat. Nous dirigeants de l’Opposition ne le savons que trop.Il faut que le peuple s’en convainque également. Nous accorderons alors nos analyses pour convenir des méthodes et des moyens pour chasser les usurpateurs du pouvoir.

  9. Le premier de sa generation dit :

    Pourquoi les enfants de PING, MYBOTO… ne marcheraient pas s’ils sont aussi des gabonais qui veulent « LIBERER LEUR PAYS »?
    Si vous voulez qu’on marche, allons y tous…

    • LA BASE dit :

      Les enfants des gabonais que vous amenez faire des marches sont-ils vont enfants? Les gabonais que vous amenez faire les marches pour le PDG sont-ils instrumentalisés? Pourquoi pensez que les gabonais qui roulent pour l’opposition sont instrumentalisés? Nous nous sommes des femmes et des hommes de conviction, voilà pourquoi nous disons que l’opposition actuelle est un gage de sécurité.

  10. charly dit :

    Donc les soi-disant policiers GABONAIS ne sont autre que les barbouzes, briguantS et assasins aguérris des forces nouvelles de SORRO et OUATTARRA, (qui ont semé la désolation en cote d’ivoire avec « talent »)EN TENU DE POLICIERS GABONAIS ENGAGOULE. voila donc les dessous de la riche coopération( 400 milliars de Fcfa) ALI-OUATTARA.

  11. gee dit :

    les forces de l’ordre et défense ses sont mis a dos la population gabonaise c’est bien a cause de leur gagne pain,mais encore plus depuis ce 20 Décembre 2014,les civils vous haïssent évidement sauf vos parents ceux que vous nourrissez.continuez dans ce sens.Quand a certains organes de presse ils sont a la solde du pouvoir,la ou c’est bleu ils voient noir donc comprenez les.Dire la vérité,c’est mettre de coté sa subjectivité et mettre en relief l’ évidence,ce qu’on voit peu importe sa sensibilité ou son appartenance.

  12. Shadow dit :

    Je pense qu’il y a une muette dont on ne parle jamais.
    Il faut se poser les bonnes questions. Le problème du Gabon C’est ALI ou l’armée? ALI sans l’armée, en 1 jour c’est fini. L’armée sans ALI le problème reste entier. En somme, l’armée Gabonaise depuis les années 90 a toujours été contre l’émancipation du Peuple. Elle a toujours été du côté du pouvoir et non du peuple. Une armée qui a toujours été entrainée non pas pour défendre le pays, mais pour stopper toute velléité des civils et par dessus tout du peuple souverain.
    Nous sommes exposé à cela. L’armée Gabonaise est le vrai problème. Il faut être doué d’une intelligence et d’une forte détermination pour arriver à bout de cette grande muette qui au demeurant, n’est composé en grande majorité que des altogovéens qui n’ont pas compris qu’il sont aussi malheureux que le commun des Gabonais. Que le pouvoir (le Pouvoir appartient au Haut-Ogooué) n’est qu’une fausse vue d’esprit car ils ne l’ont pas en réalité. Ils servent une famille et un groupuscule de personnes qui ne leur reconnaisse que le simple grade de valets.
    Il faut néanmoins comprendre que la libération de notre Pays sera difficile. Dès le départ, il faut le comprendre pour se munir de tous les moyens réfléchis qui permettront d’atteindre l’objectif. Celui d’un Gabon pour tous avec un avenir meilleur pour les générations à venir.

    • HAGANA dit :

      Très bonne réflexion mon frère, le problême du Gabon ce sont les forces de sécurité, il faut que le peuple s’en occupe Lui même pour que la peur change de camps. Ils habitent les même quartiers que nous alors….réfléchissont, nous n’avons que nos mains mais nous pouvons inverser le rapport de force, en Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid, les policiers noirs recevaient comme collier un pneu…. Ce sont des exemples. La brutalité, la cruauté et le cynisme avec lequel nos forces de sécurité se défoulent sur une population à mains nues est inexplicable, d’où la nécessité du peuple de mettre en place ses propres méthodes de défenses et les appliquer avec brutalité également, que rien ne soient épargnés, maisons, femmes, enfants (planter le couteau au cœur).

