Un collectif de commerçants de la friperie a été reçu par le maire de Libreville le 22 février. La municipalité a laissé entrevoir que cette activité, interdite le 8 février, pourrait reprendre sous certaines conditions, notamment le respect du protocole sanitaire.

Le commerce de la friperie pourrait reprendre sous certaines conditions, notamment le respect du protocole sanitaire. © Sonapresse

 

La mairie de Libreville a décidé d’interdire le 8 février, la vente de la friperie dans les marchés, artères et carrefours de la commune, plongeant les acteurs de cette activité dans la précarité. Face à cette situation, un collectif de commerçants de la friperie a été reçu par le maire de Libreville le 22 février.

«Le maire s’est voulu ouvert et a reçu un chapelet de propositions à étudier et voir dans quelle mesure nous pouvons accompagner ces opérateurs qui pour la plupart sont des compatriotes, des jeunes étudiants», a déclaré sur Gabon 1re Edgard Nziengui Nziengui, 4e maire adjoint de Libreville. Cette rencontre sera étendue à d’autres acteurs du secteur.

Depuis l’interdiction du commerce de la friperie, les vendeurs n’ont reçu aucune forme d’accompagnement de la municipalité. Dans le contexte actuel, pas sûr qu’ils en reçoivent d’ailleurs. Conscient de cette situation, le maire de Libreville pourrait autoriser le commerce de la friperie, dans le strict respect du protocole sanitaire. Une issue qui satisferait toutes les parties.

 

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Eniga dit :

    Interdir cette pratique sur tout le territoire, envahissante et sale et encombrant, il faut encourager les tailleurs et les autres métiers de la mode avec lus de valeur ajouté.

  2. AHOULOU PIERRE dit :

    Je suis totalement d’accord avec vous .

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