Affirmant prévenir l’opinion contre les risques de déstabilisation du pays, une vidéo dont le commanditaire et l’auteur restent inconnus, accuse l’opposition et la société civile d’avoir conçu un plan en 5 étapes pour renverser le pouvoir établi. Jean Ping, Marc Ona Essangui et Marcel Libama sont nommément mis en cause.

Arrêt sur image : un moment de la vidéo «Faire chuter le pouvoir au Gabon». © Capture d’écran/Youtube
Arrêt sur image : un moment de la vidéo «Faire chuter le pouvoir au Gabon». © Capture d’écran/Youtube

 

Depuis le déclenchement de l’«affaire Péan», l’atmosphère tend à se dégrader au fil des jours. Les différents acteurs politiques et familiaux de ce curieux vaudeville pièce n’ont pas arrêté de s’accuser mutuellement, de mentir ou de travestir la vérité. Le nombre de plaintes annoncées ou déposées depuis lors n’a d’ailleurs fait qu’ajouter au côté surréaliste de cette affaire sur laquelle le principal concerné ne s’est toujours pas exprimé. Surréaliste ? En effet, alors que les 2 camps sont désormais entrés dans une guerre médiatique, une vidéo diffusée le 12 novembre dernier est venu en rajouter au climat déjà tendu entre le pouvoir et l’opposition. Accusant nommément plusieurs personnalités de l’opposition et de la société civile de vouloir «déstabiliser» le pays, la vidéo dont l’auteur et le commanditaire restent inconnus, présente Jean Ping comme un «pompier pyromane». Selon le narrateur, l’ancien président de la Commission de l’UA, qui fait de plus en plus figure de probable challenger d’Ali Bongo en 2016, ferait partie des commanditaires du livre de Pierre Péan, «Nouvelles affaires africaines – Mensonges et pillages au Gabon».

Ainsi, «ne disposant pas de suffisamment d’arguments pour attaquer le président Bongo Ondimba sur son bilan, l’opposition (aurait convaincu) Pierre Péan de lui prêter sa plume dans un livre à charge contre Ali Bongo Ondimba», croit savoir la voix off du documentaire qui ajoute : «M. Péan, estimant ne pas avoir été bien rétribué de son livre sur les biens mal acquis, accepte immédiatement l’offre». Dès lors, prétend-il, une stratégie malsaine visant à dégager Ali Bongo du pouvoir par la force est mise en branle. Celle-ci se décline en 5 étapes : «Produire une raison crédible de manifester», «Manifester et créer le chaos», «Profiter de la confusion et de la proximité des forces de l’ordre pour créer des incidents que l’on imputera aux mêmes forces de l’ordre», «Accuser la police de ces incidents diffusés sur les réseaux sociaux et à travers la presse internationale»  et «Créer le chaos et renverser le pouvoir». Si cette vidéo suscite des interrogations sur ses véritables desseins, pour de nombreux partisans de l’opposition, elle est sans conteste une initiative des cercles du pouvoir. Pour eux, le fait que la vidéo ait été diffusée sur les réseaux sociaux la veille du dépôt de la plainte contre Ali Bongo pour «inscription de faux en écriture publique» vient conforter la thèse selon laquelle elle a été faite dans le but noircir l’action des membres de l’opposition. «Jusqu’où ira cette affaire ?», s’interroge-t-on déjà par crainte d’une nouvelle escalade.

Pourtant, si le narrateur, qui prétend que Jean Ping bénéficie du soutien de Marc Ona Essangui et Marcel Libama, assure que ce «message» est diffusé dans le but de «prévenir les Gabonaises et Gabonais du risque de manipulation qu’ils courent tous», tout porte à croire qu’il s’agit, ni plus ni moins, d’une autre forme de «manipulation», savamment orchestrée. «Que ceux qui veulent prendre le pouvoir par la force commencent d’abord par envoyer leurs propres enfants manifester avant d’envoyer les enfants des autres dans la rue», conclut la voix off da la vidéo. Tout ça sent le «complot», est-on tenté de dire.