  13. CANTON LEYOU dit :

    Avant de balayer chez le voisin, il vaut mieux commencer à le faire chez soi.que le pouvoir sache que c’est pas en faisant la sourde-oreille qu’il va réglé la situation. Qu’une certaine opposition soit radicale à l’idée de ne pas reconnaître Ali comme président, qu’Ali soit à la hauteur et dépasse les considérations de ces derniers. Un chef c’est celui qui se met au-dessus de TOUT. « La paix des braves » qu’avait lancé AGONDJO, rentrait justement dans ce contexte. Un chef de village est sensé discuter avec tous le monde même les radicaux car il les moyens et « la science infuse » pour cela. L’esquive d’un chef devant une situation renvoie effectivement à des questionnements sur sa légitimité ou sa légalité.
    cordialement.

    • xber360 dit :

      Oui,Canton Leyou,très bonne appréciation de la situation. La notion de chef est semble-t-il mal appréhendée par le PR. Et j’irai même plus loin. Le PR actuel du Gabon,Alain,a-t-il la réputation d’un rassembleur au sein même d sa famille altogovéenne élargie? Est-il aimé,dans ce cercle fondamental,naturel,comme l’a été Omar Bongo. C’est aussi cela lhéritage d’un père:la famille,les amis. Or,jusqu’à preuve du contraire,Alain n’est pas un fin développeur de liens charnels comme le fut son père.
      D’où sa posture hermétique et froide face à ceux-là même qui étaient les tenors du pouvoir de son père! La culture bantou nous impose une autre posture. Alain,ne sait-il pas que Myboto,Eyeghe Ndong,Ping,Oyé Mba,Bengone Nsi(oui,même lui),etc.sont de fait ses pères? Malgré ce que l’on peut leur reprocher,ils ont accompli d grandes choses,AU TEMPS DE LEUR JEUNESSE. Ces messieurs sont des réservoirs d’expérience.
      Je termine par cet appel à la sagesse: est-ce une bénédiction pour un jeune chef que les vieux du village sortent d leurs maisons et marchent pour protester contre la manière dont le village est dirigé? Un jeune chef ne doit le permettre. Informé que les vieux tiennent des conseils nocturnes contre lui,il devrait se précipiter au devant d’eux afin de désarmorcer la bombe. Un jeune doit rechercher par dessus tout la bénédiction des vieux et non leur ranqueur! Omar Bongo, n’aurait-il pas laissé autre chose que l’or et l’argent qui vaille la peine d’être exaltée par son rejeton?

      • mouthou12 dit :

        Preuve ultime que ce mec n’est nullement du sang de Omar BONGO ONDIMBA….!

      • Observateur dit :

        La famille altogoveenne élargie? C’est quoi ces notions à la noix? Il n’y a pas de cercle fondamental naturel, même Omar y était souvent contesté. « Myboto,Eyeghe Ndong,Ping,Oyé Mba,Bengone Nsi(oui,même lui),etc.sont de fait ses pères? Malgré ce que l’on peut leur reprocher,ils ont accompli d grandes choses »… Je rêve! Qu’ont-ils accompli de grand, même de petit? A part leurs châteaux et autres collection s de biens automobiles et immobilier. Si je comprends bien, dans la coutume bantou, quand un père meurt, on fait le test ADN à ses enfants.

