Après avoir appelé à la radicalité contre le pouvoir en place, nié l’utilité du scrutin présidentiel, avant d’appeler à l’unité de l’opposition, le candidat de l’Union du peuple gabonais (UPG-radicale) est désormais un des « boucliers » d’Ali Bongo.

ben-moubamba

Bruno Ben Moubamba, en plein bras-de-fer avec des policiers au palais de justice (archive). © D.R.

 

Depuis la publication des résultats provisoires du scrutin présidentiel du 27 août 2016, ayant donné vainqueur Ali Bongo, le positionnement de Bruno Ben Moubamba est une énigme. Après avoir mené une précampagne électorale plutôt vive voire agressive aux côtés d’autres opposants tels que Jean Ping et Guy Nzouba Ndama, le candidat de la branche dite radicale de l’Union du peuple gabonais (UPG) semble s’être perdu. D’aucuns estiment que son score obtenu au terme de l’élection présidentielle lui est monté à la tête. Sinon, comment comprendre que son discours ait viré à 180° degré ?

Pourtant, l’opinion peut se rappeler que le jeune candidat fut l’un des premiers à appeler à une candidature unique de l’opposition, gage pour lui d’une victoire certaine face à «la tyrannie et l’oppression d’Ali Bongo et de la légion étrangère». Dans la foulée, il avait également appelé explicitement à l’insurrection populaire. En juillet dernier, il avait notamment initié une campagne de sensibilisation à Libreville, pour inviter les Gabonais à «faire la révolution». A l’époque, il estimait que «la solution (n’était) pas d’aller aveuglément à l’élection du 27 août» mais que celle-ci se trouvait dans la rue, à travers une marche vers la présidence de la République.

Crédité d’une troisième place provisoire après Ali Bongo et Jean Ping, le candidat de l’UPG dite radicale a depuis félicité celui du Parti démocratique gabonais (PDG) pour sa réélection. Il n’a d’ailleurs pas manqué de cracher son ressentiment à l’égard de l’ancien président de la commission de l’Union africaine, qu’il accuse être derrière les émeutes du 31 août dernier. Et depuis peu, Bruno Ben Moubamba accuse, pointe du doigt et semble se donner une position aux côtés d’Ali Bongo, allant jusqu’à proposer la formation d’un gouvernement dit d’union nationale. Pour ses détracteurs, c’est notamment sa volonté de faire partie de ce gouvernement qui explique ce revirement et ce changement de discours. Bruno Ben Moubamba aurait-il goûté à «la soupe» ?

 

 
GR
 

53 Commentaires

  1. Jean -jacques dit :

    Voila un vrai homme pour l’opposition Gabonaise

  2. BIGBILY dit :

    BEN MOUBAMBA est réaliste et un bon perdant qui respecte les institutions de son pays contrairement au Pingouin qui complote avec les puissances étrangères prêt à vendre le Gabon aux enchères pour sa soif de pouvoir qu’il n’aura jamais.
    PING ne sera jamais jamais jamais président au Gabon !!!!

  3. Pierrot dit :

    Moubamba est un gigolo, rigolo, opportuniste,toujours égal à lui-même !

  4. gaboma dit :

    moubamba ça ne tourne plus rond dans sa tete, notre gourou de faux chretien catholique égaré opportuniste et manipulateur. 0% pointé donc vomi par les gabonais, et sans base électorale moubamba n’a pas sa place dans un gouvernement d’union nationale parce qu’il a été un candidat médiocre dans une élection alors qu’il y a des personnes bien plus présidentiables sérieuses et écoutées qui ne se sont pas présentés. Si Ali veut d’avantage d’impopularité pour lui et son gouvernement qu’il ajoute à son entourage pestiféré que sont bilié bi nzé, accrombessi, ogandaga, etc. la mauvaise bouche tranchante de moubamba. Si son hold up se confirme il a plus que jamais besoin de personnes pondérés et non des provocateurs pour d’avantage attiser la haine contre sa personne Ali Bongo. Courage peuple. Lorsque l’égarement et l’inconsistance des faux prophetes comme moubamba se fait voit au grand jour, c’est que Dieu est prêt à faire le menage. Veillons, prions et surtout marchons, dans la vérité et la justice et notre pays ne sera pas detruit. Moubamba t’aura un petit poste d’Ali puis on te mettra à la poubelle comme Mouloungui et ce sera ta fin: la mort politique par la mangeoire.

