En vue d’éclairer l’opinion sur la tenue d’une conférence nationale souveraine et de ce qu’elle n’est l’idée ni de l’opposition, ni de la France et encore moins d’un individu, une délégation de la diaspora gabonaise d’Europe et des Amériques a échangé avec la presse, le 28 août 2012.
Les représentants de la diaspora gabonaise (CDG) devant la presse le 28 août 2012 - © François Ndjimbi/gabonreview.com
 
Joël Mbiamany-Ntchoreret, le Dr Jean-Aimé Moukétou et Régis Essono, tous membres de la Convention de la diaspora gabonaise (CDG), séjournent actuellement au Gabon en vue de promouvoir, auprès des différents acteurs sociaux et politiques du pays, l’organisation d’une «conférence nationale souveraine».
Depuis son arrivée à Libreville, la délégation a rencontré, individuellement, les principaux leaders politiques du Gabon, travaillé avec la société civile locale, présentée comme «le partenaire primordial de la diaspora» et rendu visite à l’ambassade des USA au Gabon. Face au constat d’un problème de leadership et de la prégnance de problèmes individuels, les membres de la CDG ont obtenu une rencontre collective de l’opposition le 27 août. Cette rencontre aurait débouché sur «la prise de conscience de la nécessité d’une véritable collaboration au sein de l’opposition». Les délégués de la CDG ont laissé entendre, sans plus de précision, que l’ensemble de l’opposition prépare un «grand évènement» pour les prochaines semaines.
Depuis Paris, en France, le CDG sollicite une rencontre avec les leaders du PDG au sujet de laquelle sont notés des atermoiements. Les «hautes autorités» du pays auraient cependant invité la délégation de la CDG à une rencontre dont elle n’a pas approuvé les formes. «Il n’est pas question qu’en venant au Gabon, les représentants de la diaspora aillent rencontrer des gens derrière des portes closes, sans la présence de la société civile. Il faudrait que les conditions de cette rencontre soient connues de la presse et de la société civile», ont indiqué les conférenciers.
Les échanges avec la presse ont permis de remonter à la genèse de cette idée de conférence nationale, et de démontrer que, partant des 13 propositions pour sortir le Gabon de l’impasse, édictées par la société civile en juin 2011, des travaux entamés en février 2012 ont débouché sur «ateliers de la transition», tenus à Paris du 30 juin au 3 juillet dernier. Consignées dan un mémorandum, les conclusions de ces travaux ayant regroupé les représentants des partis politiques de l’opposition, les membres de la société civile et de la diaspora gabonaise, «ont été suggérées au gouvernement gabonais par l’entremise de l’Élysée, non pas pour que la France impose le débat politique au Gabon mais pour qu’elle en soit la facilitatrice. Le président Bongo est donc bien au fait de la démarche de la diaspora gabonaise. Malheureusement, ce projet a été présenté avec certaines défaillances aux populations, du moins le gouvernement en a diabolisé les grands principes, de sorte qu’il apparait comme le projet d’un individu ou d’une formation politique. Il n’en est rien», a expliqué le Dr Jean-Aimé Moukétou. L’idée de conférence nationale est donc la principale conclusion du mémorandum des ateliers de Paris.
Forts de ce que le suivi et l’application des recommandations de la conférence nationale de 1990, des Accords de Paris (1994) et même des Accords d’Arambo (2006) ont été bafoués, les protagonistes des ateliers de Paris ont conclu à la nécessité d’une conférence nationale souveraine qui «permettra d’éviter l’application variable des décisions» qui sortiront de ces nouveaux états généraux du pays.
Les membres de la CDG se sont étonnés de ce que de nombreux acteurs politiques soutiennent qu’il n’y a pas de crise au Gabon. «C’est assez étrange. Le Gabon traverse une situation économique très difficile, le système éducatif est en lambeaux, le système sanitaire ne répond pas aux aspirations exprimées par les citoyens ; dans le secteur de l’emploi on compte à peu près 30% de chômage ; le débat démocratique est confisqué. Alors, si on dit qu’il n’y a pas crise, c’est que, quelque part, il y a des gens qui font l’autruche», pense Jean-Aimé Moukétou.
Pourtant, ont indiqué les déléguées de la diaspora gabonaise, «La conférence nationale ne sera pas un lieu où des Gabonais vont juger d’autres Gabonais. C’est essentiellement un lieu de discussion, de concertation, d’échange en vue d’un renouveau démocratique et institutionnel dans notre pays». La CDG entend au terme de la visite de ses membres au Gabon, poursuivre des actions de lobbying auprès des ses amis et alliés internationaux.

 
GR
 

0 Commentaires

  1. inongo Ayile dit :

    Bonne initiative.

  2. mackossocabrimort dit :

    Unis vous serez forts désunis vous serez faibles raison pour laquelle les doigts de la main sont unis car capables de tout attraper faites comme la main.

  3. le citoyen libre dit :

    Je suis d’accord que la conference nationale ne soit pas tranformee a un tribunal.