  14. lesborgnes dit :

    vous qui braillez contre le pouvoir actuel quand Bongo pere etait au pouvoir avec vos leaders tout etait rose ? y a jamais eu de crimes rituel sous Ping ET Myboto ? quand les etudiant avait ete bastonner a l’epoque quand y a eu des meurtres ou etiez vous vous avez une memoires bien selectives tout d’un coup tout vos leader etaienet des anges vous voulez vous moquez de qui ? c’est vous qui allez devoir rendre des comptes au peuple Gabonais car ils ne vous as certainement pas demander de parler a son nom de quel droit vous vous arrogez ce droit quand votre discours pue la haine de l’autre et vous inviter au soulevement et a la vindicte populaire et apres vous nous parlez de Democratie allez relire le dictionnaire sur sa signification. Pour Info vous vous plaigniez d’etre dans un pays de Dictatures dans quel pays de dictatures vous aurriez le droit d’aller en France insulter un chef D’etat et revenir dans le pays en disant nous pronant un soulevement populaire citez moi un suel pays de dictatures comme vous dites ou c’est possible ? dites moi un peu dans quels pays vos medias d’oposition se verait laisser lke droit d’ insulter le chef de l’Etat tout les jours sans etre inquiter ? et dans quels pays des anciens aparatchik du regime qui sont devenu Milliardaires pas millionaires allez y citez en un sel vous n’etes toujours pas capable donc de grace si vous n’avez pas le debut d’une reponse fermez vos gueules ce droit vous l’avez dans un pays de dictatures.

    • Jean Pierre Kombila dit :

      De quel droit tu parles? Quand les PD…Gistes doivent marchés librement pendant que les autres sont interdits? Quand la TV publique est la boîte de raisonnante des thuriféraires incompétents, idiots et amateurs comme les Ndong hervé et al? Quand un pays entier est dirigé à partir des maquettes et des déguèrpissements sans lendemain?

  15. J'aime mon pays dit :

    Em 5 ans, combien université a t’il construit? Combien d’hôpitaux a t’il construit? (on sait que les cHU ce somt les vieux que tu 1sulte la). Tous les dispensaire du pays, ce sont ces vieux la. Le barrage de poubara, c’est eux. bgfi banque c’est les vieux. L’USTM ce sont les vieux que tu 1sulte la. Le Chem1 de fer et Le CIRMF ce sont les vieux. L’assurance maladie ce sont les vieux la. Toutes les écoles publique ou ont forme les enfants c’est l’oeuvre des vieux. Le boulevard triomphale et ses immeubles, ce sont les vieux la. L’aéroport de Libreville, ce sont les vieux la. Tous les aéroports du pays, ce sont les vieux la. Toutes les caserne militaires ou vivent vos mercenaires c’est l’oeuvre des vieux la. Le boulevard du ord de mer, c’est les vieux la. La présidence ou vi ton popo, est l’oeuvre des vieux la. Le cedoc est l’oeuvre des vieux la. La police est l’oeuvre de ces vieux la. Meme les sapeurs pompiers c’est l’oeuvre de ces vieux la. Le stade de l’amitie, ce sont les vieux la. La saliere ou vi ton pr1ce, ce sont les vieux la. L’assemble ce sont ces vieux la, le senat ce sont ces vieux qui l’ont fonder. Le SMIG actuel ce sont ces vieux la. Le tresor publique ce sont les vieux. Même la ICIG ce sont les vieux la. LE parc de la lope, ce sont les vieux la. Le décisions de créer les parcs nationaux ce sont ces vieux, ce sont les vieux la. La FEGAFOOT ce sont les vieux la. La decision d’appeler l’equipe nationale « pamthere », ce sont ces vieux la. El Rapha, ce somt les vieux la. L’hopital militaire ce sont les vieux d’ailleurs, cet hosto porte le nom d’1 vieux : Omar El Adj, mort a 74 ans…..Plus que vous les défenseur d’al1, vous estimez comme lui que son « père » n’a r1 fait c’est votre droit de faire du déni de réalité. Cependant, évitez de croire que tout le monde est amnésique ou capable de faire des parricide comme vous. Car, 1 fils qui prétend avoir fait en 5 ans ce que sont « père » n’aurait « pas fait en 42 ans » c’est de la folie, pire, c’est 1 parricide. Et cela confirme qu’il est pas le fils de ce dernier….

