Depuis le 29 juin, l’Institut français du Gabon (IFG) accueille la première édition du Festival International de Danse de Libreville (Fesidal). Jusqu’au 2 juillet, des ateliers de danse, spectacles et échanges seront à l’honneur sous le thème «Danser nos différences».

Instantané de la prestation d’un groupe de danseurs lors du Fesidal. © D.R.

 

Organisé par l’Agence de danse en collaboration avec l’Institut français du Gabon (IFG), le Festival international de danse de Libreville (FESIDAL) s’est ouvert le 29 juin à l’IFG. Sous le thème «Danser nos différences», cette première édition du festival indiquent les organisateurs, affirme une nécessité de promouvoir l’inclusion des personnes en situation de handicap dans la société, et plus spécifiquement dans les domaines de l’art et la culture. «Ici, la danse invite à faire bouger les codes», disent-ils.

Selon la directrice du Fesidal, l’idée est de créer un cadre de travail adapté, consacré essentiellement à la danse pour la diffusion des œuvres mais aussi, de croiser des propositions artistiques nationales et internationales afin de créer des synergies pour étoffer le réseau danseur dans le monde. «Ensuite ce festival est fait pour le public. Pour disposer d’un espace de rencontres qui permettrait de répondre à une demande et de susciter des vocations chez les jeunes», a-t-elle ajouté. Au programme de cette rencontre qui s’achèvera le 2 juillet,  des ateliers de danse, conférences, performances en extérieur, spectacles et battles.

Des danses traditionnelles et urbaines gabonaises, en passant par le hip hop et la danse contemporaine, soulignent les organisateurs, le Fesidal regroupe des artistes gabonais et internationaux qui présentent leurs œuvres, échangent et partagent avec le public leur expérience et connaissance de la danse.

 
GR
 

0 commentaire

Soyez le premier à commenter.

Poster un commentaire