  4. nababy dit :

    vous « fameuse diaspora gabonaise » je pense que vous n’ete pas légitimé a parlé au nom de la « vrai diaspora gabonaise » car tous n’adhere pas a vos « ideos » vous etes juste un groupe des gabonais « manipulé » qui ont pu bénéficier des « graces » pour l’obtention des bourses a l’etranger qui aprés ne veulent plus rentrée au Pays. le gabon ne souffre pas tant comme vous le dite! le chomage, la pauvrété etc… existe dans tout les pays du monde! le gabon n’a pas besoin d’une « conference nationale » mais d’un « changement de mentalité » de nos dirigeants et de notre « fameuse opposition »

  5. Le fils de la Veuve dit :

    Lors de son intervention au dernier meeting de l’UN, Mba Obame a indiqué qu’à ses yeux, il faudra que cette Conférence nationale souveraine se prononce, entre autres, sur la mise en place d’une Commission vérité reconciliation afin que l’on sache jusqu’où sommes-nous allés dans l’horreur, qui a fait quoi, qui a gêné qui. Ce n’est qu’ainsi, a-t-il dit, que les créera les bases du pardon et d’une reconciliation nationale…….

  6. jules obiang dit :

    A ne plus rater, conférence nationale de 90 , ratée, les résolutions d’arambo, pas exécutées. C’est la derniere chance pour les politiciens de se reconcilier avec le peuple et le pays.
    Si on rate cette occasion. Les gabonais et le pays seront maudits pour l’éternité…

  7. nababy dit :

    cher « fils de la veuve » tu ouvre ici une breche qui n’a pas de sens « commission vérité et reconciliation ».pense tu que les gabonais sont divisé? on veut reconcilier qui avec qui? le debat qui se pose aujordhui est politique.d’ailleurs s’il ya une chose a faire c’est a ces acteurs politiques de rendre compte au peuple gabonais de la gestion calimiteuse qu’il ya eu dans ce pays.

  8. Le citoyen libre dit :

    Le PDG n’a pas besoin de se reconcillier avec le peuple. Force reste a la loi est la doctrine du PDG.

  9. Le fils de la veuve dit :

    @Nababy. On commence reconcilier le peuple avec les politiques puis on reconcilie Assélé avec ceux a qui il a arraché les terrains ensuite on reconcilie les Berets rouge avec les familles des morts de 90, 93, 2009… Les exemples sont nombreux… Posez la question aux familles Germain Mba, Oulabou Martine, Rendjambe, Layigui, Depenaud, Mandza, Ntumpa… Le jour où vous verrez Boukoubi et Myboto présider ensemble la reunion de Imoyi cha Pana comme avant, vous saurez que les Gabonais se parlent…

  10. nababy dit :

    à « jules obiang » vous ne voulez pas admettre les realités!tu fais dans le suivisme sans rien comprendre et pourtant tu est conscient en affirmant  » conférence nationale de 90 ratée, les résolutions d’arambo pas exécutées » pense tu que tes leaders politiques sont serieux,? « bandes d’escrocs » conférence nationale 2011 une nouvelle astuce pour continuer a drainer le peuple dans la boue!

    • Guy Massard dit :

      @Nababy. Que suggérez-vous pour que le peuple ne soit plus traîné dans la boue ? A vous lire, Omar Bongo n’est jamais mort, Agondjo et Mamboundou, non plus, le principal parti d’opposition se nomme toujours Moréna des bûcherons ou Union du Peuple Gabonais… Ceci pour vous rappeler, au cas où vous l’aurez oublié, que le contexte ont changé et une nouvelle réalité est en train d’émerger… Question : quel fut le rôle de Bruno ben Moubamba en 90 et durant les négociations d’Arambo ? Et pourtant chacun sait que cette fois-ci il jouera un rôle… Quelle fut le rôle de la diaspora en 90 et lors des négociations d’Arambo ? Quel fut le rôle de Dieudonné Minlama, Georges Mpaga, Alain Moupopa ? Quel fut le rôle de Billié By Nzé ? Quel fut le rôle de Boukoubi ? Quel fut le rôle de Charles Mvé ? Quand vous aurez répondu à ces questions vous verrez que la Conférence nationale souveraine ( on dit bien souveraine) mérite d’être essayée….

  11. MissMaroundou800 dit :

    Moi j’ai constaté que le pays va mal, il faut faire quelque chose pour ça que change. @ nababy la pauvreté, le chômage existent partout on le sait. mais est ce que les citoyens gabonais méritent ce qui leur arrive aujourd’hui ? tu parles de changement de mentalité, oui évidemment que les consciences doivent changer et évoluer avec leur temps à condition qu’elles aient les moyens pour aboutir à un résultat positif et collectif. <>.
    Mais tu sais comme moi que c’est pas du jour au lendemain qu’une nation entière change ; mais c’est unissant nos forces que nous pourrions y arriver. cela demande un sacré travail de fond et de forme.
    Je lisais plus haut que toutes les conférences précédentes avaient été ratées ou même pas exécutées, donc on fait quoi ?on ne fait rien on croise les bras.
    Avant c’était avant, Aujourd’hui c’est aujourd’hui on ne se laissera plus marcher sur les pieds.
    Qui sont les manipulés stp ????