    • mouthou12 dit :

      CQFD: Ce Qu’il Fallait Démontrer…….!
      Toi là, tu as fait les mathématiques heiinnn…..?

    • ya kiakia dit :

      J’aime mon pays, tu es trop bon ! Vraiment au moins tu porte bien ton pseudo! Bravo car les opportunistes dits qui se font passer pour emergents ont la mémoire trop courte. Ces vieux ont peut être été au centre des pb mais ils ont la sagesse de vouloir corriger leurs erreurs passées afin non seulement de rentrer positivement dans l’histoire, mais aussi et surtout de rendre son orgueil à la nation gabonaise. Aujourd’hui le slogan « fier d’etre gabonais » sonne faux…

  16. Boussamba Israël dit :

    Je suis impressionné par la richesse de cet article. Il s’écarte vraiment de la médiocrité à laquelle plusieurs médias gabonais nous ont habitués. Notamment L’Union. Cependant je me pose des questions sur les différentes stratégies des deux camps. À quoi a servi cette manifestation si ce n’est la mort d’un compatriote, ce qui est très grave. Est ce que l’opposition n’a que pour seule arme de contestation:La marche? Si c’est le cas je leur conseille de participer au marathon de Libreville. Ainsi on n’accablera pas en vain une petite population de la perte d’un des leurs. Quant aux dirigeants, jusqu’à quand vont ils entretenir la psychose d’un prétendu coup d’État? Leur devoir ne serait pas de ramener à tout prix la sérénité sociale?

    • LA BASE dit :

      Et quand les PDGistes font des marches pour soutenir HIBUBU ALI BONGO, pour vous c’est normal? Donc l’opposition n’a pas le droit de contesté selon vous? C’est le gouvernement qui est responsable de ces incidents, pourquoi voulez-vous embrigader l’opposition? pourquoi?

  17. Conjack dit :

    Ils ne se souviennent de la Loi que lorsqu’il faut réprimer les Libertés Constitutionnelles.
    la Loi pour eux c’est chiffon que l’on piétine tout le temps; et comme une guenille jetée au sol, on peut la reprendre de temps à autre essuyer ce même sol;
    à la famille du disparu le Ministre de l’intérieur promet la justice son plan machiavélique est en bonne voie puisqu’il tient déjà à brandir comme coupable les 10personnes qu’il dit avoir retrouvées avec le Corps l’enquête est faite le Ministre est formel les meurtriers ce sont ceux qui transportaient le cadavre….piteuse justice; justice qui met en garde à vue un journaliste qui vient d’être séquestré et menacé de mort par un homme identifié et ce, devant témoin, pendant que l’auteur court paisiblement et vaque tranquillement à ses occupations….la Loi pour eux est un chiffon, nos droits sont en lambeau;
    il y avait de l’inquiétude certes, maintenant il pourrait y avoir de la colère; parce que la justice que nous appelons tous de nos vœux, si elle n’est pas rendue par les hommes, sera rendue par Dieu lui même…d’ailleurs ne dit-on pas que les Hommes ne rendent pas la justice; car fondamentalement ils ne sont pas justes.

  18. Conjack dit :

    la confrontation politique au Gabon se ramène toujours à la famille et cela n’est pas étonnant, puisque pour chacun d’entre eux l’enjeu est plutôt familial…et quand on accède à une responsabilité, c’est la famille qui gagne…vous comprenez donc que chaque intervenant appel directement à s’attaquer aux familles des uns et autres..parce que le produit de la bataille c’est la famille qui en bénéficiera; c’est pour cela aussi que lorsque l’on a été fille de Président et Sœur de Président, on considère que la richesse du Pays c’est la richesse de la famille. on ne veut pas céder toute cette richesse à une autre famille; ils veulent voir les membres des autres familles pour s’en prendre à eux physiquement

