La deuxième partie de l’affaire de crime rituel, notamment celle concernant le sénateur Gabriel Eyéghé Ekomie, qui a fait grand bruit durant les assises de la Cour criminelle spéciale à Libreville au mois de juin dernier, n’a pas toujours d’épilogue. La commission ad hoc du Sénat qui devait étudier le dossier pour ensuite affirmer ou non la levée de l’immunité parlementaire de cet homme politique du Komo-Kango n’a pas voulu se prononcer ouvertement.
Alors que les techniciens d’Entraco, présents sur place le 23 octobre, annonçaient une semaine au moins de travaux pour refaire la route à Meyang, où un glissement de terrain l’avait fracturée, il a été décidé de remblayer la tranchée en urgence et provisoirement, afin de permettre la reprise du trafic et rompre l’isolement de Libreville.
La circulation routière a été interrompue sur la route nationale n°1, plus précisément à Meyang à 5 km de Ntoum en allant vers Kango. Raison : une buse défectueuse depuis des années a été détruite par la forte pluie tombée dans la nuit du 22 au 23 octobre. Ce qui relance le problème d’une issue unique pour la capitale gabonaise.
Cinq enfants en bas âge d’une même famille ont été les victimes d’un violent incendie qui a ravagé, tôt ce mardi 23 octobre, leur demeure située à Venez-Voir, un quartier sous intégré, un bidonville en somme, du troisième arrondissement de Libreville.
Léon Obame, un activiste Gabonais aux États-Unis, a été reconnu coupable d’agression de l’ambassadeur de son pays à Washington, Michael Moussa Adamou, lors d’une manifestation en décembre 2011 devant l’ambassade. Trois ans de prison ferme pèsent sur lui.
Alors que l’on a célébré 10 octobre dernier dans le monde entier la journée internationale de la Santé mentale sous le thème «la dépression: une crise mondiale» et qu’à cette occasion, Gabonreview s’interrogeait sur ce que le Gabon fait de ses fous, l’un d’eux a brulé une voiture à Oloumi.
Le plus grand espace d’échanges commerciaux du Gabon, le marché Mont-Bouët à Libreville, a été une nouvelle fois consumé par les flammes dans la soirée du 16 octobre 2012. Un drame qui a de facto occasionné la fermeture de ce lieu, pour quarante-huit heures.
La rumeur enfle depuis plus de deux semaines concernant le décès d’un jeune homme de 20 ans à la prison centrale de Libreville, des suites d’une infection due à la sodomisation intensive. De nombreux journaux en fait échos et le 12 octobre dernier, lors d’une remise de matériel au commandement en chef de la sécurité pénitentiaire, le ministre de la Justice, Ida Assonouet Reteno, a dénoncé les pratiques déshumanisantes ayant cours dans le milieu carcéral.
C’est en fin de journée, vers 19 heures, le mardi 16 octobre, que les flammes on commencé, recommencé pourrait-on dire, à ravager le marché de Mont-Bouët.
Un ancien militaire retraité de l’armée française a trouvé la mort, le 10 octobre 2012, dans un crash d’un avion du type Piper PA-36. Il volait alors pour l’épandage des engrais sur les jeunes plants de canne à sucre de la Sucaf-Gabon à proximité de la ville de Franceville dans la province du Haut-Ogooué.