    • Nguema dit :

      tout cela c’est du blablabla, depuis 2009, le pays atteint une croissance économique sans pareil! les écoles et le système scolaire est sous une réforme d’enfer. les bourses et stages connaissent désormais une gestion parcimonieuse… tous les gabonais, mêmes les plus pauvres savent que le pays ne s’est jamais aussi bien porté. le fait est qu’Ali a rompu la tradition du chantage et commence à éliminer le bouffage tous azimut. regarder tous ceux qui se plaignent et vous trouverez qu’une seule chose les rallient: ils étaient aux affaires et se sont enrichis illicitement. voyant l’étau de rendre les comptes aux gabonais se resserer… on fait du chantage politique. et puis, il n’appartient pas à une bande de politicards de décréter une conférence nationale! le peuple a son mot à dire. et le peuple dit NON! ce n’est pas cela la solution à nos problèmes.

  12. lenkemberlien dit :

    je partage la meme opinion de ceux qui pensent que notre pays le Gabon n’a pas besoin d’une Conf Nat bis car nous savons tous ce qui c’est passé avent je crois que dans toute action ou activité nous devons d’abord faire le point ou le bilan de ce que nous avons fait dans le passé, bref…
    Pour la petite histoire de notre pays, 1990 reste dans la mémoire collective des gabonais et certains acteurs sont encore belle et bien vivant.Depuis 1990 notre pays n’a pas connu un reél developpement sur tous les plans et pourtant les promoteurs de cette conf nat etaient belle et bien au pays a cette periode et ont joué un role dans la mise en place des institutions issu de la conf de 1990.Mais Dieu seul sait ce que les leaders de cette periode ont fait du Gabon: partage du pays comme un gateau, course vers les detournements et enrichissement, etc…
    je crois que cette génération des leaders qui ont mis le pays dans l’etat dans lequel il se trouve doivent etre mis hors jeux.
    Le Gabon a besoin d’une nouvelle génération des leaders pour faire avencer le pays.
    Nous sommes fatigués de les voir et de les ecouter.
    Nous avons un Chef d’Etat et un gouvernement qui sont là, je crois que le moment venu ils vont nous rendre des comptes, arretez de divertir le peuple Gabonais.Si les leaders politiques de notre pays n’ont plus rien à proposer au peuple qu’ils restent tranquilles dans leur coin avec l’argent du pays qu’ils ont bouffé, un jour Dieu les demandera des comptes… de tous le mal qu’ils ont fait au peuple Gabonais.
    Le Gabon un pays que Dieu a vraiment bénis, et nous vivons dans la paix je crois c’est plus important que tous les discours et toutes les agitations que les leaders politiques qui sont en manque de gloire et de prestige font.
    Le Gabon n’est pas la propriété d’un groupe ou d’un clan, c’est notre pays à tous et nous avons le devoir et le droit de le construire dans l’harmonie et l’a concorde.Je pense que tous Gabonais devait avoir ou doit avoir en Esprit le discours du feu president Omar Bongo de janvier 2009 lors de la presentation des voeux: Dieu ne nous a pas donné le Gabon de faire ceux que nous sommes entrain de faire…
    Conf Nat bis pour quel prix?
    Juste pour le fun, boire et manger et c’est tout, et apres c’est le placement des amis et autre au poste de Ministre et autre je crois que les Gabonais n’ont plus besoin de ce jeux.ON vous connais comme l’a dit la Maman.
    Merci encore et bonne aprem.
    Que Dieu vous inspire et bénisse le Gabon

    • le we la dit :

      il aurait ete plus aisé due tu nous fasse ton bilan , puisque celui de ceux qui disent que le bilan est catastrophique et qu’il faut y remedier par une conference nationale souveraine ne te convient….
      j’aurais voulu que tu nous dise que c’est toi ce nouveau leader qui balaie cette vieille generation…mais il n’en est rien. vous restez prisonnier de votre ideal…quand la réalité recommande d’agir.
      nous avons à ce jour une election à un tour , un taux de partcipation de 35%, un mandat illimité , une assemblé nationale digne d’un regime stalinien…. vous pensez que c’est celà la democratie …? quelle solution apportez vous lorsque les autres proposent une conference nationale et souveraine…

  13. La Fille de la Veuve dit :

    @ lenkemberlien, vous dites :
    « Pour la petite histoire de notre pays, 1990 reste dans la mémoire collective des gabonais et certains acteurs sont encore belle et bien vivant.Depuis 1990 notre pays n’a pas connu un reél developpement sur tous les plans et pourtant les promoteurs de cette conf nat etaient belle et bien au pays a cette periode et ont joué un role dans la mise en place des institutions issu de la conf de 1990.Mais Dieu seul sait ce que les leaders de cette periode ont fait du Gabon: partage du pays comme un gateau, course vers les detournements et enrichissement, etc…
    je crois que cette génération des leaders qui ont mis le pays dans l’etat dans lequel il se trouve doivent etre mis hors jeux. » Fin de citation.
    Savez-vous que parmi ses acteurs de 1990 encore vivant il y a un certain Ali Bongo, un des leaders du mouvement des Renovateurs au sein du PDG et grand promoteur de la Conference nationale et Raymond Ndong Sima qui deviendra Porte parole du FUAPO.
    On apprend de ses echec, plus que de ses succes. 1990 a laisse un gout de pas fini aux uns et aux autres. Allons plus loin. C’est ce que signifie la CMS.
    … Mais si Boukoubi vous pensez que le Gabon va bien. Effectivement on doit vous laisser avancer. Mais attention …
    Ce Midi a la television, le Premier Ministre Raymond ndong Sima a lui-meme declare qu’il ne s’est pas plein lorsqu’il a perdu les elections legislative en 2006, pourtant il y avait de quoi. reconnaissant ainsi qu’en 2009, les elections se sont elles aussi derouees dans des conditions contestables. Comment voulez-vous batir une nation sur le mensonge et la tricherie et esperer parvenir a quelque chose ?

