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Aide alimentaire : Noureddin Bongo s’associe à Marc Tchango à Port-Gentil
Au terme d’une période de trois mois au cours de laquelle il aurait consacré 60% de son salaire pour apporter une aide alimentaire aux populations vulnérables de la capitale économique, Marc Logan Tchango vient de bénéficier du soutien du Coordonnateur général des affaires présidentielles. Celui-ci s’est engagé à appuyer l’initiative qui devrait désormais se poursuivre jusqu’en décembre prochain.
Marc Logan Tchango distribuant lui-même des kits alimentaires à Port-Gentil, en avril 2020. © Facebook
Prévue s’achever cette fin juin courant, l’opération de distribution des kits alimentaires visant à soutenir les ménages les plus fragiles de Port-Gentil pendant la crise sanitaire du coronavirus est bien partie pour continuer. Son initiateur, Marc Logan Tchango, annonce sur sa page Facebook avoir reçu un soutien non négligeable de Noureddin Bongo Valentin, visiblement séduit par l’initiative du jeune cadre du Parti démocratique gabonais (PDG) qui n’en est pas à sa première action sociale dans la localité.
«Le Coordonnateur général des affaires présidentielles, qui s’ était par ailleurs déjà mobilisé en faisant distribuer à l’échelle nationale des denrées alimentaires au bénéfice des plus nécessiteux […] s’est engagé à supporter la poursuite de notre campagne sociale et solidaire en prenant à sa charge, jusqu’au 31 décembre prochain, l’achat de denrées supplémentaires afin d’alléger le poids social de cette pandémie pour nos compatriotes de Port-Gentil», informe Marc Logan Tchango pour qui l’engagement du jeune collaborateur du président de la République «est précieux».
Ainsi, au lieu des 3 mois annoncés lors de son lancement, la campagne initiée en avril par le jeune patron du Groupe Impact Environnement Gabon (IEG Holding) bénéficiera de 6 mois supplémentaires. Les équipes seront donc de nouveau mobilisées et envoyées sur le terrain jusqu’en fin d’année.
Il y a trois mois, en effet, Marc Logan Tchango s’était engagé à consacrer, un trimestre durant, 60% de son salaire à l’achat et à la distribution de kits alimentaires au profit des ménages fragiles de la capitale économique impactés par le Covid-19 à travers les mesures édictées par le gouvernement pour en limiter la propagation.
5 Commentaires
Vous entretenez la misère de nos compatriotes pour bien les maintenir dans la dépendance. je suis dégoûté, quand comptez-vous donc leur apprendre à pêcher au lieu de leur fournir momentanément du poisson? Chacun doit se battre pour avoir sa croûte, merde…
@medzomachin
et toi qu’est-ce que tu fais à part geindre et accuser ceux qui font réellement quelque chose ?
Vous volez l’argent du Gabon et vous voulez vous passer pour des gens généreux, qui est dupe? tous ces milliards que vous avez pris en si peu de temps auraient pu servir pour aider les gabonais à créer des PME de façon à s’auto-employer, puisque du fait de votre incompétence et votre cupidité l’Etat est exsangue et ne peut plus ni recruter, ni organiser des concours. Vous me demandez ce que je fais « à part geindre », je suis au chomâge avec une formation correcte, donc une compétence dont notre pays pourrait avoir besoin pour son développement. Trouvez du travail à vos compatriotes au lieu de les maintenir dans une situation de dépendance, après tout c’est le rôle des dirigeants que vous êtes …
@Ikobey,
ca fait 60 ans que « ceux »dont vous parler, « font réellement quelque chose », c’est à dire RIEN !!! et comme tous les faquins qui soutiennent l’incompétence, vous faites montre de mépris envers ceux qui ne pensent pas comme vous..
Medzomekoure a raison : apprenez aux gens à pêcher au lieu de leurs donner à manger pour les maintenir dans l’asservissement !!
Bref, emergents, pedegistes, vraiment des incompétents !!!
Donateurs du Gabon durant le Covid-19, bonjour ! Ce que vous faites est hautement louable et les bénéficiaires de vos bonnes œuvres vous en sont, sans doute, reconnaissants. Quant à moi, je pense que le vrai problème est ailleurs. En distribuant de la nourriture à la population, vous choisissez de faire plus simple et, peut-être moins coûteux : permettre à tous de ne pas souffrir de faim durant un petit instant. Je crois, pour ma part, que c’est demeurer surtout et d’abord en vie qui importe le plus. Car, après avoir épuisé la réserve de victuailles que vous offrez, les gens font quoi ? Mais les uns et les autres ont besoin, essentiellement, des kits de lavage des mains, de protection du nez et de la bouche. Vous auriez dû commencer par-là ; l’Etat aurait dû commencer par-là.