Lancé en juin 2011, le numéro facile de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS), donne l’opportunité aux assurés, mais aussi à toutes les personnes qui recherchent des informations sur cette structure étatique, d’avoir des réponses fiables à leurs doléances.
Libreville abrite, depuis le 5 juin, un colloque sur la réforme du système éducatif gabonais réunissant les agents du ministère en charge de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Formation technique. Ces assises de trois jours visent à valider les avant-propos de textes d’application de la loi n°21/2011.
Les responsables de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS), qui se veut plus proche de la population, ont décidé de l’ouverture au public, le 11 juin 2012, d’une délégation provinciale de l’Estuaire en vue de décongestionner les services de sa direction technique située au quartier Montagne Sainte, dans le 3e arrondissement de Libreville.
Animée par Chamberland Moukouama, Dieu Donné Koumba et Gabin Atiga, la très controversée émission de télévision «Pluriel» n’a pas été diffusée le week-end dernier. Cet espace de satire sociale et politique a, de plus, été prise à partie par les tabloïds satiriques locaux. Entre intrigues politiques et conflit de personnalités à la RTG1, Chamberland Moukouama, figure de proue du trio-vedette, s’explique. L’impertinence au singulier.
Après les réunions de concertation initiées les 25 et 29 mai derniers avec les groupes d’étudiants et syndicats des enseignants de l’Université Omar Bongo (UOB), le Premier ministre, Raymond Ndong Sima, a lancé le 4 juin à Libreville des négociations avec les différentes parties. A l’issue de cette initiative louable, le pays est bien loin du retour à la sérénité escomptée, et plus que jamais, on touche, presque, du doigt l’année blanche tant redoutée.
Dans la soirée de lundi 4 juin 2012 et jusque tard dans la nuit, les Librevillois ont assisté à une pluie diluvienne qui a déclenché des inondations dans plusieurs quartiers de la ville. Cela est venu mettre en exergue le problème récurrent des constructions anarchiques, de la viabilisation des parcelles et des bassins versant, ainsi que le rôle de la mairie dans les opérations de salubrité.
Une pluie d’une rare violence s’est abattue sur Libreville dans la nuit de lundi 4 à mardi 5 juin 2012, entraînant des inondations depuis les quartiers mal loties jusqu’à certaines zones résidentielles.
Dans le cadre de son engagement en faveur des personnes fragilisées, la Première dame du Gabon, Sylvia Bongo, a offert, le 3 juin à Libreville, 325 fauteuils électriques, manuels, et des scooters aux personnes vivant avec un handicap moteur.
Les délinquants juvéniles et les personnes subissant les erreurs judiciaires sont, depuis deux ans, la préoccupation d’une organisation non gouvernementale, «La Voix des Oubliés». Celle-ci a récemment séjourné dans le Sud du Gabon où elle a sensibilisé le milieu scolaire et visité les centres carcéraux.
Afin de passer de la promesse à l’acte dans le cadre de la construction de logements sociaux et suite au mouvement d’humeur du président Ali Bongo Ondimba le 22 mai lors de son deuxième Conseil de cabinet consacré au secteur de l’habitat, le Premier Raymond Ndong Sima et le responsable de l’entreprise Mika service, Alain Claude Kouakoua ont signé le 1 juin 2012, en présence du responsable de l’Agence nationale des grands travaux, (ANGT), Henri Ohayon, le contrat de viabilisation de terrains devant accueillir les premiers logements.