A travers une interview accordée au quotidien L’union le mercredi 16 mai 2012, le président du Parti pour le développement et la solidarité (PDS), Me Séraphin Ndaot Rembogo, membre de l’Alliance pour le changement et la restauration (ACR, opposition), se prononce sur la marche de sa formation politique, l’arrivée de François Hollande à l’Elysée et l’usage de la biométrie dans les prochaines joutes électorales au Gabon.
Interrogé par les députés gabonais au sujet de la présence des soldats gabonais en Centrafrique dans le cadre de l’opération de maintien de la Paix et de la sécurisation (Misab et Minurca), le ministre de la Défense nationale, Pacôme Rufin Ondzounga, a jugé qu’il était désormais nécessaire de rapatrier ces hommes d’armes vers leur pays.
Le Conseil politique, l’une des instances décisionnelles de la Convention des partis démocrates et républicains de l’opposition (CPDRO) gabonaise qui s’est tenu récemment a suspendu le Moréna, représenté par son président Samuel Mendou Nguema, de sa participation aux activités politiques au sein de ce groupe.
Mandatée par le Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU) afin de promouvoir la prévention de la traite des êtres humains sous toutes ses formes et encourager des mesures en vue de faire respecter et protéger les droits fondamentaux des victimes, une rapporteuse spéciale de cette institution est visite officielle au Gabon depuis le 14 mai.
Dans le cadre de sa visite de travail et d’évaluation au Gabon, Moise Nembot, directeur général adjoint du secrétariat du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP), a été reçu le 11 mai à Libreville par le Premier ministre gabonais, Raymond Ndong Sima.
Les chefs d’État membres du comité ad hoc chargé d’examiner les questions liées à l’élection des membres de la Commission de l’Union africaine (UA), sont réunis depuis ce 14 mai à Cotonou, pour faire le point des démarches entreprises depuis la mise sur pied de ce comité des huit.
Longtemps considérés avec suspicion comme des citoyens à la fidélité patriotique douteuse, les Français établis hors de France sont aujourd’hui courtisés par les responsables politiques. Il y a cinq ans, les candidats à l’élection présidentielle n’avaient pas manqué durant leur campagne de vanter dans un bel unanimisme les mérites d’expatriés érigés en «exemples de l’énergie et du dynamisme dont sait faire preuve notre pays» (Ségolène Royal), en «élément capital de sa politique économique et culturelle» (François Bayrou) ou encore en «visage d’une France qui ose, qui s’ouvre et qui innove» (Nicolas Sarkozy)
Dans l’optique de la désignation du président de la commission de l’Union Africaine au prochain sommet de cette institution qui se tiendra le 29 juin 2012 à Lilongwe, au Malawi après l’échec d’Addis-Abeba les 30 et 31 janvier dernier, le ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale et de la Francophonie, Emmanuel Issoze Ngondet, a, par le biais d’un communiqué de presse que nous publions in extenso, manifesté son regret de constater que «l’Afrique du Sud et la SADC intensifient la campagne en faveur de leur candidat, au mépris des recommandations des chefs d’État et de gouvernement, semant ainsi la confusion au sein de l’opinion africaine et internationale».
Alain Claude Bilié Bi Nzé, porte-parole de la présidence de la République gabonaise, a rencontré la presse, le 11 mai au palais du Bord de mer, en vue d’un échange sur les points saillants de l’actualité gabonaise de la dernière quinzaine.
Après la présentation, en mars dernier, du «Guide du représentant du candidat et du parti politique au bureau de vote», l’Observatoire national de la démocratie (OND) a amorcé, ce 11 mai, la deuxième étape de son action visant à corriger les insuffisances dans l’animation de la vie politique au Gabon.