  14. MissMaroundou800 dit :

    On ne veut plus de ce gens là , ils ont  » RUINÉ LE PAYS  » tout entier avec leurs sales comportements. ils doivent dégagé tous.
    Nous voulons de nouveaux leaders politiques pas ceux là pardon. Pour ce qui est de l’intégrité il faudra qu’ils nous le prouvent.

  15. MissMaroundou800 dit :

    je constate que y en a qui s’obstinent à refuser cette concertation nationale prétextant que ça ne va servir à rien, et que le GABON et sa population se portent bien ; je tombe sur les fesses là !!! Pour ceux qui ne vivent pas les mêmes soucis que les autres dans leurs vies quotidiennes(santé,chômage,éducation, pouvoir d’achat etc…) Qu’ils se taisent à jamais. par ce qu’entendre des gens dirent : Le GABON VA BIEN alors là c’est faux mais totalement faux ! Ns sommes opprimés et on bafoue depuis plus de 40 ans nos droits. je remplis mon devoir citoyen tous les jours. Il ya des droits et devoirs à accomplir pour tous, et à tous.

  16. Jules obiang dit :

    Le monde bouge mais gabon veut demeurer statique.Vous verrez qu une nouvelle generation de gabonais va apparaitre, des personnes qui fait leur preuves dans le monde et differents de tous les orientes bouffe PDGISTES, vous verrez qu I’ll y a des gabonais qui ont une expertise internatiole qui ont evolue en dans l ombre et ici et ailleurs capables de servir et non se servir. . qui peuvent modeler une relle orientation strategique et intelligente de notre pays. Vous connaissez peut etre ceux qui font du bruit mais la majorite silencieuse et active existe. Vous verrez

  17. le futur dit :

    je me disais en venant sur cette plate forme d’échange que ceux qui s’expriment ici sont tous des visionneurs mais dommage il y a en qui n’ont rien compris et qui œuvrent tjr pour la division, le débat ethnique etc…
    parler des morts de 90 et autre à quoi cela va t’il avancer le pays?
    je pense comme certains l’ont mentionnés que notre pays a besoin des hommes et des femmes qui aiment le pays et qui au lieu de penser aux intérêts personnels et familiaux pensent Gabon d’abord.
    nous avons tjr constaté que très rares sont les ministres et DG qui ne détournent pas les budgets déjà il faut une PRISE de conscience et a cela s’ajoute notre esprit de QUI VA ME FAIRE QUOI.
    je pense à mon humble avis que si l’on commence par punir ouvertement tous ceux qui touchent à l’argent de l’ETAT en arrachant les bien et autres la PEUR DE VOLER va gagner ceux qui sont nommés et de la viendrait ceux que les autres nomment LA BONNE GOUVERNANCE.
    je suis certainement mal placé pour dire ici si le Gabon est en crise ou pas, mais en toute humilité cela ne sert à rien de dramatiser, il n’y a pas de crise au Gabon, on note même une amélioration des conditions de vie des populations au niveau National. le chaumage est en baisse avec la création de plusieurs pôles d’emplois il faut juste un suivit rigoureux.
    je vois des gens qui attisent le feu au sujet des 5000 logements promis, il est vrais qu’il y’a un retard mais est ce que vous regarder les autres secteurs? les routes, les hôpitaux, la CNAMGS etc…
    la crise politique on peut le dire elle est patente et même la elle peut etre nuancé.
    les politiciens sont tous des amis d’hier qui se boudent le matin et le soir se retrouvent puisqu’ils liés par des liens familiaux ou affairistes.
    Mr Mba OBAME et Y’A ALI sont des potes depuis plus de 30ans ils ont des sociétés ensemble et croyez moi les deux la ne vont jamais se tapés en public c’est comme un ancien couple.
    un proverbe Ouest’AF dit l’oeil qui a vu sait de quoi il s’agit.
    cordialement

    • le we la dit :

      l’une des principales constantes pour arriver à la bonne gouvernance cher ami FUTUR est que les résultats de nos élections soient fiables et l’expression du choix de la majorité des gabonais…
      le développement et la bonne gouvernance ne sont possible qu’à condition de rendre des comptes au peuple ….lais helas !!!

