Selon une enquête publiée en octobre 2012 par l’agence internationale de sondages Gallup, le Gabon occupe la 7e place sur 148 pays où la population a du mal se nourrir.

Préparation du poisson au quartier - © Static/gabonreview.com

Selon les résultats de l’enquête intitulée «Global States of Mind – New Metrics for World Leaders» (État d’esprit global dans le monde : nouvelles données pour les dirigeants), menée dans divers domaines, entre autres la loi et l’ordre, l’alimentation et le logement, la fiabilité du cadre institutionnel et la qualité des infrastructures de base, 70 % de la population gabonaise éprouve des difficultés pour se nourrir. En d’autres termes, près des trois quarts des habitants du pays ne mangent pas à leur faim.

Le constat est le même pour l’aspect sécuritaire, car selon les mêmes enquêtes, seulement 39% des Gabonais se sentent en sécurité chez eux. La vaste majorité (61%) témoignent d’une grande méfiance envers les forces de sécurité et disent n’avoir aucune confiance dans le système judiciaire. Sur ce plan, le Gabon se retrouve vraiment au bas de l’échelle, au même rang que les pays meurtris comme l’Afghanistan, le Tchad, la RD Congo. Des conclusions qui renvoient à la série d’actes répréhensibles auxquels s’adonnaient les nouvelles recrues des forces de polices nationales, à travers les agressions, les viols et vols sur civils, occasionnant ainsi la méfiance auprès de ces derniers qui sont censés offrir protection.

Les données présentées dans ce rapport sont tirées des enquêtes du Gallup réalisées dans 148 pays et territoires en 2011. Orienté sur les besoins fondamentaux de l’homme au sein d’une communauté résidente, comme la nourriture et le logement, suivie par une hausse des besoins d’ordre comme un bon l’emploi et le bien-être, cette enquête mondiale de l’économie comportementale vise à aider les dirigeants à élaborer des stratégies pour le développement humain et économique qui mettent leurs nations sur la voie du succès et de la prospérité et de parer l’agitation et de la révolution.

 
GR
 

40 Commentaires

  1. Atondasimba dit :

    A nyambiè…jusqu’a l’international,on a des opposants!!!
    Il faut leur envoyer MBAGOU, la mairesse d’Owendo.

  2. Eric Ella dit :

    Affirmations gratuites! Je peux assurer que 3 gabonais sur 3 affirmerons qu’ils n’ont jamais été soumis à cette enquête!

    • mbadinga dit :

      Et vous pensez que ce que vous dites n’est pas une affirmation gratuite? Vos jugement est basés sur quoi? Une affirmation? C’est à cause de ça qu’on avance pas. Votre affirmation, je la trouve aussi gratuite. Si vous n’êtes pas convaincu, ben veuillez vous rapprocher des auteurs. Et je pense qu’en tte logique, à part si on fait parti des 10% des stables du pays, on ne peut ne pas croire à cet article, qui précise bien que LES GABONAIS ONT DU MAL A SE NOURRIR CORRECTEMENT! Est ce qu’il faut un dessin?

      • moulele dit :

        Lui il se sent certainement pas concerné…

      • prune owene dit :

        slt je suis une éléve de 1 ere et je suis soumise à un TPE que je dois présenté d’ici la fin d’année pour éliminé des points au BAC l’énnée prochaine c’est une un exposé obligatoir pour tout les éleves de 1 ere qui font le programme français je précise que je suis une Gabonaise mais je n’y plus je suis maintenant a l’étranger. j’ai choisis comme sujet LA PAUVRETTE: forme et mesure. j’ai choisis comme lieu mon tres cher pays mais il me manque des argument pour parler de la société, comment elle vie a quel point ont ils du mal a subvenir a leur besoin. j’ai fais des recherches mais je tombe a chaque fois sur la vie de la famille Bongo à croire que tout tourne autour d’eux! bref svp pouvez vous m’aidé???

    • Gabonais dit :