  19. vecu dit :

    J’aime mon pays, ou tu es bete ou tu es ignorant ou tu le fait expres donc tout ce que tu list c’est ta bande d’escroc meme ce qui a ete fait seuleument depuis 2009 vraiment ou tu es aveugle ou faut que tu arrete de boire l’eau ? donc tes oposant sont devenus riche comment dans quel pays as tu vue des fonctionnaires devenir Milliardaires ? car tes oposants ne sont pas devenu riche grace a leur travail c’est le detournement des fonds public qui les as rendu riche donc ou tu es aveugle ou quoi ? y a jamais eu des matiti au Gabon a leur epoques ? c’est seuleument maintenant que tu les decouvre ? quand les etudiants ont ete bastonner voir violer au campus dans les annees 90 tes vieux du front uni ils faisaient quoi ? arrete de dire des betises car ce sont tous des escroc

  20. zorobabel dit :

    C’est l’ennemi qui définie la forme du combat. Vu que l’armée à décidé de s’attaquer au peuple qu’il est sensée défendre, je demande à tous les filles et fils du Gabon de s’attaquer dorénavant aux forces de l’ordre. Nous vivons tous dans des quartiers avec ces militaires et policiers. Rendons leur la monnaie de leur pièce en les agressant voir les assassiner.
    Ils veulent la guerre bein faisons la guerre.

  21. Obalango dit :

    Quand je vois ce qui s’est passé ce weekend, les fétiches, le vaudou à Rio, l’usage disproportionné de la force par des agents des services spéciaux cagoulés carrément (ils feront comment contre 1 rébellion armée? Et derrière ces cagoules, des étrangers en majorité), les arrestations arbitraires et autres, je me dis que Bengone Nsi et Péan ont raison. Ali est bel et bien biafrais. Ces agissments doivent nous rendre encore plus déterminés, encore plus tenaces. Ces fétiches que vous avez vus à Rio et qui se retourneront contre leurs commanditaires, sont le signe d’une fin programmé. ça fait partie, tout comme le faux Noêl célébré par Sylvia Bongo pour faire croire qu’ils sont sympas, des derniers gestes de désespoir. Le pays va devenir encore plus ingérable. J’étais à Rio, et je suis prêt comme ce compatriote, paix à son âme, à y laisser ma vie.

  22. louetsi dit :

    Soyez un peu logique avec vous-même pensez-vous un seul instant qu’un policier sans avoir été agressé peut-il dégoupiller son lacrymogène pour le balancé en direction des manifestants sans sommations?je dis que ces gens-là sont humain ils sont souvent en légitime defence en dépit des dommages collatéraux que l’on déplore,la police ou la gendarmerie ont ce devoir de canaliser les marcheurs ou autres événements,mais le peuple pour la plupart des cas,veut souvent en découvre avec ces derniers là,les manifestants sont quasi perdant.