La vidéo intégrale est visible ICI.

 
GR
 

29 Commentaires

  1. Minko dit :

    Il paraît que ce sont les Blancs qui veulent déstabiliser le Gabon…. N’est ce pas un Blanc qui commente cette vidéo ?
    Du grand n’importe ….!!!!
    Le Bilan d’Ali ? Plus de 20 mil milliards en 5 ans pour 30 maisons …???!!!
    Acte de naissance + ADN ou Démission ….

  2. jean-jacques dit :

    Je salue avec force l’initiative de cette video,ces opposants sont des bandits,des voyous. Prochainement on va vous montrer l’acte de naissance du President et on va vous fermer la bouche. Nous on fait des vrais videos et non ce que TV+ montre et qui n’a aucun sens.

    • tate mboum dit :

      Tais-toi un peu toi, tu donnes du vomis. Le temps que vous alliez en fabriquer un autre cette fois-ci faux vrai acte, conneries. A Nantes, il n y a rien comme au Congo.

    • Jon dit :

      C’est parce que t’as rien d’autre à faire que tu salues avec toute la bétise cette vidéo. Et tous ceux qui se laisseront prendre par cette vidéo sont comme toi. La scène sur la manipulation des forces de l’ordre, c’est un hummer comme ceux de l’armée américaine. Vos forces de l’ordre en n’ont de ce genre ici? Rien que ça ça prouve bien le montage à deux balles

    • gabonais dit :

      L usurpation est décidément votre cheval de bataille. Chapeau au PDG pour cette fabrication misérable, une machination honteuse. Le peuple gabonais veut des preuves pas des accusations. Une piste pour toi Jean Jacques le peuple veut un acte de naissance ou un test ADN. Voilà!!!!!!!!!!

  3. Pala dit :

    Wa paniquer zé, wa tremble ze? C’est l’arroseur arrosé. Cela montre que la peur a changé de camp ! Quand on marche sur la constitution d’un pays, il faut s’attendre à être renversé. Un gabonais peut être président au Biafra ? Montrez l’acte de naissance et non des videos anonymes !!!

  4. Le citoyen libre dit :

    L’auteur de cette vidéo est Vivien PEA.

  5. témoin occulaire dit :

    ACTE DE NAISSANCE ET ADN OU DEMISSION

  6. vil dit :

    Tout simplement terrible, on a perdu combien d’argent pour monter ce truc?

  7. Bienvenu au bongoland dit :

    cela prouve tout simplement qu’ils sont aux aboie, les « réseaux socio grondent », comme a dit le betisier national pedemergent vivi. n’ouliez pas que tous les regimes autocratiques comme le votre qui sont tomee depuis 2011 dans le monde,grace aux reseaux socio que vous pensez pouvoir affailir, procedaient de la meme facon que vous: -1timidation,- menace de mort,- exclusion, -muselement de l1fo-traquage des 1ternautes sur la toile qui pense differement-maltraitance des opposant radicaux-accaparement des media pulique-censure-militarisation outranciere du pays-torture-violation des droits de l’Homme-réalisation de documentaire mensongers visant a des1former la population…Malgre toutes ces méthodes du passee, Moubarack Hosni, le pharaon égyptien, qui avait une armée + perfectionnée et mieux outillée que la gabonaise, des services secrets et d’espionnage 1000 fois plus efficaces que les gabonaises, se présente ojord8 a son procès dans le pays qu’il gouvernait depuis plus de 30 ans. En tunisie idem. En Ukraine,idem….donc ces methodes sont tout a fait « normal » pour un regime aux aboie, mais dommage chers pedemergent,cela ne suffit pas pour eterniser un regime autocratique, car la population devient de plus en plus exigeante, et c’est normale, elle patiente deja misérablement depuis 47 ans de règne des bongo-pdg

  8. 241 Vert jaune Bleu dit :

    Révolutionnaire et fier!!!

