Selon des chiffres issus des enquêtes du ministère de la Santé, le Gabon compte 63 000 personnes vivant avec le VIH/sida et enregistre chaque année 2 000 décès causés par la maladie. Une situation effrayante pour les dirigeants de ce pays à faible population avec son petit million et demi d’habitants.
Après une dixième édition réussie, le promoteur de cet événement qui, est devenu l’un des rendez-vous de prédilection de musiques urbaines du continent et le plus prisé en Afrique centrale, Jules Kamdem a décidé de mettre le projet en veilleuse pour une durée qui reste inconnue.
La capitale gabonaise abritera, du 2 au 11 juillet, une formation sur l’évaluation des capacités phytosanitaires dans les pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC) et de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale (Cemac). Cette formation sera dispensée par un expert de la division droit et développement de la FAO pour ce qui concerne les modules destinés aux juristes et par un expert du secrétariat de la Convention internationale pour la protection des végétaux (CIPV). Ils seront assistés par un consultant international spécialisé dans la protection des végétaux.
La date de la très contestée rencontre entre le président gabonais, Ali Bongo Ondimba et son homologue français, François Hollande à Paris vient d’être annoncé par le porte-parole du palais du Bord de mer, Alain Claude Bilie Bi Nzé, lors de son désormais point hebdomadaire de la vie politique, économique et sociale du pays.
Dans sa lettre de protestation pour non-respect des normes démocratiques dans la mise en place de biométrie à des fins électorales, en sa deuxième partie du 29 juin, adressée au ministre de l’Intérieur gabonais, Jean François Ndongou, Maître Paulette Oyane-Ondo, relève le cynisme avec lequel, ce dernier traite la question liée à l’application de la biométrie de même qu’elle « s’interroge pour le moins sur le sens à donner à cette attitude troublante, d’autant qu’elle est itérative et confine par conséquent à du mépris ».
Médaillée d’or aux championnats d’Afrique d’athlétisme de Porto-Novo le 27 juin dernier, aux 100 mètres dames en 11″16, Ruddy Zang Milama, de plus en plus appelée «Zé» (panthère), a reçu les félicitations de l’ensemble du peuple gabonais à travers le président Ali Bongo.
À l’issue de ses séjours marocains et français en quête des voies et moyens pour booster la pratique du kick-boxing et des disciplines convergentes, le président fédéral, Éric Ella, est rentré au Gabon avec une abondance de partenariats et de conventions signés avec les dirigeants des fédérations de la discipline de ces deux pays.
Après des “vacances” de quatre mois, à l’issue de son remplacement à la tête du gouvernement gabonais le 27 février 2012, l’ancien Premier ministre gabonais, Paul Biyoghé Mba, renoue avec la gestion des affaires économiques et sociales du pays.
Les établissements financiers de la communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (Cemac) viennent de créer à Douala le Groupement interbancaire monétique d’Afrique centrale (Gimac), visant à améliorer l’accès aux services bancaires dans la région en facilitant leur accès et en réduisant les coûts d’utilisation à travers un système de retrait et de paiement par la carte à puce aux normes Europay Mastercard Visa.
Après avoir remporté sa série (11″33) devant la Camerounaise Delphine Atangana (11″86), le 27 juin dernier dans le cadre de la première journée des 18e championnats d’Afrique d’athlétisme, qui se déroulent jusqu’au 1er juillet 2012, au Bénin, la sprinteuse Gabonaise, Ruddy Zang Milama vient de décrocher l’or.