Retenus dans le cadre du programme de bourses dédiées aux métiers de l’aviation civile, 116 étudiants gabonais vont quitter Libreville, le 10 juin prochain, en direction de l’Éthiopie. L’annonce a été faite ce mercredi 4 juin, par l’Agence nationale de l’Aviation civile (Anac). Ce contingent s’ajoute au premier qui se retrouve depuis le 31 octobre 2024 à Addis-Abeba, dans le cadre des formations à l’Ethiopian Airlines Aviation Academy.

Les étudiants gabonais vont se former aux métiers de l’aviation civile et renforcer les compétences locales en la matière. © D.R.

 

La deuxième cohorte des étudiants, 116 au total, devant se rendre en Éthiopie, pour parfaire leur formation dans le domaine des métiers de l’aviation civile, s’envole le 10 juin prochain pour Addis-Abeba. L’Agence nationale de l’Aviation civile (Anac), initiatrice du programme spécial «Bourses Anac», en partenariat avec l’Agence nationale des bourses et stages (ANBG) et soutenu par le ministère des Transports, de la Marine marchande et de la Logistique, l’a fait savoir, le mercredi 4 juin, invitant les concernés à se rapprocher de l’ANBG pour les modalités relatives à cette opération.

Sous l’impulsion du président de la République, alors président de la Transition, la direction générale de l’Anac, en partenariat avec l’ANBG, informait, en juillet 2024, les bacheliers et étudiants gabonais, de la disponibilité de trois cent quarante (340) bourses d’études pour les métiers de l’aviation civile, dénommées «Bourses Anac», au titre de l’année académique 2024-2025. Des bourses ayant pour objectifs de leur permettre de poursuivre leurs études supérieures dans les domaines de l’aviation.

La deuxième vague s’apprête donc à se rendre en Éthiopie pour ces formations dans plusieurs branches des métiers de l’aviation. Les allocations de bourse sont réparties ainsi qu’il suit : pilote (100 places), membre d’équipage cabine (100 places), contrôleur aérien (25 places), technicien en maintenance d’aéronefs (35 places), ingénieur aéronautique (35 places), ingénieur en maintenance aéronefs (35 places), juriste droit aérien (5 places) et médecin aérien (5 places).

Au terme de ces formations, il est question de renforcer les compétences locales tout en ouvrant des perspectives d’emplois pour les jeunes gabonais dans un domaine en pleine expansion.

 
GR
 

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