Pour exprimer leur colère face aux déboires subis par leurs camarades et la réponse tardive à leurs différentes revendications, les étudiants de l’Université Omar Bongo s’en prennent aux infrastructures.

Scène de l’émeute du 18 décembre 2014 à l’université. © D.R.
Scène de l’émeute du 18 décembre 2014 à l’université. © D.R.

 

Vue des dégâts causés par le feu. © D.R.
Vue des dégâts causés par le feu. © D.R.

En réponse à l’arrestation d’une vingtaine de leurs camarades le 17 décembre courant, les étudiants de l’Université Omar Bongo (UOB), ont procédé, le 18 décembre, à une démonstration de colère, aussi bien à l’encontre des autorités rectorales qu’ils accusent de ne rien faire pour entendre leurs différentes revendications, que pour prouver leur détermination. Après les échauffourées enregistrées suite au report de l’audition de Firmin Ollo Obiang et Célestin Mintong Mintong, ayant donné lieu à la mise aux arrêts de Nicolas Ondo, président de la Mutuelle, les étudiants s’en sont pris aux bâtiments de l’établissement d’enseignement supérieur. L’un d’eux, une grande tente, comme on en trouve désormais en grand nombre depuis quelques temps dans la capitale, n’a pas résisté aux assauts des manifestants.

Mise à feu comme pour s’insurger contre une nouvelle présence des agents des forces de l’ordre au sein de l’université et davantage pour réclamer la libération de leurs camarades incarcérés depuis plus de 5 mois à la prison centrale de Libreville, la tente abritant de nombreux services administratifs a tout simplement été la cible des manifestants. Une situation qui suscite quelques interrogations et inquiétudes.

En effet, si l’on comprend mal la nécessité et l’intérêt de détruire le patrimoine universitaire dont dépendent en grande partie leurs propres études, l’on s’interroge davantage sur la stratégie des autorités pour tenter d’apaiser la colère des étudiants. L’usage de la force et de la violence face aux revendications est-elle l’unique voie pour le retour au calme dans cet établissement ? Nul ne doute que non. Pourtant, au regard de l’escalade perceptible ces derniers jours, la situation devrait prendre une autre tournure et l’incendie volontaire du 18 décembre ne fait, malheureusement, que le confirmer. La Mutuelle a par ailleurs indiqué sur son compte Facebook : «Notre nombre est notre force, notre détermination sera la solution à nos problèmes, si les autorités ne veulent pas entendre la voix de l’étudiant, advienne que pourra.»

 

 
GR
 

38 Commentaires

  1. patriote dit :

    Du jamais vu, j’appelle ça du banditisme et les personnes responsables doivent faire la prison. Aucun motif ne vous donne le droit de détériorer le bien public, l’université!

  2. gabao.kool dit :

    Poste1, Tu appelles ça du banditisme ? dans quel pays as-tu vu qu’on embrigade les étudiants comme des vulgaires vouyous, parsqu’ils appellent aux meilleures conditions de leurs études ? Dans quel pays as-tu vu un président faussaire, trafiquant de diplômes et d’acte de naissance comme Ali Bongo ? Dans quel pays as-tu vu les canailles expatriés sans CV comme Accrombessi et consorts deverir les rois, parsqu’ils sont charlatans ou marabouts d’un flibustier monarque sans foi ni loi, qui viole la constitution et occupe le poste de président de la république illégalement ? Ces questions devraient te faire réfléchir avant de débiter les insanités.

  3. Manondzo dit :

    Ces soit disant « étudiants  » ne sont en réalité que des voyous …
    Après l’USTM , ils s’attaquent maintenant à leur bâtiments … La prison sera trop douce pour vous .. Bandits !!!