    • Le citoyen libre dit :

      @le futur
      Si vos conditions de vie ont été améliorées depuis qu’ALI est à la tête de l’état actuel du pays c’est que nous ne parlons pas du même Gabon honnêtement, moi je ne vois rien ,sinon que des conférences de presse et des voyages.
      ALI est comme quelqu’un qui veut piloter un Airbus sans avoir la compétence requise et vous en tant que passager vous dites que tout va bien alors que vous courez vers une catastrophe si l’on ne change pas de pilote.
      Le Gabon est privatisé dans tous les domaines même la présidence c’est comme si au Gabon nous n’avons d’élites pour générer notre pays. Donnez-moi s’il vous plait un seul exemple qui démontre que les conditions des Gabonais se sont améliorées ? Le PDG est au pouvoir depuis plus de 40 ans , il est temps qu’il est une alternance au pouvoir non seulement d’individu pas également de régime parce que ceux qui sont actuellement au pouvoir veulent par tous les moyens protéger leurs acquis au détriment de la population.

  18. Guy Massard dit :

    @le futur. N’importe quoi. Gardez vos elans moralistes naifs pour vous. Les Bongo tuent ce pays et on doit applaudir ? Que jamais un des votres ne soit victime de leur ivresse du pouvoir et de leur folie meurtrière….

  19. Jules obiang dit :

    @ le futur
    A la conf nationale, s’l faut ecarter Ali Bongo et mba obame le gabon ne trouvera plus personne de considerable et capable. N importe quoi. CNS pour remettre le pays sur la bonne voie c est tt. C est une affaire de personne le gabon d abord

