Affaire Esther Ludivine : violée, tuée à 10 ans, l’horreur absolue au PK 12

Viol, violences, meurtre. La petite Esther, à peine âgée de 10 ans, a été arrachée à la vie dans des circonstances atroces qui soulèvent l’indignation et ravivent les débats sur la protection de l’enfant dans la société gabonaise.

Une photo de la petite Esther encore pleine de vie © DR
Le mardi 5 aout 2025, une découverte macabre s’est faite à Libreville. En effet, dans un sac était dissimulé le corps sans vie de la petite Esther Ludivine Moussavou Eyang Mba, qui était portée disparue et également recherchée via un avis largement diffusé sur les réseaux sociaux par ses parents. En effet, ces derniers se sont mobilisés activement et l’ont retrouvée dans une zone boisée du quartier Bizango au quartier PK12, mais la petite était sans vie et son corps, quant à lui, était dissimulé dans un sac.
Des sources rapportent que la victime aurait été prise de force avant d’être placée dans ce sac, bien que les autorités judiciaires n’aient pas encore à ce stade confirmé les détails sur les causes de ce décès. On rapporte également que la jeune fille était en classe de CM2 et qu’elle venait d’emménager avec sa famille dans les environs. Elle a été enlevée mardi 5 août 2025 en pleine journée, vers 10 heures, puis retrouvée plusieurs heures plus tard dans une broussaille, à proximité des rails.
Ouverture d’une enquête pour mettre la main sur les auteurs de ce crime
Vu la gravité des faits, une enquête a été ouverte pour homicide et violences sexuelles sur mineure par le parquet de Libreville, afin d’élucider les mystères autour de ce crime. Les services de police judiciaire se sont par ailleurs déployés sur les lieux pour procéder aux premiers relevés et recueillir des indices susceptibles de mener à l’identification des auteurs. Les investigations se poursuivent pour déterminer le déroulement exact des événements ainsi que les circonstances ayant conduit à ce crime d’une rare cruauté.
Ce drame au cœur des conversations secoue la capitale librevilloise et remet en lumière l’impérieuse nécessité d’assurer la sécurité et la protection des enfants. À l’heure où sont écrites ces lignes, la famille de la victime est plongée dans la douleur en attendant que justice soit faite et que les coupables de ce crime odieux paient et soient vivement neutralisés.
Auteure : Thécia Nyomba

1 Commentaire
Bjr. Seigneur donne nous la punition ou la sentence capable de nous satisfaire afin que soit traqué et jeté à l’impuissance ces « c*… qui ont lâchement tué cette petite. Pardonne moi DIEU mais là là ma douleur est trop forte. Amen.