  4. Le citoyen Libre dit :

    Si les étudiants qui revendiquent des meilleurs conditions d’étude sont des voyous alors ce qui confirme bien qu’ALI peut tout être sauf le président du Gabon.
    Ali prend le Gabon comme son royaume.
    https://www.youtube.com/watch?v=P6iT_BejajQ

  5. Manondzo, laisse tombé, si tu ne sais pas ce qui est entrin de se passer dans ton pays, cherche a t’informer avant de venir raconter n’importe quoi. Accrobessi se fait le luxe d’aller loger sa famille aux etats-unis dans l’une de ville les plus chère du monde dont la valeur d’un appartement est estimé a partir de 3 milliards de nos francs. Accrobessi gagne combien par mois pour qu’il puisse se taper ce luxe? Alors quand le gabonais revendiquent leurs droits, brûlent ceci et cela, on les traîtent de voyous, qui êtes-vous pour les jugés? Soutenir un clan de faussaires et de malfrats au pouvoir, c’est vraiment désagreable, très désagréable. Arretez d’injurer les étudiants, vous ne savez pas ce qui se passe labas. Cherchez a savoir.

  6. jean-jacques dit :

    Arrêtez de vous faire manipuler !!! Pourquoi s’en prendre aux biens publics qui vous permettent de suivre vos cours? Pensez vous que le seul moyen de se faire comprendre est la force? je me demande comment vous avez été élu à la tête de votre mutuelle ? vos camardes n’auraient pas du vous apporter leur voix, ca a été une grande erreur. Vous incendiez les biens publics, les véhicules des particuliers . Vous méritez les sanctions qui s’imposent en fonctions de vos actes… Rien qu’à voir le visage de votre président on voit en lui un chef de bandits , à peine un mois il a montré ses couleurs ..

    • LaNa dit :

      franchement, il y a des moyens plus sérieux pour montrer son mécontentement…
      OK vous êtes en grêve, et en fait tout le monde l’est…mais franchement, si tout le monde devait tout bruler êtes vous sûr que nos familles et nous même en premier serions en sécurité?

      Ce que vous sacagez n’est pas au gouvernement ou au pouvoir en place, c’est notre patrimoine, celui de nos enfants et pour les générations futures.

      Déjà le gabonais est en lui même quelqu’un qui se plaît dans la servitude et le désordre des manipulateurs et pire la PARESSE…dites moi quand reconstruirons nous???

      Vous voulez des diplômes?des cours?des enseignements? des edifices?vous voulez vous faire entendre? mais soyons sérieux…on est au 21ème siecle…
      on ne sacage plus pour pouvoir se faire entendre…

      Vous vous comportez comme des enfants capricieux qui dès que papa ou maman ne répondent pas alors xa casse tout…quand on est adulte on s’asseoit et on trouve des terrains d’enttentes.

      Allez vous asseoire chez le ministre, faite des pétitions,… mais arretez de jouer les voyous sans cervelle.

      xa fait pitié.

  7. Hope dit :

    le pays dans un chaos qui ne dit pas son nom, si nous ne faisons rien, nous allons droit au mur!!
    pourquoi le PR laisse t-il Bille Bi Nze s’exprime à sa place, c’est vrai que le Porte parole a sa place dans cette institution qu’est la Présidence de la République, il est impératif, qu’il s’exprime au sujet de toute l’actualité!

    • nnomdzi dit :

      Ce qu’on attend de lui ,c’est qu’il démissionne vite ,il n’a rien d’autre à dire. Vous savez ,dans nos têtes ce monsieur n’est pas notre PR,il faut bien le comprendre, il peut bien entendu continuer à se pavaner dans le monde entier,c’est son problème,mais nous(majorité des gabonais )avons déjà tourné cette éphémère et obscure page de notre histoire.on se prépare pour la dernière estocade…

  8. Le premier de sa generation dit :

    Ceux-ci ne font plus partie des actes de revendications, mais une affaire politique instrumentalisée par cetains opposants. Nous disons que detruire un acquis est loin d’etre la solution « AUX REVENDICATIONS ».