  23. Bouka Rabenkogo dit :

    Ce message s’adresse à nos forces de défense et de sécurité. Vaillants soldats et policiers, vous êtes d’abord gabonais. Ali Bongo Ondimba ne peut plus vous donner des ordres car c’est un président anticonstitutionnel. Chaque pays est régis pour des lois et des règles. Les principales sont: le Code civil qui régi le fonctionnement de l’état et la loi fondamentale appelée Constitution qui structure, organise et fait fonctionner la République. Ali Bongo Ondimba ne justifie ni des dispositions des Articles 161 à 175 du Code civil sur la naissance au Gabon ni des dispositions de l’Article 10 de la Constitution gabonaise inscrite par son père adoptif Omar Bongo Ondimba pour empêcher le faussaire Ali le biafrais d’accéder à la plus haute fonction de notre pays. Vaillants soldats et policiers, vous êtes notre armée et non une milice au service d’un président et d’un gouvernement anticonstitutionnels assistés par des apatrides mafieux qui dorment chez eux paisiblement avec leurs femmes et leurs enfants. Tandis que vous, vous n’avez plus de vie de famille. Vaillants soldats et policiers, rejoignez le peuple souverain pour chasser l’imposteur faussaire Ali Bongo qui transforme au 21ème siècle, notre république en dictature. La lutte que nous menons est pacifique. Nous chasserons le biafrais Ali Bongo, son gouvernement anticonstitutionnel et sa légion de mafieux apatride par des actions pacifiques.
    Le jeune Patriote Mboulou Beka tombé samedi 20 décembre, n’est pas mort cette fois-ci pour rien. C’est un mort de trop sur ta conscience.
    Toi, ton gouvernement anticonstitutionnel et tes apatrides mafieux vous partirez. Ta parade dans les centres commerciaux prouve ton inquiétude.
    Ali tu partiras.
    Vaillants soldats et policiers chassons ensemble le président anticonstitutionnel Ali Bongo Ondimba.
    « Les Grandes Victoires sont Pacifiques »

    • Edou dit :

      mon frere tu a tout dit ali letranger doit degager avec son gouvernement des dictateur pedegiste qui ne fait rien pour le peuple gabonais nous avons mare de vivre cette misere et de rester dans cette paix qui na point de valeur vraiment le peuple gabonais na plus droit de beneficier de leurs bien toutes les richesses que dans les poches de la fammille bongo sur des choses le changement est la ali doit partir du pouvoir quil a pris avec dictature! consernant les forces de polices et de defances rien a dire pour eux car ils vont perire ils sont entraint de contribuer a la destruction de notre beau pays le Gabon ,,,ali bongo doit partir avant 2016

    • Observateur dit :

      Le jour où les forces de sécurité s’impliqueront dans kes affaires politiques, nous allons tous le regretter. L’histoire est inondée d’exemples. Quand la grande muette fait le menage à la tête de l’État, c’est pour s’y installer elle même. Robert Guei et Daddis Camara, c’était il y a peu de temps.

  24. annerachela dit :

    ping et sa bande de gangsters milliardaires et tous les manipulés sont aux abois, et veulent fairent le remake des ré-volutins arabe sans grand succe,
    sous d’autres cieux ils seraient jeté en prison , ici au Gabon , ils se pavanent toujours à répandre leur kongossa de haine et de mensonge. Mais tous les gaboanis ne sont pas des moutons de panurge, ils y’en a qui réfléchissent encore et n’agisse pas comme le chien de Pavlov qui reagit au stimuli de son maitre!!!

  25. Conjack dit :

    n’appelez plus à la mort de nos compatriotes forces de sécurité et de défense; eux comme nous sommes sous l’emprise d’un dont on n’a certainement pas encore mesuré l’ampleur dévastatrice….la libération de notre pays de passera pas par cette division entre compatriote; moi je suis convaincu que les forces du mal qui tiennent le Gabon ont le plan machiavélique de le faire exploser et ils veulent le faire par en liguant les gabonais les uns contre les autres…….
    ne cédez donc pas à cela; ne faisons plus d’appel au meurtre de nos compatriotes!!!!

  26. Boussamba Israël dit :

    Apparemment beaucoup n’ont pas le discernement. Remplace-t-on le loup par la hyènepour garder le troupeau? Rappelez vous de Mba Abessole et de Mamboundou… Le PDG sait fabriquer des opposants… À mon avis, M Ping vient à son tour nous jouer sa partition. Je conteste les abus des Bongo mais je ne marcherai sûrement pas pour des gens qui disparaissent au premier coup de feu!

  27. Mapangou Aime dit :

    Les journaliste des medias publics au Gabon traitent l’information comme des membres du bureau politique. Ils ne prennent pas la distance avec les evenements.On ne peut preparer l’interdiction d’une manifeststion a partir d’un journal officiel. Si le meeting avait ete autorise,il y aurait moins de debordement.