  9. Yupanqui dit :

    Ce sont aussi les blancs qui ont déstabilisé le Burkina Faso? Du vrai n’importe quoi. Ça pue vraiment la fin chez les Bongo. Quelqu’un qui est né faussaire au Biafra refuse de nous présenter l’original de son acte de naissance (quand on sait le zèle que ces gens là font au Cedoc entre autres !) et on accuse les blancs. Ce n’est pas un blanc mais bien un compatriote du nom de Luc Bengone Nsi qui avait déposé plainte à ce sujet en 2009. Il n’était manipulé par personne. Il se trouve juste que comme de nombreux gabonais, il connaît l’Histoire de ce pays et des petits biafrais dont Ali faisait partie. Cessons d’aller chercher trop loin à chaque fois. Nous on demande ton acte de naissance original et les résultats de ton test ADN avec ta « mère  » Nkama Dabany Joséphine avec qui tu as une différence d’âge de 12 ans. Faut pas nous divertir. Nous ne te lâcherons jamais à Tant que cette affaire ne sera pas tiré au clair , les marabouts du palais , le vaudou et autres n’y pourront rien. Nous reviendrons toujours à la charge car votre famille prend trop les gabonais pour ce qu’ils ne sont plus. En 2009, Assélé nous disait que sa sœur n’a jamais fait d’enfant , aujourd’hui il se mêle les pinceaux dans histoire abracadabrantesque montée de toute pièce. Les versions et les dates changent à chaque fois. C’est trop.

  10. eternite dit :

    Je pense que le seuil de l’incompétence a été atteint… je ne sais qui a monté cette vidéo….mais elle a un effet contraire à son but initial, je m’explique :

    septembre 2009, l’armée installe ABO au pouvoir malgré le rejet global de l’électorat gabonais et du peuple souverain, avec les morts que nous connaissons à Port-Gentil.

    Novembre 2014, une video nous dit que le peuple qui descendra dans la rue pour crier sa colère d’un régime qu’il honnit depuis 5ans, serait le véritable danger du Gabon et pour le Gabon…. mais monsieur le concepteur de cette video, comment prendre en compte l’aspiration au changement d’une nation, si son peuple ne s’exprime pas dans l’espace publique? Oui l’histoire au Gabon est en marche et vous demander juste au peuple, de se taire avec cette vidéo… vous êtes affligeant.

    Pour les personnes incriminées par cette vidéo, il serait judicieux de porter plainte contre son auteur pour diffamation, incitation à la haine !!!

  11. LE PEUPLE GABONAIS dit :

    VOUS ETES DES MENTEURS. Il y’a t-il une guerre civile au Burkina en ce moment? Dites seulement au peuple Gabonais que nous avons peur de perdre nos postes si vous renverser le pouvoir en place. LE PEUPLE GABONAIS vous demande de DEGAGER. Bande de voleur.

  12. des origine dit :

    une faute avoué est à moitie pardonné, vous êtes sur que tous qui a dans ce livre est que mensonge? et si c’est le cas, j’ose croire que est la plus sainte du Gabon. Choses impossible.

  13. des origine dit :

    une faute avoué est à moitie pardonné, vous êtes sur que tous qui a dans ce livre est que mensonge? et si c’est le cas, j’ose croire que cette famille est la plus sainte du Gabon. Choses impossible. avoué certain fais et vous serrez a moitie pardonné et on passera à autres choses .