  5. gaboma dit :

    Le sorcier de moubamba a été vaincu par les Bongos. Bonne nouvelle. Depuis 2009 cest ce genre de personnage qui fait tourner en rond l’opposition. Quand on pense que cette homme et mboumba nziengui on detruit le parti politique de mamboundou. Les seuls vrais heritiers de PMM que nous connaissons sont moulomba et iwangou. Moubamba n’est qu’un opportuniste, un manipulateur qui n’a aucune ideologie.

  6. myself dit :

    Ali Bongo n’a pas intérêt à s’entourer à des gens comme moubamba. Partout où il passe il contribue à la destrution avec ses reves et ses ambitions demesuré. En plus changeant de discours du jour au lendemain, preuve d’une mauvaise moralité, on ne va plus continuer à confier le pays à des gens qui sont faux parcequ’ils ont comme atout avoir fait le bruit a la famille bongo. le gabon n’est pas un gateau. Si Ali Bongo veut une erreur de casting qui s’opposera à son premier ministre en voulant prendre sa place, un homme qui n’est jamais d’accord avec personne et incapable de soumission, qualité indispensable dans une equipe gouvernemental, qu’il nomme Moubamba qui croit deaormais que pour etre un puissant opposant plus tard il faut d’abord aller brasser les milliards au pdg comme Amo et Ping.

  7. Charles Auleley dit :

    C’est un couillon de la pire espèce. Un imposteur. Une balance. Une girouette qui montre son vrai visage. Il faudra qu’on lui règle bien durement son compte comme à tous les PDGays, leur chef, le tueur venu du Biafra, et l’ensemble de ses acolytes.

    Ce pays ne reposera sur des assises plus solides qu’en éliminant ces nombreux cancers nourris, élevés et entretenus par Bongo, le père, puis son taré et sanguinaire de fils. La loi du talion s’impose pour toutes les victimes des périodes ante et post électoral. Sincèrement, il faudra les pourchasser dans leurs derniers retranchements et les buter tous froidement. Garder l’un d’entre eux vivants, des métastases agressives, c’est courir le grand risque de les retrouver plus tard et devant nous bien armés et tapis dans l’ombre pour se venger et rétablir leur main-mise sur ce pays. Âmes sensibles: mouchez-vous et buvez un verre d’eau. D’autres se chargeront de cette opération de nettoyage chirurgical obligatoire pour notre survie. Vous les remercierez plus tard.

  8. Charles Auleley dit :

    Corrections: 1) par…son taré et sanguinaire de fils, 2) périodes pre et post…électorales.

  9. lamiral dit :

    Votre article « tango ubuesque de MBB » est formidable, un modèle du genre !!!
    Vous soupçonnez ledit ex candidat d’avoir « tourné casaque », son discours a viré à 360°.
    Or, cette manœuvre consiste à faire une rotation complète, quitter une direction donnée, tourner sur soi même et………. retourner au cap initial.
    Changer du tout au tout, tourner le dos à ses engagements, ses promesses, en un mot virer de bord, c’est faire un 180°. Hier, vous montriez votre côté pile, aujourd’hui vous affichez le côté face.
    Je ne connais pas cet individu autrement que par vos précédents articles le concernant, où vous le décriviez comme difficile à cerner, mais genre égo surdimensionné, attiré par le pouvoir, comme désigné par la « Grâce » pour assumer de hautes fonctions au service du Pays, voire même celle de Chef d’Etat.
    Il semble désormais se diriger du côté de « la bonne soupe », là où la mangeoire déborde de délices. Il se présente donc tel qu’en lui même.
    Il a bien effectué un 360°.
    Figure classique en politique, celles et ceux qui avaient porté leurs espoirs sur sa candidature en ont la tête toute retournée………