  9. le citoyen dit :

    le grand echec d Ali est de ne pas avoir mis en place un état de droit , une justice équitable et donc respectable et réspecté. Il n a pas su , ou voulut donner au pouvoir judiciaire, l autorité « moral « qui sied à tout pouvoir ! Aujourd hui l étudiant, légitimement, lui renvoi le retour de ses propres forfaitures, ou du moins celles rendues sous son mandat .

  10. Rtg1 dit :

    cassez tout, mais ne briser rien… 😉

    Le fait d’etre etudiant ne donne pas tous les DROITS…

    Ce sont des biens communs que vous vandalisez. 😉

  11. Bouka Rabenkogo dit :

    Chassons Ali le biafrais et sa légion de mafieux apatrides. Un point, un trait. Il n’y a plus de 2016. Le vide constitutionnel est constaté depuis mercredi 29 octobre 2014 date de la publication en France du livre « Les nouvelles affaires africaines », du journaliste d’investigation français Pierre Péan. Les institutions chargées de faire appliquer l’Article 13 de la constitution en sont incapables et complices du biafrais et sa légion de mafieux apatrides. Allez jusqu’en 2016 revient à dire qu’Ali Bongo l’anticonstitutionnel a été légalement élu en 2009 et que les dispositions de l’Article 10 ne s’appliquent pas au faussaire Ali Bongo.
    Nous considérons comme complice de haute trahison toute personnalité politique qui envisage encore l’élection de 2016. Le Gabon ne peux plus souffrir d’être un pays «hors la lois» et présenter à l’international l’image d’un peuple complice d’un parjure. Les différents meeting organisée ça et là n’ont qu’une valeur égocentrique. Ils ne conduisent pas à l’essentiel: faire partir Ali ou le chasser du pouvoir.
    Mesdames et messieurs les leader politiques, la comédie à assez durer. Si Ali le biafrais et sa légion de mafieux apatrides ne sont pas chassés avant la Noel, c’est à dire le 24 décembre 2014, alors le Mouvement «Les Patriotes» retirera toutes les réserves qu’il accorde aux actions du Front uni de l’opposition et a tout autre mouvement politique de l’opposition.
    «C’est fini, les combines politico-politiciennes».
    Le meeting du 20 décembre doit être celui du départ sans conditions d’Ali le biafrais et de sa légion de mafieux apatrides.
    A bon entendeur…

    Chassons Ali le biafrais le voleur et sa légion de mafieux apatrides. Prière de visionner la vidéo cijoint: https://www.youtube.com/watch?v=ON5oS6yafOI

  12. CANTON LEYOU dit :

    Les revendications des étudiants sont légitimes et doivent être pris en compte avec responsabilité d’une part, « les habitudes de jeunesse se matérialisent à la vieillesse »; d’autre part, il convient de rappeler aux étudiants que tous les actes qu’ils posent auront un effet rétroactif dans l’avenir et leur maturité devrait se déterminer maintenant. Le peuple burkinabé n’a pas bruler ou casser pour chasser COMPAORE du pouvoir.
    J’ai souvent penser qu’il n’y a pas meilleur moyen de sanction que s’abstenir face aux joutes électorales ou autres manifestations à caractère politique. Imaginez vous un scénario du genre: pendant une élection il n’y a que les membres du bureau de vote? ou, après le dépouillement tous les bulletins sont nuls? lors des cérémonies politiques, il n’y a que deux têtes trois pelés? l’absence, le silence, l’indifférence et le mutisme sont des armes de destruction massive, cordialement.

  13. Bassomba dit :

    C »est inadmissible! J’ai été étudiant, j’ai participé à des grèves en mon temps à l’UOB; mais JAMAIS on ne s’en prenait ni aux bâtiments (qui nous servent), ni aux automobiles. Cette nouvelle race d’étudiants est à virer de l’Université.

  14. louetsi dit :

    Réclamer une position ou situation ne pas emmené les individus a détruire l’existant quand on sait que l’État ffait les pieds et les mains en vu d’assurer les meilleurs conditions d’etudes des étudiants et élèves!
    Alors un tel acte relève vraiment d’un caractère incivique et doit être puni sans pitié par une juridiction compétente les auteurs de cet acte.