  14. Bouka Rabenkogo dit :

    Lettre ouverte au Pouvoir Judiciaire

    Sommes-nous dans un pays de non droit? Où une partie du peuple peut s’arroger la souveraineté du Peuple (TITRE PREMIER : DE LA RÉPUBLIQUE ET DE LA SOUVERAINETÉ
    Article 3)?
    Dans un précédent article je faisais observer la vacance de pouvoir, par la simple observation de l’absence « d’état civil » du supposé dénommé Ali Bongo Ondimba. Je rappelais au pouvoir Judiciaire, je site: « Monsieur Pierre Péan, quelque soit la nature de ses intentions, révèle des informations graves sur la personne garante aujourd’hui des institutions de la République et qui occupe la noble fonction de Président Chef de l’Etat Gabonais.
    Ces informations graves, qui terni l’image de notre pays et souille la fonction de Président de la République, nécessitent une clarification totale du concerné sur sa véritable identité. Mais rappel aussi, la duplicité entretenu par toute l’élite gabonaise à l’asservissement volontaire de notre propre pays. Cette attitude complaisant a eu pour corollaire, de reléguer l’avenir de la Nation et du peule Gabonais à de médiocres intérêts individuels pour et à l’avantage du plaisir du colon. Surtout après les indépendances tchatcha de 1960.
    Le peuple souverain gabonais ne peut plus souffrir de voir à la tête de son pays un inconnu à l’identité douteuse accepté par toute la classe politique achetée en 2009. J’ai eu en ma qualité de commissaire CENAP à ladite élection, la possibilité d’observer la duperie de toute la classe politique sans exception pour de l’argent, au détriment du peuple gabonais.
    Nous demandons à monsieur Ali Bongo Omdimba, suite à tout ce qui précède, de suspendre son activité en tant que Président de la République Chef de l’Etat, jusqu’à ce que le doute soit totalement levé sur son identité (présentation de l’acte de naissance AEF).
    Que les institutions de la République, garantes de la Loi, des textes constitutionnels et réglementaires informées, assument leur responsabilité dans le cadre de la vacance de pouvoir ainsi constatée.
    Le peuple gabonais tout entier appel Ali Bongo Ondimba au sens de l’honneur et aux respects de nos valeurs Bantou. »
    Il est important de rappeler au Pouvoir Judiciaire, les principales dispositions de la Constitution par lui concerné:

    TITRE PRÉLIMINAIRE : DES PRINCIPES ET DES DROITS
    FONDAMENTAUX
    Article premier
    21°) Chaque citoyen a le devoir de défendre la patrie et l’obligation de protéger et de respecter la Constitution, les lois et les règlements de la République;

    22°) La défense de la nation et la sauvegarde de l’ordre public sont assurées essentiellement par les forces de défense et de sécurité nationales. En conséquence, aucune personne, aucun groupement de personnes ne peuvent se constituer en milice privée ou groupement paramilitaire, les forces de défense et de sécurité nationales sont au service de l’État.

    TITRE PREMIER : DE LA RÉPUBLIQUE ET DE LA SOUVERAINETÉ
    Article 3
    La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce directement, par le référendum ou par l’élection, selon le principe de la démocratie pluraliste, et indirectement par les institutions constitutionnelles. Aucune section du peuple, aucun groupe, aucun individu ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale.

    Article 5
    La République gabonaise est organisée selon les principes de la souveraineté nationale, de la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire et celui de l’État de droit.

    Article 7
    Tout acte portant atteinte à la forme républicaine, à l’unité, à la laïcité de l’État, à la souveraineté et à l’indépendance, constitue un crime de haute trahison puni par la loi.

    TITRE II : DU POUVOIR EXÉCUTIF
    1 – DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
    Article 8
    Le Président de la République est le Chef de l’État; il veille au respect de la Constitution; il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect des accords et des traités.

    Article 10 (Révisé par la Loi n° 13/2003 du 19 août 2003)2
    Si, avant le scrutin, un des candidats décède ou se trouve empêché, la Cour Constitutionnelle prononce le report de l’élection.
    La Cour Constitutionnelle peut proroger les délais prévus, conformément à l’article 11 ci-après, sans que le scrutin puisse avoir lieu plus de trente cinq jours après la date de la décision de la Cour Constitutionnelle. Si l’application des dispositions du présent alinéa a pour effet de reporter l’élection à une date postérieure à l’expiration du mandat du président en exercice, celui-ci demeure en fonction jusqu’à l’élection de son successeur.
    Sont éligibles à la présidence de la République, tous les Gabonais des deux sexes jouissant de leurs droits civils et politiques, âgés de quarante (40) ans au moins.
    Toute personne ayant acquis la nationalité gabonaise ne peut se présenter comme candidat à la présidence de la République. Seule sa descendance ayant demeuré sans discontinuité au Gabon le peut, à partir de la quatrième génération.
    Les modalités d’application du présent article sont fixées par une loi organique.

