Prévue du 20 au 23 mars 2013, la deuxième édition du Salon international du livre et des arts de Libreville (Silal) a été officiellement annoncé le 22 novembre dans la capitale gabonaise sous le thème «L’Afrique au carrefour du livre et des arts».

Sylvie Ntsame, présidente du comité directeur du Silal - © D.R.

Initiative des éditions Ntsame, les rendez-vous de Libreville sont une manifestation des expressions artistiques de tous genres et aimeraient faire de la capitale gabonaise, une véritable destination artistique africaine. Pour le comité directeur de cet évènement, l’organisation de cette nouvelle édition est consécutive à la réussite enregistrée lors du premier salon en 2011.

Les organisateurs entendent surfer sur le succès de la précédente édition avec, pour unique but, de vulgariser la culture du livre et celle des autres arts africains à partir du Gabon. Ce salon doit rassembler les principaux acteurs de la culture gabonaise et d’ailleurs, notamment des écrivains, des peintres et sculpteurs, des stylistes, des éditeurs, des artistes, ainsi que des opérateurs économiques.

«Cette rencontre est la manifestation des expressions artistiques en tous genres. Une diversité qui met en valeur la force et le savoir-faire africain. Au-delà de cet aspect festif, il est évident que le Silal est aussi un facteur de production des richesses à la fois culturelles et économiques. Le thème retenu pour cette édition ne pouvait que mieux refléter notre ambition pour une Afrique carrefour des livres et des arts, pour libérer des énergies créatrices, parce que nous avons besoin d’inventer maintenant l’Afrique de demain», a déclaré Sylvie Ntsame, présidente du comité directeur du Silal.

Selon le programme officiel, cette manifestation prévoit notamment des conférences-débats, des échanges entre le public et les artistes, de l’animation, une remise d’attestation de participants aux exposants, mais également, à titre d’innovation, l’introduction d’une tombola.

S’il est vrai que l’art africain est assez développé et vulgarisé, le livre quant à lui n’a pas encore véritablement captivé les esprits des lecteurs, notamment au Gabon, où le prix des œuvres gabonaises reste assez élevé, freinant ainsi l’éclosion du livre. Une problématique qui mérite d’être abordée lors de ces échanges.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Angèle gabao dit :

    pout ma part c’est un secteur qu’on devrais encor plus promotionné

  2. sonia ntame dit :

    Bonjour… j’aime la litterature en particulier la litterature gabonaise car elle met en exergue nos cultures, nos traditions et surtout devoile des faits reels .En d’autre terme, elle est venue apporer la lumiere ou l’ignorance a a obscucit

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