Promettant d’offrir un cadre de travail «diversifié et inclusif qui ne laisse aucune place à la discrimination ou au harcèlement de quelque nature que ce soit», la directrice régionale Afrique du Fonds mondial pour la nature (WWF) informe que son ONG est toujours à la recherche de son directeur pays permanent au Gabon.

L’humoriste Omar Defunzu et l’entrepreneure Tamarah Moutotekema Boussamba, les deux nouveaux ambassadeurs du WWF au Gabon. © Facebook/WWF

 

Après avoir présenté en début mars de l’année courante l’humoriste Omar Defunzu et l’entrepreneure Tamarah Moutotekema Boussamba comme ses nouveaux ambassadeurs au Gabon, WWF poursuit activement la recherche de son directeur pays permanent. Dans un communiqué paru, mercredi 31 mars, dans le quotidien L’Union, Alice Ruhweza, la directrice régionale Afrique du Fonds a en effet assuré de la détermination de son ONG à poursuivre ses actions aux côtés des différentes structures nationales œuvrant comme elle dans la conservation de la nature, tout comme celle-ci se dit «fière de sa collaboration avec le gouvernement gabonais».

«En ma qualité de directrice régionale Afrique du WWF, je me suis engagée aux côtés de notre personnel dévoué à travailler avec le gouvernement pour aider à protéger la riche et unique biodiversité au bénéfice des populations gabonaises et de la région», rappelle Alice Ruhweza.

Au sujet du futur directeur du bureau du Gabon, la patronne régionale précise que son rôle sera plus que d’assurer une représentation du WWF dans le pays. Ce poste, dit-elle, «est la représentation du Gabon dans le leadership et la stratégie de WWF dans la région». Aussi, promet-elle que le Fonds est actuellement dans «un processus rigoureux et transparent qui mènera à l’identification des talents les plus qualifiés et les plus appropriés , pour la sélection finale d’un candidat qui s’appuiera sur les bases solides» établies par l’ONG.

Ni discrimination ni harcèlement

Si la directrice régionale Afrique indique que «le WWF est un lieu de travail diversifié et inclusif qui ne laisse aucune place à la discrimination ou au harcèlement de quelque nature que ce soit», c’est que, selon elle, l’ONG condamne fermement toute pratique de ce type. Aussi, précise-t-elle que le recrutement est géré au siège international du WWF à Gland, en Suisse.

«Nous tenons à rappeler que personne, même au sein du personnel du WWF Gabon, n’est en mesure d’influencer ou de décider du résultat du recrutement, d’autant plus qu’il est géré depuis le siège international du WWF et non au niveau du Gabon», écrit Alice Ruhweza.

 
GR
 

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