  10. piouf! dit :

    Bruno Ben Moubamba aurait-il goûté à «la soupe» ?
    je dirais ouiiii et il l’a même avalé. Le peu de crédibilité qu’il avait c’est envolé

  11. Le maréchalat du Roi Dieu dit :

    BBM la politique du ventre .

  12. ongone dit :

    Ce dernier est obligé de changer de camp car il a une dette de 50 000 000 qu’il doit rembourser à quelqu’un comme l’etre humain est compliqué.

  13. Nzuinguiri dit :

    BBM, a certainement déjà goûté à la soupe. Sinon, comment comprendre toutes ses positions en seulement trois mois. Mais je crois qu’il a entièrement raison. il nous avait déjà prévenu en 2009 lorsqu’il nous parlait de la sorcellerie politique. C’est ce qu’il est en train de nous faire voir maintenant puisque depuis là nous ne le comprenions pas. Il joue du ventre.

  14. Ensemble chassons le SPF dit :

    MOUBAMBA m’a toujours donné l’impression de quelqu’un de trouble. Maintenant nous savons quelles sont ses réelles intentions.

  15. bonga pierre dit :

    Merci mon frère Ben de privilégier la paix au détriment de la guerre. Les fang et myéné qui appellent à l’insurrection ont pillé ce pays avec le clan Bongo.

  16. gee dit :

    mais comment souhaite t il faire partie d’un gouvernement d’unité national???aux elections malgré etre sortie 3 eme mais avec combien????meme les membres de ton parti ne t’ont pas accordés leur voix,tu prêches dans le desert.Tu peux te rejouir car on classe toujours les perdants en mathématiques échec total,même la mouche ne t écoute pas.

  17. angazouamane dit :

    Avec ses yeux et sa tronche de charognard, Moubamba se dit surement que c’est son tour d’entuber Ali et prendre la place de Bili Bi Nze aujourd’hui indésirable pour avoir trop berné le bourou bourou à coup de milliards de CFA. Si Ali avait un peu d’intelligence, il comprendrait que Moubamba et Bili Bi Nze c’est bonnet blanc et blanc bonnet et que tout flatteur vit au malheur de celui qui l’écoute.

  18. REVOLUTION dit :

    Pitoyable et pathétique Ben MOUBAMBA. Tu viens à jamais d’hypothéquer ta carrière politique dans ce pays. Tu étais prédestiné à jouer un rôle majeur, mais hélas tu n’as pas fait preuve de patience…Dommage

  19. opposition dit :

    Voila un homme qui sait retourner RAPIDEMENT sa veste.

  20. Prière pour le Gabon dit :

    Chers lecteurs,

    Je n’interviens presque pas pour commenter les articles. Prenez ce message au sérieux, l’heure n’est pas à la rigolade. Il ne s’agit pas ici d’être pro Ping ou pro Ali. Non! Je conseille de beaucoup prier et pour les chrétiens prendre même trois jours de jeûnes et prières, pour prier pour la nation s’il vous plaît. Le pays risque de véritablement sombrer. Prenez ce message au sérieux. Prions vraiment pour notre pays, car les heures et jours qui vont suivre la déclaration de la décision de la cour constitutionnelle risquent d’être grave pour notre pays.

    • Bella dit :

      Merci cher compatriote, frere en Christ. C’est notre priorité aujourd’hui implorer la grâce du Seigneur sur notre pays. A lui je fais confiance, il détient le monopole de la verite, de la justice. Nous sortirons tous peuple gabonais vainqueur non parce que nos œuvres sont bonnes, mais grâce à la volonté et à l’infini miséricorde de notre Seigneur. Il ne nous abandonne pas.