  28. Etre libre dit :

    Le sang qui coule est l’oeuvre des pédé-gistes. Il fallait qu’ils accompagnent le sans des animaux sacrifiés dans la nuits à rio par celui d’un humain,malheureusement c’est celui d’un pauvre mec qu’ils ont pri.un jour vous les justes pédés paieront tout ce que vous faites. Mapangou,Ali,Accroumbessi,Billie ou biyi bi nze je ne sais mm pas,et autres. Les marches des opposants,les greves et autres c’est petit, lorsque la raffale arrive ont ne l’entend pas mais c’est en chemain. Les gens qui vous soutiennent se cacheront apres et d’autres seront emporté avc vous. Jean-jacques et sa clique marcheront les pieds au plafond et la tete sur les carreaux,vos maisons deviendront les nids d’hirondelles et autres animaux et insectes à l’image de celles qui pourrissent à bongoville,ngouoni,léconi,akiéni,okondja,masuku… Ton voisin et sa famille de 7 enfants cherchent de quoi à manger pour la journée au moment où ton oncle et toi gardez des dizaines de voitures de luxe dont les sieges sont encore couverts de sachet depuis les années bongo père et gardés par des ouestafs dans vos bleds. Méchants vojs êtes tous.
    peuple gabonais,comme disent les ivoiriens » yako », un jour pour eux va finir!

  29. makatamangoye dit :

    Monsieur Le Ministre,
    Comme vous aimez à le dire  » force reste à la loi ». Nous verons qui du peuple ou de vous détient le pouvoir. Dans tous les cas nous sommes pret à mourrir comme l’autre.

  30. prince dit :

    l’armée du burkina fasso c’est rengé du coté des manifestants pour renverser le président sans l’armée les civiles ne pouvais rien c’est donc le probleme chez nous l’armée est du coté du pouvoir que peut faire des pauvres civils sans armes en face des gents armés j’usqu’aus dents? Mais je pense aussi que il est temps pour l’opposition de penser sérieusement à la question en afrique du sud l’anc avait bien une branche armée et si wattara à pris le pouvoir en cote d’ivoir c’est parceque il était soutenu par Soro qui avait lui une armée.ce qui c’est passé à rio c’est ce qui c’est passé à pog apres les élections volé par ali et c’est ce qui va se passer en 2016, on va mettre les millitaires des les rues pour tuer les manifestants. sa suffit il faut au peuple les moyens pour se déffendre.

  31. prince dit :

    INFO INFO INFO Vous les PD du pdg qui traitent les opposants de vieux en tunisie l’opposition viens de remporter les élections et le nouveau président à 88 ans. alors?

  32. J'aime mon pays dit :

    la patrie est eternel et moi et vous sommes des mortel. Lorsqu’en 2090, les histor1 ecrirons l’histoire de ma patrie apres ma mort, il ecrirons qu’en 2014 2 type de citoyens s’affrontèrent: Ceux qui aimaient la patrie (type 2) contre ceux qui s’aime + que la patrie(type 1)……Toutefois, je milite pour qu’al1 confirme qu’il a ete adoptez, pour éviter son plan de laisser 1 vide historique après sa mort (car votre champion est 1 mortel comme vous et moi, même si, vaudouisez, vous penser qu’il est 1 dieu)…je veus qu’il mette 1 terme a cette polémique en confirmant que patience est stérile….je veux pas que ceux qui me succéderont sur cette terre, trouve 1e histoire floue, faisant le récit d’1 petit président, dont la population a contestez l’origine,…ce flou qu’al1 veu imposer a ma patrie je le refuse…

