La rumeur enfle depuis plus de deux semaines concernant le décès d’un jeune homme de 20 ans à la prison centrale de Libreville, des suites d’une infection due à la sodomisation intensive. De nombreux journaux en fait échos et le 12 octobre dernier, lors d’une remise de matériel au commandement en chef de la sécurité pénitentiaire, le ministre de la Justice, Ida Assonouet Reteno, a dénoncé les pratiques déshumanisantes ayant cours dans le milieu carcéral.
C’est en fin de journée, vers 19 heures, le mardi 16 octobre, que les flammes on commencé, recommencé pourrait-on dire, à ravager le marché de Mont-Bouët.
Un ancien militaire retraité de l’armée française a trouvé la mort, le 10 octobre 2012, dans un crash d’un avion du type Piper PA-36. Il volait alors pour l’épandage des engrais sur les jeunes plants de canne à sucre de la Sucaf-Gabon à proximité de la ville de Franceville dans la province du Haut-Ogooué.
Un père de six enfants, Brice Koumba, employé à la Société nationale d’acconage et de transit (SNAT), a réussi à sauver sa progéniture de l’incendie qui a consumé sa maison dans la nuit de dimanche à lundi dernier. La catastrophe s’est produite au quartier Avéa 2 à Libreville.
L’un des escrocs ayant participé au plus grand détournement de l’histoire de la Banque des États de l’Afrique centrale selon le rapport interne de cet établissement financier, soit la coquette somme de vingt milliards de francs CFA détournés au bénéfice de 139 personnes entre 2004 et 2008, vient d’écoper d’une peine de prison à vie.
Quatre policiers ont été appréhendés dans la soirée du jeudi 4 octobre 2012 à Nzeng-Ayong, dans le 6e arrondissement de Libreville. Alors qu’ils tentaient d’opérer un vol à main armée, ils ont été dénoncés par les voisins de la maison cambriolée avant d’être interpellés par leurs collègues de la police judiciaire (PJ) qui ont fait une descente musclée sur le terrain.
Une jeune gabonaise, Prisca Edwige Moutombi, 21 ans, enceinte de trois mois, est décédée le mardi le 2 octobre 2012 à l’hôpital d’instruction des Armées de Libreville. On parle d’un avortement qui aurait mal tourné.
Sortie du domicile familial le 28 août dernier, Darlène Boussougou Moundouga, 22 ans, n’y est jamais revenur. Le pasteur Joseph Moukétou, son fils Rodolph-Franck Mouketou, ainsi que le compagnon de la dame, Rodrigue Assoumou, 27 ans, l’ont froidement assassinée avant de l’enterrer dans une maison jouxtant leur église du Christianisme céleste au PK 5, dans le 3e arrondissement de Libreville.
Le domicile du président de l’Alliance nationale des bâtisseurs (ANB), maître Séraphin Ndaot Rembogo, par ailleurs membre de l’Alliance pour le changement et la restauration (ACR), a été visité par un commando cagoulé dans la nuit du 15 au 16 septembre dernier aux environs de quatre heures du matin.
À Massika, un regroupement de village situé à une vingtaine de kilomètres de Lambaréné, un accident de la circulation a causé la mort de deux enfants d’une même famille, en plus des cinq blessés graves. Une affaire qui rappelle un autre accident survenu en 2003 et qui avait fait 19 morts.