  20. La Fille de la Veuve dit :

    @ Le futur, je vous laisse lire cette Lettre ouverte d’un compatriote a Ali Bongo.
     »
    Lettre à Monsieur Ali Bongo Ondimba, Président du Gabon
    Par Dr Guilou Bitsutsu-Gielessen, Secrétaire Exécutif de l’Union Républicaine pour la Démocratie et le Progrès URDP, parti membre de la CPPA.
    Monsieur le Président et cher compatriote c’est avec solennité que je m’adresse à vous par le biais de ce canal virtuel d’informations qu’est le Net. Bien entendu, j’aurais souhaité vous écrire par l’intermédiaire des supports et canaux médiatiques gabonais, mais mieux que quiconque vous savez ce que vous en avez fait.
    En introduisant cette lettre dans votre site officiel, j’ai espoir que vous la lirez.
    En Octobre 2012, si Dieu et le Peuple le veulent, vous entamerez votre 4ème année à la tête du Gabon.
    Aux Etats Unis, pour un Président Américain cela correspondrait à la fin de son mandat, l’heure des adieux. En France, pour le quinquennat du Président c’est le début de la fin, l’heure des sanctions et des grands bilans.
    Au Gabon même avec un septennat c’est déjà un peu plus de la moitié du parcours, donc l’élaboration d’un bilan de votre action vous impose.
    Toutefois, ce n’est guère votre bilan qui motive mon courrier.
    En effet, en politique plus que dans la vie, chacun doit dresser le bilan de son action et évaluer à travers un tableau récapitulatif si les objectifs assignés ont été atteints au minima, au médium ou au maximum. Excusez-moi du peu, je sais, je ne vous apprends rien, aussi je vous laisse le soin de le dresser et l’exposer à l’analyse et à la critique.
    Pour rappel, sous prétexte d’améliorer le quotidien des Gabonais depuis près de 3 ans, vous êtes monté dans un avion plus de 440 fois, et sur vos 1000 jours à la tête de l’Etat vous avez passé près de 620 jours hors du Gabon. A 3 Milliards de FCFA le coût moyen d’un voyage présidentiel, je vous laisse le soin de faire le calcul.
    Dans vos valises, vous nous avez ramené d’abord l’énigmatique société « Bechtel » qui gère sous votre tutelle de façon opaque la totalité du budget d’investissement du Gabon. Puis, la sulfureuse société « Olam » dont la spécialité de la terre brulée n’est plus à démontrer. Ces deux entreprises ont au moins un trait commun, elles sont les plus contestées du Gabon. Vous en êtes vous rendu compte ?
    Quant au sort des populations Gabonaises, il ne rentre pas dans vos préoccupations. En 3 ans et ce malgré vos nombreux déplacements à l’étranger, vous n’avez initié aucune tournée interprovinciale, aucune visite de l’arrière pays, de nos villages, de nos populations rupestres et démunies. Même vos électeurs, ceux qui ont « voté pour vous » en 2009, n’ont pas eu droit à une tournée de remerciements.
    Je ne parlerai même pas de votre voyage touristique le long de « la route économique » ou pour faire montre de proximité avec vos concitoyens vous vous êtes régalés de « coupé coupé » devant une assistance de badauds dépêchés sur place.
    La grande majorité des Gabonais voit à la fois en vous « Le Raïs des musulmans ; Le Président des Gabonais Riches et des Etrangers ; Le Grand Maître des Loges Maçonniques du Gabon ». Sans commentaire…..
    Votre gouvernement est désormais dessaisi de l’investissement public, au profit de nombreuses agences, toutes rattachées à vos ordres. Dès lors, les conseils de Ministres vous ennuient : la moyenne est 1 conseil tous les mois voire tous les 2 mois. Avec ce rythme, vous faîtes de l’ombre à Monsieur Paul Biya.
    Ne parlons pas de votre modification sur mesure de Notre Constitution qui légalise le renforcement des prérogatives du Président de la République qui passe de super-Président à Roi-Président. Pire, les nouvelles dispositions constitutionnelles vous accordent l’exclusivité des questions de défense et de sécurité, vous êtes seul en mesure de déclarer une guerre ou de décider de l’exercice de la contrainte légitime.
    Monsieur le Président et cher compatriote, je vous épargne du bénéfice de la discussion sur le domaine politique. En effet, Il n’y a rien à dire. Les chiffres de la dernière élection législative et la représentativité à l’Assemblée Nationale parlent d’eux même.
    Tout ceci m’amène à penser que seuls les Gabonais et les historiens vous jugeront sur vos promesses, vos réalisations et votre bilan à la tête de l’Etat.
    Je ne me permettrai pas de vous rendre responsable de tous les maux du Gabon mais le maintien et le perfectionnement de ce système de pouvoir d’un autre âge dont vous revendiquez la propriété et l’héritage, font de vous le principal responsable de la misère des Gabonais.
    Le peuple Gabonais sans perspectives, contraint à votre offre d’émergence, appelle à l’aide.
    Sans médire, la situation actuelle du Gabon et des Gabonais montre à suffisance que votre bilan est atteint au minima et les objectifs phares de votre tryptique : « Gabon vert, Gabon des services, Gabon industriel» ont été ignorés. Et que dire de votre slogan phare dont aviez affublé le Gabon en 2009, « l’avenir en confiance »?
    Monsieur le Président et cher compatriote, le Gabon vous l’avez trouvé avec ses difficultés et ses problèmes mais c’était un pays en paix et uni.
    Depuis 2009, date du début de votre magistère, nous ne comptons plus les morts et les prisonniers d’opinion.
    A vous entendre, votre opposition politique se résume à une bande d’irresponsables, faussaires et rancuniers. En échange, cette opposition ne reconnait pas en vous le Président légitime du Gabon. Vous constatez vous-même dans quel imbroglio nous sommes plongés depuis 2009.
    Que dire du peuple Gabonais soumis et silencieux qui fait face à cette situation avec l’impuissance et l’amertume d’un laissé pour compte ? A la violence quotidienne que vivent les Gabonais (pouvoir d’achat en baisse, chômage en hausse, éducation aux rabais, transport public inexistant, délinquance économique, système de santé moyenâgeux, nivellement par le bas, liberté d’expression sous contrôle, Crimes Rituels…) s’ajoute aujourd’hui la violence des forces de l’ordre.
    L’Emergence tant annoncée ne se referme telle pas comme un piège sur le Peuple par l’entremise de la chicotte, de la bouche cousue et du fusil pour finir ?
    Au débat démocratique, à la demande sociale, aux réformes de nos Institutions vous répondez : repli identitaire, tribalisme et manipulation du peuple comme actuellement dans les médias TV et presse à votre ordre.
    Dans le débat politique, les notions de pouvoir d’achat, logement, transports publics, santé, croissance économique et bonne gouvernance ont cédé le pas à Chienlit et Tribalisme.
    Que dire de tous les étrangers dont vous vous êtes entourés dans la gestion du pays ? N’est-ce pas une forme de rejet des citoyens Gabonais aptes à occuper ces postes ou mieux encore, n’est-ce pas une sanction tribaliste que vous infligez à la nation Gabonaise ?
    Que dire de l’islamisation à grand pas et marche forcée, de vos actions sectaires et partisanes en faveur de l’islam ou des Francs maçons, ne sont ils pas des pieds de nez au principe de laïcité cher à notre République ?
    Pourquoi Mr le Président et cher compatriote vous vous accommodez de la Dictature comme mode de Gouvernance ?
    Aussi, sans revenir sur les élections de 2009, sur le contentieux électoral, sur le débat sur votre légitimité à la tête du Gabon, même en me bandant les yeux et en admettant un seul instant que les chiffres de la CENAP sont vrais et font de vous le vainqueur par défaut de cette élection, il en ressort que 60% de Gabonais ne vous ont pas accordé leur confiance et il va de soit que ce sont ces mêmes 60% de Gabonais qui vous demandent la tenue d’une Conférence Nationale Souveraine comme solution à la crise politico-sociale que traverse notre pays.
    Tous les voyants du pays sont au rouge malgré l’ambiance folklorique qu’entretiennent le PDG et les médias sous tutelle.
    Tout a été dit, Tout vous a été dit, mais monsieur le Président et cher compatriote, jusqu’à quand allez-vous ignorer la demande insistante du peuple Gabonais?
    Mr le Président et cher compatriote, je vous exhorte à recentrer le débat sur les préoccupations des Gabonais et sur le dialogue National sans exclusivité (partis politiques, syndicats, société civile), n’en soyez pas Exclus de votre propre chef.
    Nous avons besoin de tous les Gabonais pour la reconstruction, pour la formation de la 3ème République Gabonaise, permettant à chacun de vivre dignement dans un pays de Droit, par la croissance économique et une meilleure répartition de nos richesses, l’ensemble permettant de créer l’espoir d’une meilleure vie.
    En s’inspirant de l’histoire des révolutions, en prenant appui sur les évènements récents du printemps Arabe, tout le monde hormis vous a compris qu’un peuple sacrifié et incompris gagne toujours.
    Dois-je me permettre de vous dire, Mr le Président et cher compatriote, qu’inéluctablement si vous persistez dans cette posture, votre défaite est programmée.
    Dois-je vous dire, Mr le Président et cher compatriote, que tous les étrangers qui vous entêtent, et vous soutiennent dans le bras de fer que vous avez engagé contre le peuple Gabonais seront les premiers à abandonner le navire.
    Mr le Président et cher compatriote, en bon père de famille, j’ose croire que vous allez préserver la vie des Gabonais et alléger leurs souffrances. J’ose croire aussi que vous vous aimez, vous aimez votre vie, votre bonheur, votre confort et que vous ne prendrez pas le risque d’embraser le Gabon et peut-être vous avec.
    Sauf votre respect, Mr le Président et cher compatriote, au sommet d’un Etat de droit on ne s’accommode pas de l’entêtement et de l’aveuglement. Ainsi, cette devise non appliquée de votre Parti-Etat le PDG : « dialogue, tolérance et paix », doit incarner en vous une ouverture au dialogue politique pour l’avenir du Gabon.
    A terme, Votre refus au dialogue politique et social obligera le peuple Gabonais et la classe politique toute entière y compris celle sous votre botte à demander votre Départ. Si vous le souhaitez, après trois années passées à la tête du Gabon vous pourriez aussi tirer votre révérence vous n’en seriez que grandi. Toutes ces options sont sur votre table.
    Prière d’accepter, Monsieur le Président et cher compatriote, l’expression de mes salutations les plus distinguées. Je vous remercie.
     »
    Trouvez le temps de lui repondre.

