Lorsqu’on parle de pays émergents, on pense évidemment aux dragons asiatiques. Mais ça, c’était avant ! Car les véritables pays émergents aujourd’hui, ce sont les BRICs : Brésil, Russie, Inde et Chine. Le Gabon a-t-il raison de se fier à leur ascension fulgurante pour leur emboîter le pas ?
Durant les derniers jours de la semaine écoulée, des personnels de la SEEG, vêtu de combinaisons oranges, ont parcourus certains quartiers, maison par maison, accompagné de policiers antiémeutes en tenue de combat.
Vivre au Gabon sans connaître Pahé, c’est forcément une hérésie. Non pas l’aimer ou aimer ce qu’il fait, ce serait trop facile, même si certains ont la faiblesse de l’avouer… Non, détester Pahé, le maudire, lui en vouloir pour toutes les méchancetés qu’il fait à nos «grands kelkuns» nationaux ! Et pas uniquement à eux.
Alors que de nombreuses voix dénoncent l’usage abusif de l’huile de palme dans l’agro-industrie, parlant de risques sanitaires et de désastre écologique, le Gabon, par la voix de son ministre de l’agriculture, annonce vouloir devenir le 1er pays producteur d’huile de palme en Afrique. Une occasion unique pour faire le point sur le sujet.
Après une semaine mouvementée et des révélations fracassantes, Muddy Waters cherche un second souffle pour pousser Olam à la faute. Son rapport explosif n’a pas eu l’effet escompté auprès des actionnaires du géant singapourien qui a pu, pour le moment, conserver sa crédibilité sur les marchés financiers.
Si l’arrivée de la CNAMGS et quelques efforts visibles dans certains hôpitaux, comme l’Hôpital militaire, sont des avancées certaines pour la santé au Gabon, le problème de la santé publique dans son ensemble est encore trop souvent négligé, abandonné aux bonnes œuvres et le bilan reste désastreux.
Vivre à Libreville, c’est partager sa maison et son jardin avec un certain nombre d’occupants inévitables : les rats et les souris. Un de nos lecteurs nous a fait parvenir ce texte plein d’humour que nous ne pouvons nous empêcher de partager…
Alors que la réforme de l’État semble un passage obligé vers une société plus juste, plus productive et plus efficace, nécessaire à la politique prônée par la résidence et le gouvernement, elle ne se traduit dans les faits que par des proclamations et des rapports de séminaires, aussi inutiles qu’inappropriés. Ce que Fabrice Nfoule Mba, Chercheur à l’IRSH-Cenarest définit comme une approche «incantatoire».
La chasse aux scandales de tous bords, et accessoirement au scoop politique, a débouché la semaine dernière sur la parution dans le journal «Le Temps», journal à sensibilité politique opposée au pouvoir et considéré dans la profession comme sérieux, de documents qui attesteraient de dessous de table au travers de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba.
C’est à un terrible bras de fer que Mussy Waters Research vient de convier Olam avec la publication d’un rapport complet et violemment critique sur les choix économiques et comptables de l’entreprise singapourienne.