      Ce monsieur qui dit que c’est une affirmation gratuite vit dans la bulle des 2% qui se partagent 80% des richesses de notre pays et qui sont inconscient de la vraie misère des gabonais. Qu’il fasse sa propre enquête dans les matitis où se côtoient pauvres et « classe moyenne ». La plupart des gabonais mangent une fois par jour.
      Prenons un foyer qui a 400 000 XFA/ mois, sachant que la moitié de la population est très loin de ce niveau de ressources. Ils louent une maison de trois chambres (il faut au moins une chambre des parents et séparer les filles et les garçons, même si dans la réalité la cherté de la vie, fait qu’on entasse tout le monde, filles, garçons et grand-parents dans une même pièce) : 200 000 Francs de loyer(voir plus lbv et pog). Ils payent de la bouffe pour pouvoir manger 1 fois par mois (des repas souvent qui se limite à du riz blanc): 100 000 Francs. A Libreville en ce moment il faut en moyenne 1000/jour pour pouvoir se déplacer. Avec la disparition du transport scolaire gratuit s’il faut payer le taxi du couple et de 2 enfants pour aller au travail et à l’école, 100 000 Francs. Vous voyez qu’il n’y a plus rien pour les autres besoins secondaires ou ponctuelles, tel quel que le téléphone ou importants comme la santé. Eric Ella de la sablière sait qu’il ne pourra survivre lui et sa famille avec un tel budget. Sortez de votre confort M. et prenez le temps de prendre conscience de la misère de vos compatriotes dans un pays riche et révoltez vous.

    • dimdodo dit :

      comme toi, KOMBIL, « je » n’accorde pas du crédit à ces chiffres, qui me semblent participer plus d’une campagne de mobobilisation, sinon de destabilisation…tout en corroborant à ta construction qui me semble une démarche scientifique….sans etre sur un paradis terrestre,et sans prétention de déclarer que nous vivons exceptionnellement bien, je prend le risque d’affirmer q le gabon est une exception mondiale en bien des égards!…je connais parfaitement la nonmenclature des salaires des gabonais(privé et public), je connais très bien le cout de la vie à lbv, comme à l’interieur du pays, je connais pour sortir du village, ce qu’on y mange et à qlle quantité…n’en déplaise!!!!!ces chiffres, sont certainement ceux d’autres pays q je n’ose citer par respect!!!..mais pas ceux des populations de mon gabon!!!…

  3. kombilmenu dit :

    Je ne suis pas en accord avec cet article, notamment les chiffres. On peut arguer que Libreville et sa région accueillent plus de la moitié de la population, mais le Gabon ne s’arrête pas là. Même si c’était le cas, affirmer que 70% de la population a du mal à se nourrir me pose un problème de compréhension En effet, le Gabon importe pour près de 200 milliards (ou plus, vous me corrigerez)de FCFA en produits alimentaires, dont 60 000 tonnes de riz en 2010 (chiffres de 2010). Importer autant de produits suppose une consommation soutenue! alors expliquez moi, s’il vous plait comment peut on atteindre un si fort taux d’affamés, hein!

    • Rodrigue dit :

      Vient vivre au Gabon… tu comprendras!

    • Luc Lemaire dit :

      Une petite précision : l’enquête en question ne dit pas que la population est affamée mais qu’elle a des difficultés à se nourrir correctement. D’autre part, importer les produits et les rendre disponibles ne garanti as que ceux qui en ont besoin aient les moyens de les acheter.

    • visa dit :

      monfrère, tu sais combien coute un baton de manioc à Port-Gentil?ou un régime de banane?
      Il faut quand même reconnaitre que la vie n’est pas facile au Gabon en ce moment.

    • Gabonais dit :

      kombilmenu sortez de votre confort et ayez de vraiment prendre conscience des conditions de vie des gabonais, le type de maison où tu vis n’accueillent pas la moitié de la population pour qui cette étude et vraie. Il suffit tout juste de prendre une calculatrice et de faire ton calcul des 60 000 tonnes de riz pour 1,5 millions d’habitants, sachant qu’ils mangent du riz chaque jour, pour te rendre compte que ça ne fait pas le compte.

    • GNINGONE Joâna dit :

      ah mon chère, sache que même les responsable ou proprio de restaurant se fournissent dans ces quantités là et pas plus tard qu’aujourd’hui, j’étais sidérée par la quantité que certaine personne n’arrive pas à terminer mais s’arrange pour que se soit immangeable et aille à la poubelle! essaies m^me seulement de regarder chez ton voisin le plus (quartiers outre que la sablière, charbonnage, haut de gué – gué…) tu comprendras alors pourquoi est – ce que beaucoup s’insurge sur le coût de la vie au Gabon,pays riche pourtant, et encore on te parle de se nourrir CORRECTEMENT:: tu penses qu’un repas par jours, se limitant à un plat de riz c’est se nourrir correctement!? alors c’est toi qui est à plaindre, car tu ne sait même pas que tu te nourris mal.

  4. Encore eux dit :

    Loic Ntoutoume,

    l’agence internationale de sondages Gallup a été discrédité aux Etats Unis pour cause de sondages incorrect!