  21. jean bille dit :

    les masques finissent par tomber à l’upg et dans le milieu de l’opposition.tant mieux pour l’un et l’autre. on y voit plus clair. quand on veut aller à las oupe que fait-on ?et bien on fait du ben moubamba, du mathieu nziengui, du mba abessole, du billié bi nze, du clémence mezui, du………..il y en a tant eu; qu’il n’est pas et ne sera pas le dernier de cette race de politiciens qui se moquent de la triste condition du Gabon et des gabonais. avec jean ping, cette manière de pratiquer la politique sera prohibée aussi il fait bien d’aller paître tant qu’il le peut encore. la lutte pour le gabon libre, républicain et démocrate débarrassé de toute chienlit continue! vive jean ping!

  22. NANG NZENG dit :

    oh mon Dieu, je me disais qu’il avait bien le nom d’un serpent. Je suis fang né à mouila et je parle aussi bien punu que lui…ou sane yim, ou sa moutou; ouk pégni va missou ma batou. moudayi(traduction: tu n’as plus rien; tu n’es plus rien…découvert aux yeux de tous. Voleur!).

  23. okazaki dit :

    Voici un individu qui a décidé de ramer à contre courant de l’histoire pour satisfaire ses petits intérêts personnels! Ce type est une honte pour la nation, un escroc politique qui s’est servi des quelques dizaines des gabonais qui ont cru en la sincérité de ses propos,pour quémander un minable poste de ministre a Ali Bongo! Rassurez vous vos rêves iront à l’eau car votre champion ne présidera plus aux destinés de ce pays c’est bientôt la fin de la sorcellerie politique

  24. léandre ndambo dit :

    ce monsieur a un INCROYABLE TALENT d’équilibriste et de contorsionniste !

  25. AAB de Nour dit :

    Le piment dans la soupe. C’est très bon! BBM chavirera dans dans cette soupe.

  26. Loeil dit :

    Ben Moubamba n’a aucun talent et ne représente absolument rien sur la scène politique du pays. Il a toujours manqué son rendez-vous avec sa propre personnalité.

  27. Nsissim dit :

    Mamboundou en 2009 contre AMO ; Moubamba en 2016 contre Ping : c’est la vraie signature de l’UPG « Punu-Matingu ». Cet UPG là est toujours prêt à jouer contre le Peuple quand le leader n’obtient pas gain de cause dans les urnes, dans les voix du Peuple. Dans cet UPG là, point d’humilité : égo surdimensionné et narcissisme chez le leader, toujours prêt à pactiser avec le diable (Iboubou).
    Quoi de surprenant, Moubamba suit les traces de Mamboundou : quand tu perds dans les urnes, range toi derrière Ali pour sauver les meubles (du moins, ce qu’il en reste). Ne soyez pas surpris que Mborantsouo le déclare 2e, après Iboubo. Cela a un nom : La sorcellerie politique.

  28. Gaboma dit :

    L’un des grands souci de notre pays est que ceux qu’on a eu comme présidents sont plus qu’intéressés par ce genre de personnage. Des gens dont l’inconstance et le discours faux et le retournement de veste témoignent d’une moralité douteuse. Moubamba depuis qu’il s’intéresse à la politique n’a jamais su ce que veut dire faire des concessions, se soumettre. Son instabilité en 8 ans devrait conduire Ali Bongo à éviter de nommer Moubamba dans un quelconque gouvernement. Leader de la société civile puis homme politique sans attendre, membre de l’union nationale: artisan de la division, upg: artisan de la division, projet de candidature unique: artisan de la division.C’est trop pour un seul homme. Moubamba n’est fidèle à rien. Arrivé dans un gouvernement il ne sera jamais d’accord avec le premier ministre, le genre de personne à ne considérer que l’autorité de celui qui le nomme. Et même là. En plus il est un rêveur qui n’a aucun sens des réalités. Moubamba comme d’autres candidats en voulant intégrer le projet de candidature unique avait l’objectif de faire échouer le projet par des enchères irréalistes.

