La Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) vient d’arrêter le calendrier de cette échéance qui vise à renouveler la chambre haute du Parlement.  

Le palais du Sénat. © panoramio.com
Le palais du Sénat. © panoramio.com

 
Réunie en assemblée plénière le 20 octobre dernier à Libreville, la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) a fixé le calendrier des prochaines sénatoriales. Ainsi, le scrutin aura lieu 13 décembre prochain. Comme pour prévenir tout manquement éventuel, le président de la Cenap, René Aboghe Ella, a appelé les acteurs politiques concernés par cette échéance à connaître leurs responsabilités. «Nous pourrions indiquer simplement d’être attentifs aux communications de la Cenap qui donne un certain nombre d’informations utiles», a-t-il suggéré, soulignant que cette élection ne revêt aucune particularité.
Selon René Aboghe Ella, il sera juste question de faire un rappel des modalités en temps utile car, a-t-il affirmé, «la Cenap est toujours soucieuse d’offrir des prestations de plus en plus améliorées». Conformément au calendrier arrêté pour la circonstance, la date limite des dépôts des candidatures est arrêtée au 22 novembre prochain à 18 heures précises. Le président de la Cenap a affirmé que depuis 2009, la loi électorale n’a pas été modifiée. «A ce titre, c’est un ensemble de modalités auxquelles les acteurs politiques devraient être habitués», a-t-il estimé.
En 2009, le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) avait remporté les élections sénatoriales en raflant 75 (sur 80 candidats présentés) des 102 sièges du Sénat. 6 sièges étaient revenus au Rassemblement pour le Gabon (RPG, opposition), 3 à l’Union pour la démocratie et le développement (UGDD, opposition). L’Union du peuple gabonais (UPG, opposition), le Centre des libéraux réformateurs (CLR, majorité) et le Parti gabonais du centre indépendant (PGCI, majorité) avaient obtenu 2 sièges chacun. Tandis que l’Alliance démocratique et républicaine (Adere, majorité) avait eu 1 sénateur. Les 9 autres sièges sont revenus à des indépendants.
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. negro dit :

    Pour une fois encore, la porte est ouverte aux crimes rituels.

  2. anti démagogie dit :

    En France il est d’actualité de vouloir supprimer le sénat et de réduire le nombre de députés.
    Comment peut t’on se calquer avec 1.5 million d’habitants sur un système politique, administratif et judiciaire qui est en fin de cycle?
    Les français veulent leur VI république.

  3. citoyen révolté dit :

    JE LANCE UN APPEL à tous les enfants de nos pseudo riches du Gabon, vous tous dont les parents ont contribué a la misère de 80% des gabonais, vous tous dont les parents ont pillés le pays pour vous financer des études en occidents pendant que l’école gabonaise est délabrée, vous tous qui allez dans les boites de nuits claquer des bouteilles de champagnes, depenser des millions que vous volé a vos parents qui volent le Gabon, vous tous qui continuez a croire que ce schema va perdurez, ressaisissez vous, parlez à vos voleurs de parents dans les maisons, dites leurs qu’ils ont fait et qu’ils font du mal à 80% des gabonais, dites leur que c’est vous qui porterez les « pots-casser » lorsqu’ils partirons, dites leurs d’arreter les crimes économiques, vous etes avant tout des gabonais, ne vous contentez pas de voyager et de beneficier des biens mal acquis par vos parents, rectifiez le tire, car nous n’allons pas accepter que vous reproduisiez les memes schema que vos voleurs de pères qui vous ont envoyé étudier en occident sur le dos de la misère de 80% des gabonais…

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