    Depuis 2010, année des élections de renouvellement des législateurs américains et des dernières élections présidentielles de 2012, cette institut de sondage n’a pas réussi a donné un chiffre proche des résultats sorti des urnes!

    l’Institut de sondage Gallup annonçait Mitt Romney gagnant un vote populaire de +6% par rapport à Barack Obama, et enfin de compte, c’est Barack Obama qui a gagné le vote populaire de +2%! regarder l’écart des résultats, cela veut tout dire!

    Même chose a été dit par ce même institut de sondage Gallup sur le collège électoral avec Obama 252 grands électeurs et Mitt Romney +270, l’inverse s’est observé!

    Revenant sur les stats de Gallup sur le Gabon, dire 70% des gabonais ont du mal à se nourrir me paraît trop exagéré si ce n’est fausses!! où peut être l’a comparé par rapport au niveau de vie Occidental?

    Rappeler vous que CIA FACTBOOK affirme de l’espérance de vie au Gabon est de 52 ans, un chiffre qu elle n a pas changé depuis 2005!
    tandisque l’ONU dit le Gabon a une espérance de vie de 61,7 ans et l’INED (Institut Nationale des Etudes Démographique de France) disent que le Gabon à une espérance de vie de 63,7 ans. rappelons que la France nous a colonisé, et connait par ce fait notre évolution!

    Qui croire????

    • Luc Lemaire dit :

      Vous avez raison pour l’espérance de vie et ce sont les chiffres de l’OMS. Pour ce sondage, ce n’est pas tant le chiffre de 70% qui est important mais plus le classement par rapport aux autres pays du monde. Et de fait, la plupart des ménages gabonais font des concessions de plus en plus importantes sur la qualité et même la quantité des produits alimentaires se nourrissant dans une grosse majorité de moins en moins correctement. Merci toutefois pour les précisions sur les déboires de Gallup.

      • Encore eux dit :

        Je suis d’accord avec vous, mais classé le Gabon comme parmi les 10 premiers pas au monde qui a du mal à se nourrir me paraît très surprenant!

        Le Gabon n’a jamais connu de famine ou d’insécurité alimentaire (je parle de vrai insécurité alimentaire de style Sahel et non raréfaction d’un produit de consommation),!

        Mais si l’article nous classait par rapport aux modes de vie occidental, là j’en serais moins surpris!

        Enfin, rappelons aussi que le Gabon est le seul pays avec l’Afrique du Sud et le Ghana en Afrique Subsaharienne a avoir une menace d’insécurité alimentaire faible, moins de 10% de la population selon la FAO (Fond Alimentaire Mondiale)

        une carte représentant la fin dans le monde: http://www.agenceecofin.com/index.php?option=com_k2&view=item&id=7251:en-d%C3%A9pit-de-certains-progr%C3%A8s-certains-pays-d%E2%80%99afrique-a-toujours-faim&Itemid=264&tmpl=component&print=1

        • Luc Lemaire dit :

          C’est pour ça que le titre dit « plus de la moitié » et non pas les 3/4… Mais on ne parle pas de famine non plus.

        • Atondasimba dit :

          C’est dingue ce qu’on du mal à comprendre parce qu’au lieu de lire et comprendre, on croit avoir compris avant même d’avoir fini de lire…
          Il est bien dit plus de la moitié de la population à du mal à se nourrir, l’article ne parle nullement de famine et autres choses; Il s’agit plutôt de comprendre que « plus de la moitié » de la population ne prends pas déja les trois repas quotidien requis;
          mais plus encore, lors même qu’il leur arrive quand même de manger il leur est dificile d’atteindre par cette alimentation le minimum calorifique attendu…c’est cela toutes les questions soujacentes.

          Par ailleurs, sauf à porter des oeillières ou vivre dans la haute sociéte, je mets quiconque ici au défi de dire que c’est faux en faisant une simple expérience par lui-même: pointer chez l’épicier di quartier entre entre 17h et 20h (j’avoues ne l’avoir pas fait dans ce créneau hohoraire, il me suffit de rentrer de mon travail à 18h, prendre une recharge téléphonique, pour pouvoir m’en faire une idée.

          bvous verrez défiler la précarité et la tragédie que vive de millier de nos compatriotes.
          Pourquoi pensez-vous que le système du détail est aussi répendu? Du sucre en passant par le pain,la margarine, le riz, l’huile qe l’on vend en dosette (ptite boite de tomate concentré)etc….tout se vend au détail, il ne manquerait plus que les aiguilles si elles pouvaient l’être….

          pourquoi pensez-vous que lorsque vous invitez une fille, la ritournelle du poisson à la braise revient, ou encore la pizza en fin de soirée (ce point ci n’est pas catégorique!)