    Article 12
    Lors de son entrée en fonction, le Président de la République prête solennellement le serment ci-dessous, en présence du Parlement, de la Cour Constitutionnelle, la main gauche posée sur la Constitution, la main droite levée devant le drapeau national:
    « Je jure de consacrer toutes mes forces au bien du peuple gabonais, en vue d’assurer son bien-être et de le préserver de tout dommage, de respecter et de défendre la Constitution et l’État de droit, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge et d’être juste envers tous ».

    Article 13
    En cas de vacance de la présidence de la République pour quelque cause que ce soit, ou d’empêchement définitif de son titulaire constaté par la Cour Constitutionnelle saisie par le Gouvernement et statuant à la majorité absolue de ses membres, ou à défaut, par les bureaux des deux chambres du Parlement statuant ensemble à la majorité de leurs membres, les fonctions du Président de la République, à l’exception de celles prévues aux articles 18, 19 et 116, alinéa 1er, sont provisoirement exercées par le Président du Sénat ou, en cas d’empêchement de celui-ci dûment constaté par la Cour Constitutionnelle saisie dans les mêmes conditions que ci-dessus, par le Premier Vice-président du Sénat.
    L’autorité qui assure l’intérim du Président de la République, dans les conditions du présent article, ne peut se porter candidat à l’élection présidentielle.
    En cas de vacance ou lorsque l’empêchement est déclaré définitif par la Cour Constitutionnelle, le scrutin pour l’élection du nouveau président a lieu, sauf cas de force majeure constatée par la Cour Constitutionnelle, trente jours au moins et quarante cinq jours au plus après l’ouverture de la vacance ou de la déclaration du caractère définitif de l’empêchement.

    Article 14a
    Le Président de la République est assisté d’un Vice-président de la République. Le Vice-président de la République est nommé par le Président de la République qui met fin à ses fonctions, après consultation des Présidents des deux chambres du Parlement. Le Vice-président de la République est choisi au sein du Parlement ou en dehors de celui-ci.

    TITRE V : DU POUVOIR JUDICIAIRE
    I – DE L’AUTORITÉ JUDICIAIRE
    Article 67
    La justice est rendue au nom du peuple gabonais par la Cour Constitutionnelle, la Cour de Cassation, le Conseil d’Etat, la Cour des Comptes, les Cours d’Appel, les Tribunaux, la Haute Cour de justice et les autres juridictions d’exception.

    Article 68
    La justice est une autorité indépendante du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif. Les juges ne sont soumis, dans l’exercice de leurs fonctions, qu’à l’autorité de la loi.

    Article 69
    Le Président de la République est le garant de l’indépendance du pouvoir judiciaire, dans le respect des dispositions de la présente Constitution, notamment en son article 36. Il est assisté du Conseil supérieur de la magistrature et des présidents de la Cour de cassation, du Conseil d’Etat et de la Cour des comptes.

    Les dispositions de l’Article 14a, cinq (5) ans plus tard, pas n’ont pas jusqu’à ce jour été appliqués. Le Pouvoir judiciaire serait il complice de parjure à notre Pays?

    « Le Patriote »
    Michel Bouka Rabenkogo
    Membre de la Conférence Nationale de 1990;
    Membre de la commission des institutions;
    Membre créateur d’EKAMA;
    Membre de la FESYPAG;
    Ancien membre du Comité central PDG;
    Ancien candidat à l’élection Présidentielle 2005;
    Commissaire CENAP Election présidentielle 2009.

    En réaction : https://www.gabonreview.com/blog/affaire-pean-manipulation-surenchere-guerre-mediatique/

  15. manondzo dit :

    Souffrez d’attendre 2016, car avant çà il n’y aura rien, parions!