  21. lenkemberlien dit :

    Je suis heureux de savoir que dans ce network y’a des personnes qui sont tres critiques dans leurs analyses, bref….
    Je crois bien que si nous sommes tous un peut honnette et objectif dans l’appreciation de la situation du Gabon que certain pense que le pays va mal ou que rien ne semble pas changer.Mais je signe et je persiste en disant que le Gabon se porte bien et que nous n’avons pas besoin d’une conf nat bis pour réaliser l’ediffice Gabon,de grace epargner nous votre jugement de valeur car le Gabon ne va pas se construire avec des injures et des accusations de tout genre.Chers freres et amis épris de Paix, d’Amour et de sacrifice pour notre si cher et beau pays le GABON, il est temps de dire NON à tous les discours et propos qui ont pour mission la balkanisation, la haine,le terrorisme intellectuel, physique et spirituel des Gabonais et du pays.De grace je vous demande d’arreter la pollution du pays avec vos discours pessinistes teintés de sorceléries vempriques, NON ,NON, et NON. Chers freres et soeurs, arretons d’injurier les hautorités qui sont au leadership de notre pays. Comme les Saints Ecritures le disent Tout hautorité vient de Dieu. Nous n’avons pas le Droit de le faire.Nous devons laisser Dieu seul faire le jugement car nous ne sommes que d’etre humain avec des faiblesses et des tards.
    Si nous volons que notre pays change, nous devons d’abord aprendre a rester les anciens et toutes les personnes qui de pret ou de loin passent des nuits blanches à travail et à reflechire pour le developpement du pays, je crois que Democratie n’est pas synonyme de manque de respect pour les autres ou de mauvais foi.Ni vous NI moi personne ne peut demontrer que si le Gabon va mal comme certain le pense que c’est a cause d’une famille, mais non nous sommes tous comptable de la situation du Gabon car c’est nous le peuple qui avons choisi ces personnes au leadership de nos institutions.
    Si nous aspirons aux changements je pense c’est pas avec des consciences endormie que nous allons arriver, il faut nos mentalités changent en un mot il faut une Revolution Mentale en chacun de nous.Et cette Revolution passe par l’education de mass,et autre…
    Je crois que il faut réellement un desanvoutement des consciences des Gabonais car avec tous ce que nous lisons et ecoutons tous les jours nous entrain tout droit dans le chao.
    Cher freres et soeurs je prie pour que Dieu touche tous Gabonais et toutes personnes vivant dans notre pays enfin que commence la REVOLUTION MENTALE du peuple. Je pense que c’est la porte du succes du Gabon sur tous les plans.
    Que le Saint ESPRIT souffle son vent sur le GABON, que Dieu nous pardonnes pour tout le mal que nous avons fait au GABON.
    Merci encore et Dieu bénis davantage notre GABON

    • La Fille de la Veuve dit :

      A tous les democrates et ceux qui ont la pretention de le devenir. Un Aine me disait souvent : « C’est un Gabonais, c’est pour le defendre lui qu’Ali Bongo vous a enleve au travail ».
      Je vous le dis a mon tour, @ lenkemberlien est un Gabonais. C’est pour lui, pour le peuple Gabonais que vous vous battez. Soyez courageux, je mesure combien c’est difficle!

  22. le futur dit :

    vous ne vivez pas au Gabon, la realité ne se raconte pas elle se vit.