          Nos quotidiens parlent d’eux-même, de manière individuelle et collective…et j’avoues que tous les jours je lis plus de misère, de faim….dans celui de mes compatriotes.

  5. lisiane dit :

    Que Gallup soit fiable ou pas, je suis certaines que tous ceux qui lisent cet article se disent, comme moi, que contrairement à il y a quelques années, il est devenu presque impossible de manger selon ses désirs au Gabon. Moi qui ai la chance d’être classée dans la « classe moyenne » et donc de gagner correctement ma vie, je dois malgré tout compter lorsque je fais mes courses, et il n’est pas rare que je me contente des produits les moins chers, et de moindre qualité, faute de pouvoir tenir le mois entier en mangeant correctement.

    Il y a 3 ans encore, je choisissait de manger bio, d’acheter des fruits tous les jours et de choisir mes aliment en fonction de leur qualité, de la viande aux conserves. Aujourd’hui, je fais au mieux, mais, oui, je me prive, et oui, je considère que je me nourrit mal. Plus grave encore, je ne peux plus nourrir mes enfants avec des aliments dont je suis certaine qu’ils sont sains, simplement parce que je n’ai plus les moyens de les acheter tout le mois. Donc j’imagine que pour une famille pauvre, ce doit être un vrai casse tête.

  6. Dos d'anne dit :

    Bonjours
    D’abord je voudrai remercie luc pour la pertinance du sujet. Car dans ce pays divisé entre les pro et les anti ABO il est bien de parler des sujets qui nous concernent tous comme l’alimentation, le logement, la santé ……
    Ce vrai que nous importons des centaines de tonnes de riz et de poulet dans notre pays. Mais curieusement des familles ont élu domicile à la décharge de mindoubé. Pour quelles raison? Certainement pour admiré les ordures diront ceux qui pensent que les gabonais mangent bien. L’article est claire. On dit bien « on du mal à se nourrire »
    savez vous qu’il ya des familles qui consomme du riz à l’eau par manque d’huile?
    Savez vous qu’il ya des familles dans lesquels manger du poisson se fait une fois dans l’année?
    Savez vous qu’il ya des élèves qui passent toute la joutrnée sans un bout de pain?
    Mais comme d’habitude il ya à coté ceux qui nourrissent leurs chiens et chat avec des budjets de 2 à3 millions par moi.
    Aport gentil le chien de mon patron avait un budget de 1200 000fcfa de bouffe et de soin médicaux payés par la l’entreprise alors que dans celle ci des pères et des méres de familles se torturaient ppour 25O MILLE FRANS.

  7. visa dit :

    Euh…c’est Loic Ntoutoume qui a publié l’article, et non Luc.

    Le mot est lâché c’est clair! il faut qu’on retourne au travail de la terre. Sinon ça ne sert a rien de vivre en ville avec tous ces pb.

    Il y’a des parents philosophes qui l’ont compris très vite. Ils disent à leurs enfants, « essayer de réussir en ville », nous on retourne au village vivre de nos plantations. On vous enverra du manioc et de la banane de temps en temps. Le cout du transport des vivres, etc…les taxes des agents sur la Nationale, tout ça est très vicieux.

    Le flic qui taxe un transporteur sur la nationale transportant de la banane oubli que sa famille vivant à libreville va manger cette banane! le vendeur de banane afin de rentrer dans ses frais doit augmenter le tarif, ainsi de suite. et ce flic ne gagne rien, puisque au soir tombé, il va boire son mussungu.

    Je pense que nous sommes tous responsable de cette situation alors arrêtons de nous plaindre.

    Je pense également aux mamans qui se soucient de l’école de leur progéniture en allant vendre de la banane au Marché, et la Mairie, qui les surtaxe …C’est vrai que c’est dur. Mais ce boucan en particulier vient aussi des Mairies, il y’a un problème grave dans la chaîne de décision, ce sont aussi des gabonais aux commandes et nous sommes, encore là, tous responsables de cette situation.

    Alors que fait-on?

  8. demain un jour nouveau dit :

    Mais arretons de jouer aux autruches enfin.. Si vous vous arrivez a manger a votre faim, a remplir vos caddies a mbolo ou geant ck do, a regarder vos chaine cablees, a vous offrir des vacances a dubai ou joburg ou payer votre connexion adsl regulierement ce n’est pas le cas de la majorite des gabonais.
    Maintenant je vais prendre un exemple concret en attendant comme me contredise, que dites vous de ces enfants mendiants gabonais qu’on apercoit a toute de la journee et pire de la nuit a quemander 100 car ils n’ont rien manger de la journee? Cela existait il y a 5 ans voir 10 ans? N’etait ce pas plutot des enfants d’origine etrangeres et leur parent que l’on surprenait a poser ce genre d’acte, combien de fois des meres de familles confondues et honteuses vous ont interpelle pour l’aider a faire manger sa famille? Enfin arretons de nous mentir et cherchons plutot des solutions..

