Mays Mouissi, le ministre de l’Économie et des Participations, est attendu mercredi prochain à Apia, capitale des îles Samoa, pour la cérémonie de signature de l’Accord post-Cotonou instituant le nouveau cadre juridique de la coopération entre les pays de l’Union européenne et ceux de l’Organisation des États d’Afrique, Caraïbes et Pacifique.

Le ministre de l’Économie et des Participations est attendu à Samoa pour la signature de l’Accord post-Cotonou. © Gabonreview (montage)

 

Comme annoncé, le 22 septembre dernier, par Josep Borrell, Représentant de l’Union européenne (UE) pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, lors d’une réunion à New York (États-Unis), la signature de l’Accord post-Cotonou aura lieu à Samoa le 15 novembre prochain. Ayant reçu, hier, l’aval du Conseil des ministres, le ministre de l’Économie et des Participations, Mays Mouissi Kinga, y prendra part pour le compte du Gabon, en tant que membre de l’Organisation des États ACP.

Encore appelé «Accord de Samoa», le document qu’entend signer le Gabon est un nouvel accord entre  les pays de l’UE et les 79 pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Celui-ci est censé devenir le nouveau cadre juridique dans lequel s’inscrivent désormais les relations OEACP-UE.

Ce nouveau cadre de coopération auquel le Gabon est partie prenante, précise les autorités gabonaises, s’articule autour de six domaines prioritaires et stratégiques définissant les principes et les valeurs autour desquels les deux espaces entendent travailler. Il s’agit de la démocratie et des droits de l’homme, de la croissance et du développement économiques durables, du changement climatique, du développement humain et social, de la paix et la sécurité, et des migrations et de la mobilité.

 

 
GR
 

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