  16. keller dit :

    Je ne penses pas que quelqu’un qui pretend connaitre quelque chose le fassa dans l’anonyma dequoi a-t-il peur puisse que dit-il enonce la verite. P PEAN s’enonce en public il site des noms des personnes. Pourquoi l’auteur de telles analyses graves se cache t-il ou est donc le serieux et l’amour pour le people Gabonais qu’il pretend sauver je ne sais de quoi?

    C’est une fausse video et n’avions pas besoin de ca.

  17. Vert-jaune-bleu dit :

    VOUS DITES DÉSTABILISATION DU GABON?

    Ceux qui parlent de plan pour déstabiliser le Gabon montrent par là qu’ils ne vivent pas au Gabon et qu’ils ne sont pas gabonais. On ne déstabilise ppas un pays déjà instable. Lorsque les institutions sensées diriger le pays entretiennent une relation incestueuse avec le régime au pouvoir, le pays n’est pas stable; lorsque la majorité de la population vit dans la misère, le pays n’est pas stable, lorsque les hommes politiques nourrissent des crimes rituels le pays n’est pas stable, lorsque l’argent des gabonais se retrouve au Bénin et dispersé à travers le monde le pays est très loin d’être stable vous voulez que j vous cite encore des exemples; que ceux qui ne connaissent pas le Gabon se taisent. La stabilité d’un État ne se limite pas à l’absence de guerre mais elle se mesure aussi au niveau de vie et à l’évolution de la démocratie. Pour vous la démocratie c’est sans doute un mandat présidentiel de 7 ans indéfiniment renouvelable? C’est ça la stabilité dont vous parlez?

  18. Ntchéyazo dit :

    Pourquoi tant de bruit de la part du pouvoir? Péan a demandé à Ali de faire le test ADN, et puis que dit-on des témoins vivants qui sont gabonais? Qu’on arrête de faire peur, on veut les preuves contraires à celles de PP et non des mots et des accusations.

  19. LE PEUPLE GABONAIS dit :

    C’est toi qui le dit manondzo. Moi je suis sûre qu’il aura quelque chose avant 2016. On vas Bouté ce Biafrais du pouvoir. Retiens seulement cette dans. Il va partir d’ici peu. S’il ne démissionne pas, il finira comme KABILA père.

    Attention, je sais de quoi je parles.

  20. EDBOUB dit :

    Non,j’hallucine vraiment !!!quelqu’un qui sait que son père adoptif ne voulait pas qu’il lui succède à la Présidence de la République, tous les gabonais le savaient, ce n’est un secret pour personne. Cet homme sans scrupules s’est quand même fait un faux acte de naissance pour se hisser à la tête de l’état.C’est vraiment grave! je ne vois pas comment les gabonais pourraient encore se sentir en sécurité dans leur pays avec un président menteur .

  21. Richard Mfoulou dit :

    Désolé les gars! Opposition, Emergents.. Ils sont tous en guerre. A la guerre comme à la guerre. Chacun manipule comme il peut depuis que ce livre est sorti.Chacun essaie de récupérer ce livre our garder le pouvoir ou essayer de l’arracher. Un seul perdant à la fin: Le Gabon et les Gabonais

  22. Jeanne dit :

    L’auteur de cette video? il se trouve a mon avis parmi le trio Anne-Marie Dworaczek Bendome, Vivien Pea et Michel Ogandaga. Ce sont ces 3 individus qui utilisent beaucoup le net pour defendre Ali. Ne vous fiez pas a la voix off car cette un piege pour detourner les soupcons sur la vraie identite de l’auteur de la video.

  23. Le citoyen libre dit :

    Jái signé cette pétition — pourquoi pas toi?
    A l’attention de: Secrétaire général des Nations unies
    Cette pétition est très importante et nécessite notre aide. Clique ici pour en savoir plus et signer:
    http://www.avaaz.org/fr/petition/Secretaire_general_des_Nations_unies/?kCGlHib

    19/11/2014 : 103 signatures. Atteignons 200

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