    • Encore eux dit :

      @ demain un jour nouveau,

      l’énumération de ces loisirs et consorts me semble penser que vous faites parti de cette « élite  » qui se la permette!?

      concernant les jeunes mendiants que vous dites, nous savons tous que les Gabonais sont très minoritaires dans ce genre de vie! plutôt du style d’une autre sous région africaine dont je ne citerais pas le nom pour cause qu’on m’accusera de xénophobe que je suis loin d’être..

  9. demain un jour nouveau dit :

    @ encore eux si effectivement je fais parti de cette minorite, reconnaissez moi alors le merite de reconnaitre et de chercher des solutions a cette facheuse situation. Au moins je ne fais pas l’autruche. Toujours trouver des boucs emissaires c’est le lot des propos d’un certains nombre ici, c’est la faute de x ou de y. La pauvrete s’accentue dans notre pays et cela est dangereux pour la paix sociale.

  10. demain un jour nouveau dit :

    @encore eux: Allez vous aussi nier qu’il y a de nombreuses jeunes filles (tres jeune même)qui se prostituent, encouragees des fois par leurs familles afin de ramener un peu d’argent pour nourrir le reste de la famille. Ou alors allez vous me dire que c’est le fait uniquement des communautes etrangeres .. ?? Il faut regarder la realite en face, la population gabonaise a de plus en plus de mal a joindre les 2 bouts et cela n’a rien de politique (point d’ABO, d’AMO ou du reste) il faut vraiment prendre cela au serieux.

  11. justice dit :

    A kombilmenu
    Je ne remets pas en cause les chiffres que tu donnes sur les importations.Mais comment peut-on bien se niurrir lorsque les prix flambent et que les revenus demeurent constant?
    Meme si tous les aliment du mondes étaient au Port d’Owendo,sans pouvoir d’achat,comment se les acheter?
    L’article ne dit pas que les Gabonais ne se nourrisent pas.Mais qu’il ne se nourrissent pas correctement.Faites tourner vos méninges,il y a une nuance entre se nourrir et se nourrir correctement.
    A Encore eux
    Un sondage electoral,est l’expression des intensions de votes.devant les urnes,les gens peuvent changer d’avis.Nous ne sommes face aux intensions des gabonais,sur un sujet donné,ici il s’agit de ce que vivent les gabonais au quotidien.
    vous etes de mauvaise voi
    Tous les gabonais que nous rencontrons se pleignent.Moi ne ne suis pas dans un bas quartier.

  12. moi makaya dit :

    M. lemaire, il n’y a qu’à voir le taux de participation des uns et des autres dans ce site au moindre article sensible ou éditorial pour comprendre ce que recente la majorité des gabonais et là encore ce n’est rien au regard des 10.000 connexions journalières observées. trop c’est trop les gabonais ont besoin de parler, de réagir, d’ouvrir leur coeur par l’intermédiaires des sujets d’actualité, pour crier notre rale bol en partant de la politique jusqu’au social et en passant même par le sport. rien ne va plus, continuez à faire votre travail avec professionalisme. mes concitoyens ont tellement commenté, qu’est ce qu’il faut ajouter de plus. bon continuation dans votre travail.

  13. pour combien de temps encore? dit :

    Les Gabonais vont-ils continuer à subir les affres de la malgouvernance? Pour combien de temps va-t-on encore se procurer une aiguille en détail chez le commerçant malien du quartier?
    Pour la clique BONGO fait-elle la sourde oreille à des milliers des ventres vides des gabonais qui grondent depuis là?
    Sait-on jamais, il a suffi qu’un policier mal inspiré s’en prenne au petit commerce en détail d’un chômeur pour que la Tunisie du tout PUISSANT BEN ALI s’embrasse.

    On peut douter comment le futur sera fait demain au gabon. Un ventre affammé ,n’a point d’oreilles;
    En dépit d’une illusion d’appréciation qui fait du peuple de GABON un peuple de paix, passif, tolérant, il faudrait se douter de leur grongne quand ça devient impossible de se procurer quelques morceaux de sucre chez le détaillant, quand les compatriotes commencent déjà à commettre des crimes y compris sur leurs propres, pour soit disant qu’ils n’arrivent plus à nourrir une projéniture de 17 gosses. A ailleurs, les familles nombreuses bénéficient des aides, pas au GABON? c’est bizarre… comment ?

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