  29. Dgriffa dit :

    Moubamba!!!!!!!!!! Pitié de toi!!!!!! Rigolo politico-situationiste. Je le sentais venir celui la!!!!!!!!!!!

  30. Le Democrate dit :

    Il me semble que nous ne vivons pas dans le meme pays. Il est de notoriété publique que Moubamba n’est plus à l’UPG. Il avait été débouté par la justice. La preuve: il s’est présenté à cette élection en candidat indépendant. Mais Gabonreview le présente toujours comme étant le président de l’UPG. Connaissez-vous un parti qui s’appelle UPG radicale? Voilà quelqu’un qui se dit président d’un parti mais qui n’arrive pas à présenter sa candidature au nom de ce parti. C’est qu’il y a un problème.
    Pour le reste on sait ce qu’il est réellement. On ne doit pas s’étonner de ce que nous observons actuellement.
    S’agissant de Ping, il faut qu’il se rende compte de ce que les autres ont subi pendant que lui aussi était aux affaires. Il faut qu’il apprenne à faire de l’opposition comme l’ont fait les autres pendant des années.

  31. BILOGOU dit :

    BRUNO BEN MOUBAMBA, depuis des années, j’ai été toujours convaincu qu’il est déséquilibré mentalement.

  32. Jean -jacques dit :

    Voila encore une fois leswfaux opposants pensent que Ben est un vieillard il est jeune intellectuel plus que votre vieillard ping il luí reste combien de temps mois d de 10 ans.or ben a encore la venir devant lui.et il sera ministre sous le mandat d’ali.

  33. bonga pierre dit :

    Nzouba-Ndama commence l’enseignement de la philosophie en septembre 1975 et est nommé directeur de l’orientation à la direction générale des bourses et stages en novembre suivant, tout en continuant à enseigner. En 1980, il est devient directeur général des bourses et stages1 et reste à ce poste jusqu’en 19832.

    D’abord nommé au gouvernement comme ministre délégué auprès du ministre d’État au Commerce et à l’Industrie en mars 1983, il est ensuite promu, le 18 novembre 1987, au poste de ministre de l’Éducation nationale où il demeure jusqu’en 1990. Il est ensuite conseiller politique du président Omar Bongo de février à novembre 1990.

    Aux élections parlementaires de 19902, il est élu à l’Assemblée nationale comme député de Koulamoutou1, puis il occupe la fonction de président du groupe parlementaire du PDG de 1990 à 1996. Réélu comme parlementaire en décembre 19962, Guy Nzouba-Ndama est élu au poste de président de l’Assemblée nationale le 27 janvier 1997

  34. bonga pierre dit :

    Ministre d’État, ministre gabonais des Affaires étrangères, de la Coopération et de la Francophonie
    25 janvier 1999 – 6 février 2008
    (9 ans et 12 jours)
    Président Omar Bongo
    Premier ministre Jean-François Ntoutoume Emane
    Jean Eyeghe Ndong
    Ministre gabonais de la Planification, de l’Environnement et du Tourisme
    27 janvier 1997 – 25 janvier 1999
    (1 an 11 mois et 29 jours)
    Président Omar Bongo
    Premier ministre Paulin Obame-Nguema
    Ministre gabonais des Affaires étrangères et de la Coopération
    25 mars 1990 – 30 octobre 1994
    (4 ans 8 mois et 4 jours)
    Président Omar Bongo
    Premier ministre Casimir Oyé Mba
    Ministre gabonais des Mines, de l’Énergie et des Ressources hydrauliques
    28 août 1992 – 24 mars 1994
    (1 an 6 mois et 24 jours)
    Président Omar Bongo
    Premier ministre Casimir Oyé Mba
    29 avril 1990 – Juin 1991
    (1 an 1 mois et 16 jours)
    Président Omar Bongo
    Premier ministre Léon Mébiame Mba
    Casimir Oyé Mba
    Ministre gabonais de l’Information, des Postes et des Télécommunications, du Tourisme et des Loisirs, de la Réforme du secteur parapublic
    Ministre des Relations avec le Parlement
    Porte-parole du gouvernement
    26 février – 29 avril 1990
    (2 mois et 3 jours)
    Président Omar Bongo
    Premier ministre L