  15. Petit Yannick dit :

    Franchement. Déjà que le pays n’a pas grand chose détruire le peu quel’on a n’est pas la solution.

  16. tara dit :

    Rien ne peut justifier ce qui a été fait si vous avez besoin d’exprimer du mécontement ne vous en prenez pas aux innocents et biens qui appartiennent certes à vous mais aussi et surtout aux générations futures.

    C’est toujours là le problème on ne s’en prend jamais aux bonnes personnes vous laisser la porte ouverte à beaucoup de choses et créer un climat malsain au sein de l’université car tous les étudiants n’ont pas les parents au quartier. ça ne sert strictement à rien de bruler des biens publiques Est-ce ç’est en cela que vos revendications trouveront des solutions?

    C’est du banditisme pur et simple un vrai étudiant qui pense à son avenir ne ferait pas cela ses personnes n’ont pas leurs places à l’université votre place est en prison

  17. BABOKI dit :

    Je ne me souviens pas que des étudiants ont détruit des biens dans l’enceinte de l’université en 90. Pourtant c’est devant le bureau de poste que nous essayions les cocktails Molotov que nous balancions sur les policiers et les gendarmes. C’est quoi cette façon de revendiquer?

    • Petit Yannick dit :

      Hong-Kong les jeunes étudiants ont manifesté dans les rues, aucune salle de classe détruite.
      En Europe ça arrive que de jeunes lycéens descendent dans la rue, là aussi aucune salle brûlée. Pourquoi ne pas aller faire un sitting devant la prison pour réclamer la libération de vos camarades, engager des avocats pour suivre les dossiers en justices, organiser les manifestation de façon plus civique et « intelligente » etc.

  18. gabao.kool dit :

    Les pauvres revendiquent les meilleures conditions d’étude et vous les taxez de bandits ou de mauvais étudiants pour avoir brûlé au passage les huttes dans lesquelles ils apprennent ? Vous avez définitivement des problemes très sérieux. Au fait, qu’en pensez vous des milliards qu’ Accrombessi, liban souleiman, les conseillers, Américain, Corian, Français et je sais quelle autre nationalité encore, du Biafrais Ali Bongo ? Ben non, ces étudiants sont méprisés depuis de longues dates par le Biafrais Ali Bongo et sa bande d’expatriés étranges. On ne s’amuse pas avec la jeunesse et plus précisément, celle dite estudiantine. Accrombessi nous malmène chez nous et vous, vous trouverez utile d’indexer les jeunes qui doivent relayer le pays vers les destinations favorables ? Quelle sont les fortunes de ces expatriés qui contrôlent notre pays aujourd’hui ? La famille d’Accrombessi vit à New York City dans une opulence insolente, aucun des siens n’a de quoi faire avec le Gabon, même chose avec liban souleiman et le reste des mafiosi avec qui ils opèrent. Avez vous fait la moindre investigation pour réaliser qu’ Accrombessi, le super marabout beninois dépense les sommes pharaoniques de plus de $70 millions de notre argent pour s’achéter les maisons à sa famille aux USA, pendant que l’UOB manque de tout et abrite les bâtiments vieux de plus 40 ans qui ne repondent plus aux standards internationaux ? Bien sûr que oui, ces étudiants ont parfaitement raison de se comporter ainsi. Et le faussaire Briafrais qui a pris les commandes de notre pays en 2009 a réalisé quoi avec les 15000 milliards de F CAF qu’il a eu à gérer jusque là ? Les shows de dévergondage avec les prostituées brésilienne ? Les forums bidons avec les vendeurs d’illusions tel que Richard Attias ? Les courses de bateaux sans le moindre impact socio-economique et culturel sur la communauté ? Non arrêtez, si vous avez réussi à l’école au temps de Leon Mba et Omar Bongo Ondimba, les choses ont malheureusement changé de mal en pis, le peuple gabonais et sa jeunesse en particulier aujourd’hui ont affaire à un tyran faussaire, anti-républicain, pervers et mal intentionné, qui vit dans son univers à lui. Assez, nous jeunes, nous refusons l’abdication et la compromission de notre avenir et donc, celui de notre pays. Qu’à celà ne tienne, l’Ibo Ali Bongo et sa bande d’apatride mafieuse doivent dégager, et vous qui êtes touchés aujourd’hui par la sclérose ou d’une manière, qui présentez les symptômes de cécité au point de compatir avec l’absurdité , attendez vôtre fin tranquillement, vous avez une espérance de vie de 53 ans malgré les richesses que regorge notre pays.

