Paul-Marie Gondjout a été l’hôte, le 31 janvier dernier, du président de l’Alliance pour la renaissance nationale (Arena), à qui il est allé présenter le mouvement «Article 10 – Ali bouge de là», qu’il préside depuis quelque temps.

Des membres du mouvement «Article 10 - Ali bouge de là» au siège de l’Arena. © D.R.

Des membres du mouvement «Article 10 – Ali bouge de là» au siège de l’Arena. © D.R.


 
Afin de recueillir l’adhésion de toutes les forces vives de la nation dans le combat pour le règlement de la question de l’éligibilité du président de la République, Paul-Marie Gondjout et les membres du mouvement «Article 10 – Ali bouge de là» se sont rendus au siège de l’Alliance pour la renaissance nationale (Arena), assurer la promotion de leur initiative.
Cette visite s’inscrit dans la série de rencontres avec des groupes et partis politiques de l’opposition, organisations de la société civile et missions diplomatiques. Elle vise à expliquer l’importance du sujet et la nécessité de faire respecter la Constitution qui se trouve «bafouée». «Le mouvement «Article 10 – Ali bouge de là» entend mettre en lumière tous les éléments de preuve sur les mensonges liés à la naissance d’Ali Bongo», a précisé son président.
Richard Moulomba et l’ensemble du directoire de l’Arena se sont montrés très intéressés par la démarche citoyenne d’ «Article 10 – Ali bouge de là». Et pour cause, Paul-Marie Gondjout sur la différence à faire entre, d’une part, les poursuites à engager sur le faux et usage de faux que constitue l’utilisation d’un faux acte de naissance par Ali Bongo en 2009 et la recherche de la vérité sur sa filiation avec ses supposés parents, d’autre part. Pour lui, il s’agit de s’assurer que l’actuel président de la République est bel et bien éligible, que les dispositions de l’article 10 alinéa 3 de la Constitution n’ont pas été violées. Les discussions ont aussi porté sur l’avenir du pays, notamment, l’adoption consensuelle de vraies règles du jeu de la démocratie comme point de départ pour une nouvelle République.
 

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Blaise nicolas dit :

    Je pense tout simplement que dans ce pays il faut que les opposants laissent travailler le président de la république dans sa vision pour un Gabon emergent qui va vers le développement au lieu de vouloir à chaque fois troubler cet avancée s’il y’a un un problème les opposants et le gouvernement peuvent bien dialoguer afin d’arriver a un consensus

    • imagine56 dit :

      Blaise Nicolas
      êtes vous enfant de chœur?
      j’aime lire vos prise de position angéliques malheureusement
      la réalité n’est pas si simple….
      c’est à l’époque de Bongo père que le consensus prenait souvent le dessus, aujourd’hui ce n’est plus possible….les émergents omniscients savent tout, maitrise tout!

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