  35. bonga pierre dit :

    Il est nommé par Omar Bongo, le 3 mai 19903, Premier ministre de la République gabonaise, place qu’il conserve jusqu’au 2 novembre 19941.

    Le 21 octobre 1990, il est élu député du département de Komo-Mondah dans la province de l’Estuaire le 21 octobre 1990 sous l’étiquette du parti démocratique gabonais auquel il adhère depuis 19732.

    Après 1994, il est maintenu dans le gouvernement de son successeur Paulin Obame Nguema en tant que ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, jusqu’en 1999.

    Par la suite, Casimir Oyé Mba est nomme ministre de la Planification et de l’Élaboration des programmes en janvier 1999, sous le gouvernement de Jean-François Ntoutoume Emane, puis permuté avec son collègue Richard Auguste Onouviet au poste de ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.

  36. bonga pierre dit :

    Zacharie Myboto (born 1938) is a Gabonese politician and President of the National Union (UN), an opposition party. He was the Administrative Secretary of the Gabonese Democratic Party (PDG) from 1972 to 1990 and served in the government from 1978 to 2001.

  37. bonga pierre dit :

    Bruno Ben Moubamba a été élevé au Gabon et scolarisé dans des institutions catholiques : petit séminaire Saint-Jean, collège Sainte-Marie et collège Bessieux. Né dans le quartier populaire de la Sorbonne-Gare routière, il a commencé son parcours scolaire à l’école primaire de la Sorbonne.

    Après son baccalauréat à Libreville en 1987, il entreprend des études de philosophie et de communication à Bordeaux dans le sud-ouest de la France, avant de compléter son parcours académique par un doctorat en philosophie à Reims et un autre doctorat en sciences sociales et politiques à Paris. Il a de ce fait, achevé des études de troisième cycle en philosophie (université de Reims) et en sciences sociales – sciences politiques à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) à Paris.

    Il a passé cinq années dans le sud de la France comme formateur et animateur social de jeunes à l’abbaye Saint-Étienne-d’Aubazine1. En 1992, il effectua une mission humanitaire en Bosnie-Herzégovine alors plongée dans les horreurs de la guerre.

    Il a également suivi une formation en management des ressources humaines au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) de Reims.

    Dans sa première thèse de philosophie obtenue avec la mention « très honorable à l’unanimité du jury » à l’université de Reims, traitant du Concept de paix dans l’augustinisme, il se positionne clairement comme un ardent défenseur de la paix. Par cette recherche philosophique, il a été reconnu comme l’un des plus éminents disciples de saint Augustin[Par qui ?], le grand évêque et philosophe d’origine africaine, avec tout ce que cela comporte pour la résolution pacifique des problèmes du Gabon et de l’Afrique, dans le cadre d’un « nouveau partenariat entre l’Afrique et l’Europe », horizon entre autres de ses investigations politiques actuelles.

    Dans le prolongement de ses travaux de philosophie, sa thèse de science politique, soutenue le 21 septembre 2012 à l’EHESS de Paris et également obtenue avec la mention « très honorable à l’unanimité du jury », traite de L’idée de permanence de l’être dans le problème théologico-politique. Cette recherche vise notamment à définir les fondements de la foi au moyen de la raison et à mettre en lumière les éléments rationnels communs aux grandes religions monothéistes permettant, par la tolérance, de pacifier les relations entre des communautés et les hommes souvent perturbés par le fondamentalisme.

    Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]
    Journaliste, il commence sa carrière au Gabon à Africa no 1 puis à Radio Soleil en 1997/1998. Il a ensuite participé à la création d’une radio catholique gabonaise en 1999 à Libreville, Radio Sainte-Marie, tout en travaillant en France à Radio Notre-Dame, KTO la télévision catholique ou des médias en ligne tels que OMEGA TV.

    Spécialisé dans les grandes interviews concernant l’Afrique et les droits de l’homme, sa carrière lui a permis de rencontrer de nombreuses personnalités connues et moins connues, telles que par exemple : Elie Wiesel (prix Nobel de la paix), monseigneur Carlos Belo (prix Nobel de la Paix), L’abbé Pierre, le président Blaise Compaoré, ainsi que de nombreux acteurs politiques, associatifs et humanitaires (Croix-Rouge, Secours catholique, Croissant Rouge, UNESCO, Caire, etc.) ou des militants peu connus qu’il mettait en avant.

    En 1998, il a créé et dirigé l’Institut français Édith-Stein avec lequel il s’est beaucoup investi dans l’action humanitaire au profit des populations et en particulier de l’éducation des enfants. Il a notamment travaillé dès 1999 en compagnie de son épouse Virginie (née Hubert) et de dizaines de volontaires français pour la sauvegarde de la mission historique de Sindara (province de la Ngounié) au centre du Gabon où il a fait vivre sur ses fonds propres essentiellement et grâce à de nombreux volontaires français : une école, un internat, un dispensaire, une sauvegarde du site, etc., avant d’être contraint d’arrêter ce projet en octobre 2009, à cause des difficultés liées à son engagement le 30 août 2009 en tant que candidat à la présidentielle gabonaise du 30 août 2009.

    Avec l’appui de volontaires du Burkina Faso, il a également tenté de reprendre pendant deux ans (de 2006 à 2008), l’école, l’internat et le dispensaire de la mission Sainte Anne dans la lagune du Fernan Vaz, construite avec des restes de la tour Eiffel, non loin de Port-Gentil et a également tenté plusieurs expériences humanitaires à Ndjolé au centre du Gabon mais elles n’ont pas été couronnées de succès.

    En 2007 et 2008, il a eu l’idée avec d’autres Gabonais de proposer aux évêques du Gabon, l’organisation d’un jubilé-anniversaire dédié aux 25 ans de la visite du pape Jean-Paul II dans le pays.

  38. bonga pierre dit :

    Je viens de publier quelques extraits de biblio tirés de Wikipedia de Ping à Moubamba. Je constate malheureusement que contrairement aux autres, MOUBAMBA n’est pas allé à la soupe!

  39. ifrikiya dit :

    Moubamba a avalé la soupe, c’est clair. Apres les resultats de la cenap, lui qui etait si actif sur les reseaux sociaux a supprimé l’acces a ses comptes facebook et twitter… question qu’on ne voit plus ses anciens posts oú il s’opposait a ali. Heureusement cela nous permet de bien voir ce qu’il reste de l’upg, moukagni iwangou. Va en paix moubamba, tu seras bientot ministre, mais 2 mois apres, tu mourras tout seul. On ne joue pas avec les vieux du village que tu as bourré d’espoir en vain.

  40. Le Marquist dit :

    jean-jacques tu es le prince de la stupidité,même un enfant n’ira jamais résonner comme toi.tu es fan d’ali OK,mais sert toi de temps en temps de ton cerveau

  41. mr henry dit :

    peuple incrédule tout autorité viens de Dieu aussi si nous vivons ses instants nous les vivons pour Dieu et par Dieu rien n’est de l’autorité du diable il na pas d’autorité sur nous aussi restons digne en pensant au jeune qui plais t’a Dieu dans le livre d’ésai

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