  19. Trop c'est trop dit :

    Emprisonnement arbitraire vous dites ? Lorsque onze bonhommes cas de l’USTM défoncent (sodomiser) l’enfant de quelqu’un a tour de rôle, un enfant que nous ne savons pas si ces voyous lui transmis une maladie, vous appelez ça les étudiants responsables ? Ces enfants ne méritent ils pas la prison parce qu’ils sont étudiants ? Si s’était à vous, à votre frère, à votre neveu qu’on aurait fait cela diriez vous qu’ils ont raison de quoi …?

  20. larepublique dit :

    Vous etes des blagueres maintenant vous reclamer la justice PR lui meme voleur la judiction corrompu a la fin vous voir les etudiant docile prendre le bon chemin faire la marche vous revez ou quoi? le pourvoir en face ne comprenne que le langage de la violance.

  21. maboulegabon dit :

    Trop. Est trop tu es sur de ton affirmation 11 étudiants on sodomisé un autre tu es sur

  22. Leghis dit :

    Ah!on voit bien qui vous êtes, bande de serpents, vous passez votre temps ici à raconter de n’importe quoi mais au fond si l’on fouille bien vous êtes assis chez vous, vous mangez bien, buvez bien, dormez bien et bourlinguez bien dans vos maisons. Vous êtes ici et partout pendant que les autres souffres, vous vous cachez dérrière des pseudos à jouer aux bons patriotes, mais sachez que seule l’histoire nous donnera des leçons.

  23. Bil Ngana dit :

    De prime abord, on peut conclure que les actes des étudiants de l’UOB sont condamnables. A supposer que leurs revendications conduisent aux règlement de tous les problèmes, dans quelles structures viables reprent-ils les cours ? Avec les délais de mise en place des crédits, avec toutes les tractations administratives qui s’y rattachent, il est possible que l’année universitaire en cours s’achèvera sans reprise des cours. Ce n’est evidemment pas le but recherché. Mais sous un autre angle, je suis tenté de dire que la violence appele une autre violence. Cela fait depuis combien de décennies que des revendications ont lieu à l’université du Gabon ? L’histoire est têtue : le procureur qui vient de condamner ces jeunes a trempé en son temps dans de tels désordres sans peut être verser dans le degré de violence qui nous a été servi récemment. Mais on se pose la question de savoir quel est le problème auxquel nos autorités politiques se heurtent avec autant de résistance sans qu’ils puissent lui trouver une solution idoine ? Une question de financement ? Ou la simple volonté politique ? Dans tous les cas, cette situation ressemble à celle où un technicien rechigne de former des remplaçants pour assurer ses arrières. Ainsi, sans un cadre d’études approprié, sans moyens d’apprentissage adéquats, il reste aux etudiants gabonais une seule façon de paraître, qui est empruntée aux dirigeants : la violence, celle des dirigeants se résumant à leur refus de s’occuper de résoudre leurs soucis ou leur propension à traîner les pieds dans ce sens.

  24. Ils reclament les meilleurs conditions d études et brulent les nouveaux batiments construit.
    Qui peut soutenir ou accepter un geste pareil ??? Non,franchement il faut retrouver les coupables et ils partent rejoindre les autres dans les cellules.

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