  33. Bil Ngana dit :

    C’est dommage qu’on en vienne à parler de perte de vie humaine. Le débat sur lequel tout le monde entier dont les yeux sont tournés vers le Gabon, est de savoir quel prix nos institutions accordent à la notion de légalité. Connaitre ce prix leur permettra sans doute d’accorder à leur tour, un certain prix à la confiance que nous méritons. Le
    gouvernement gabonais est déjà coupable de surdité et de mutisme notoires, après les
    multiples sorties d’un haut fonctionnaire de l’ONU lui suggérant de renoncer à
    poursuivre plus avant dans une attitude autocratique, afin de rester crédible et se
    montrer quelque peu responsable. En persistant dans l’enfermement dans la surdité et
    le refus de voir, en choisissant cette fuite en avant devant ces nombreuses
    revendications sociales, on peut se demander quels buts poursuit ce gouvernement ?
    Répondre par la force aux demandes de manfestations publiques de l’opposition est-il
    un geste responsable, plus aisé pour ce gouvernement que de répondre aux cris de
    détresse des travailleurs et des familles gabonaises soumis à la dure et implacable loi
    de la précarité ? Certes, une espèce de forum consacrée à ce débat se déroule
    actuellement au nord de Lbv, mais les délégués ont l’air absolument unanimes : ces
    débats courent le risque sérieux d’accoucher d’une petite souris. Pourvu que ce ne soit
    pas le cas… L’essentiel auquel nous avons la charge en qualité de Gabonais, de nous
    atteler chacun et tous ensemble, plutôt que de nous entre déchirer, c’est la construction
    de notre cher et beau pays et les chantiers sont nombreux : aux plans législatif,
    institutionnelles, économique, éducatif, agricole, industriel, etc., tout est à revoir ! Nous attarder sur un acte de naissance que tous, aujourd’hui au Gabon, en Afrique et dans le monde entier, savent qu’il ne sera jamais brandi, est une pure perte de temps.

  34. didier dit :

    URGENT! URGENT! URGENT!
    COMPOSITION DU PREMIER GOUVERNEMENT POST ALI BEN BONGO (ODJOUKOU)
    -Vice-président: Divungi Di Ndinge, Didjob (DIDIDI)
    – Premier ministre: EYEGHE NDONG, JEAN
    – Vice-premier ministre en charge de la culture: Mba Abessole, Paul (le père)
    – Ministre d’Etat chargé de Missions et de la Refondation: MAGANGA MOUSSAVOU, PIERRE CLAVER (la niveleuse)
    – Ministre de l’intérieur: MBA OBAME, ANDRÉ (AMO)
    – Ministre des affaires étrangères: PING, JEAN (le chinois de Pog.)
    -Ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie: Oyé Mba, Casimir
    – Ministre des travaux public: MIBOTO, ZACHARIE (le boa de Mounana)
    – Ministre de l’éducation national, MISSAMBO, PAULINE
    – Ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle:
    Kombil-Koumb, Pierre-André
    Devinez qui manque à l appel au poste de président : ( un certain gars de Lewaii)
    Quel pays!!!

  35. Observateur dit :

    J’espère que tu ne légueras pas à ta descendance ta haine d’autrui ainsi que ton manque de cohérence et de pondération ddans les propos tenus. Il vaut mieux une femme stérile qu’un homle ou une femme fertile qui produits des monstres.

  36. aldrin ho dit :

    Je n’ai jamais vu ou entendu k le peuple a commencé à agresser ls forces d’l’ordre. Se sont ces derniers ki viennent tjrs avc l’intention d’intimider la population,ils sont donc obligé de riposter avc ls moyens ki sont les leurs.lorsque l’pdg organise ses meeting on n’voit jamais ls forces d’l’ordre. Prkwa ne pa laisser aussi les opposants faire leur meeting sans envoyer des militaires?tous le monde sais bien k lorsk’il ya des forces d’l’ordre lors des manifestations,le peuple est échauffé…mwa j’aimerai k’on laisse ls opposants la passibilite d’organiser leur meeting sans leur imposé quoi que se soit. Là au moins ils seront face à leur responsabilité,si ya des débordements on poura ls accusés.

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