    • Le citoyen libre dit :

      @ Futur
      votre réalité vous la vivez dans un rêve peut être auprès d’ALI Bongo je crois, réveillez-vous et vous verrez la vrais réalité du Gabon.
      Voila 3 ans que ALI est a la tête du pays nous avons entendu que des promesses et obtenu que de nombreux voyages de sa part. Nous voulons un chef d’état d’actions concrètes.
      Les seules mesures concrètes sont de renforcer son pouvoir par la force, interdire la presse et les medias d’opposition, interdire les parties d’opposition, interdire les meetings d’opposition, priver l’accès aux medias public a tout gabonais pour revendiquer ses droits. Voila la réalité que nous vivons tous les jours depuis qu’ALI est à la tête du pays comme chef d’état.
      Nous sommes fatigués , bientôt nous allons nous suicider comme en Tunisie pour montrer notre désespoir face cette dictature.

  23. MissMaroundou800 dit :

    je suis choquée @ Lenkemberlin mais vous vivez dans quelle planète ? Arrêtez d’écrire n’importe quoi. vs avez la chance d’être sur ce site(Gabonreview) d’infos sur le Gabon qui est libre, indépendant et impartial. par ce que des mots pareils me secoue et là j’ai presque envie de vous dire, allez là bas avec vos bondieuseries et laissez le peuple gabonais dire ce qu’il a à dire. vs croyez qu’il n’y a que l’opposition qui vu juste sur la situation? n’importe quoi le Gabon regorge des intellectuels, des penseurs et de personnes de bonne foi, qui veulent autre chose que ce que leur propose aujourd’hui. sorry très choquée. bon vent à vous

  24. lenkemberlien dit :

    Encore tres chers freres et soeurs Gabonnais et Gabonaise, c’est toujours avec un plaisir renouvelé que je m’adresse à vous.
    Comme je l’ai souvent dis dans mes propos que notre pays le Gabon est un havre de paix, de stabilité, et d’essor économique.
    Je crois que nous ne sommes pas les derniers dans le monde, et je crois que comme tout ETAT en construction et en devenir; nous devons aprendre first à regarder dans la memme direction,ce qui implique que nous; ensemble,nous devons avoir une meme VISION pour notre pays.
    C’est Dieu qui fait que nous naissions sur le landgabon, et je crois que si le tout puissant par sa grace nous sommes des gabonais et des gabonaises c’est parceque chacun de nous a un role à jouer dans le projet GABON qui est en construction.
    Mais pour construire l’édifice gabon, il faut des ouvriers capable de materialiser la VISION que le tout puissant a pour le GABON.
    Nous ne sommes pas des Gabonais ou des Gabonaises par chance ou bien par des circonstances; nous sommes des Gabonais et des Gabonaises qui chacun doit apporté sa modeste pierre à la réalisation du chef d’oeuvre Gabon.
    Chers fréres et soeurs, je crois que nous avons trop passer le temps à ce dire tous et rien et en n’omettant ce pour quoi Dieu nous envoyé sur le landgabon.
    Nous savons tous que avec le potentiel que notre pays a, nous pouvons faire mieux que dans le passé.Alors je vous prie chers amis ensemble nous serons fort et puissant, nous avons des défits à relever, dans des multiples domaines.
    Plutot que de passer le temps à ce jetter les pierres ou à dire que si le pays va mal ou bien c’est tels ou tels.
    Comme un penseur de landgabon disait le biable c’est l’autre et pas toi-meme, c’est toujours l’autre qui est à l’origine de tes problemes.
    Je vous invite tres chers freres et soeurs de revoir nos attitudes face aux évenements socio-politico-economique de notre pays.
    Notre pays a besoin d’une génération des femmes et des hommes de grande VISION; nous avons besoin des femmes et des hommes au pied du mur GABON, nous n’avons pas besoin des pyromans ou des destructeurs.
    Nous vivons tous les memes réalités du pays, mais nous n’avons pas la meme approche face à l’adversité.
    Nous sommes des gabonais ordinaires mais nous devons faire des choses de façon extra-ordinaire je pense que c’est une approche que je propose à tous les freres et soeurs d’avoir.
    C’est dure pour certain, mais je crois que c’est possible pour nous tous d’arriver à construire un Gabon meilleur bien sur avec la grace du pere tout puissant car sans son soutien nous ne pouvons rien faire.
    Nous n’avons pas à lutter avec la chaire, ni le sang, ni l’intelligence, mais nous devons nous armer de la puissance du SAINT ESPRIT enfin de vaincre les obstacles.
    Que Dieu le pére tout puissant nous garde, protege, ainsi que nos famille et proche enfin que demain soit BETTER that TODY.
    God Bless our country, and all people, Lord gives our President, and all leaders of our country wisdom ,knowledge and understanding for all things your shoul do in this mounth

  25. MissMaroundou800 dit :

    Hahahahahahahahahaha mdr s’il te plait @ Lenkemberlien franchement là excuse moi mais vous allez loin avec vos bondieuseries. Dieu n’est pas là pour décider de la vie des gens opprimés. mais qu’est ce que tu racontes ? cheap Quel st esprit saint faut -il avoir pour lutter pour ces bourreaux de services? sorry sorry Dieu n’a rien à voir dans les soucis des gabonais. on veut du réel , du concret et non de spiritualité alors qu’on crève ici au bled. passe ta route please et je rejoins @ le citoyen tu va finir par vraiment nous énerver. merci bien.

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