Depuis le décès du secrétaire exécutif de l’Union Nationale, aucun message de condoléances n’a été publié par le quotidien national. Une volonté assumée des responsables ? Notre confrère s’en défend.

© Gabonreview

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«Pourquoi aucune annonce, aucun avis de décès, aucun message de condoléances en rapport avec le décès d’André Mba Obame ne paraît dans L’Union depuis le 13 avril 2015 ?» Telle est la question que se posent plusieurs lecteurs du quotidien national ces derniers jours, alors que les colonnes du journal, notamment les pages réservées aux «avis et communiqués» en abondent, dont la plupart sont relatives au décès de Rose Francine Rogombé, survenu à Paris (France) deux jours plus tôt. Pour certains, notre confrère aurait délibérément choisi de ne pas publier les condoléances adressées aux familles politique et biologique d’André Mba Obame, du fait du positionnement politique de ce dernier. Pour d’autres, cette «censure» viendrait de la peur des dirigeants du journal de ne pas fâcher le président de la République. Une manière de préserver leurs postes, en somme.

Seulement, dans sa publication du 20 avril 2015, L’Union s’est montré plutôt surpris par cette «rumeur» relayée par un média de la place, dont le principal but serait de ternir son image et d’entacher sa crédibilité auprès des lecteurs. Si notre confrère a dit avoir relayé l’annonce du décès du secrétaire exécutif de l’Union Nationale, en y consacrant plusieurs pages, il affirme aussi n’avoir jamais interdit la publication des messages de condoléances. Au contraire, affirme-t-il, L’Union reste «ouvert à tous ceux désireux d’y faire paraître des messages de condoléances». Ainsi, la non-publication des messages de condoléances viendrait-elle des a priori au sujet de la ligne éditoriale du quotidien mis en cause ?

 

 
GR
 

26 Commentaires

  1. NDOSSY dit :

    Que tous ceux qui aiment ce pays arrête d’acheter ce journal, le contribuable dépense déjà assez pour les salariés qui y émargent c’est suffisant. Non seulement ce journal ne se reconnaît pas comme étant celui du contribuable, mais en l’humilie chaque jour, alors pourquoi continuer à dépenser pour ce chiffon?

  2. MINKO dit :

    AMO sera inhumé en terre GABONAISE …….Mais  » le Biaffrai ? »

  3. ya kiakia dit :

    Pourquoi pas une page spécialement dédiée aux condoléances dans Écho du, Nord et Faits Divers pour la disparition de AMO ? Beaucoup achètent l’Union pour lire Lybeck c’est tout

  4. wa makebe dit :

    NDOSSY,tu es ridicule toi,pour faire passer les condoléances à l’union il faut déposer un communiqué ,as tu fais une demande que l union à refusé de publié ? vous êtes un groupe bandits et vos hommes politique,l’alternance n est pour 2016.

    • ombouwoutou dit :

      « wa makebe » qui de toi ou « ndossy » est ridicule ? ce dernier voudrait faire comprendre à tous les contribuables qui aiment ce pays aimé avec grand A de ne plus dépenser leurs argents pour un torchon . A mon sens c.a.d un journale qui ne fait pas son travail correctement dans la partition des chose soite les informations opposition majorité dans tous leur sens sans parti pris. est-ce être dans le groupe des bandit que de la dire? et ceux qui déposent des faux papiers d’état civil sont quoi?

      • Bassomba dit :

        On ne parle de « torchon » d’un journal que si ses animateurs ne sont pas professionnels comme à « échos du nord », si tu essaies de rentrer à l’Union, il te faut avoir du bagage, demande à Moulenda, il t’en dira!

  5. Elé-Ayong dit :

    AMO ne vivra pas par l’Union, mais par le cœur serré des gabonais qui le portent effectivement. Mais si les biafrais et les dahoméens pouvaient se rendre compte que les pseudo gabonais qui sont à leurs côtés sont les plus hypocrites possibles, je crois fort bien qu’ils se raviseraient vis-à-vis d’eux, mais hélas!! aveuglés par la corruption et le pillage du pays. Un jour, le Gabon redeviendra lui-même, totalement dénué d’intrus et autres débris. Que deviendront les dirigeants de l’Union? Ce que la sagesse d’Albert Yangari a vu plus tôt, ils le verrons tard. wait and see.

  6. le polonium est un poison mortel dit :

    Enquête

    Le polonium est une substance que vous allez inhaler et qui va soit vous priver de sommeil pendant 2 ans, soit vous paralyser comme MBA OBAME André. Les effets dépendent du dosage.

    André Mba Obame tué à petit feu par des attaques mystiques et un redoutable un poison
    Le 12 avril dernier, après avoir passé une nuit agitée, l’opposant charismatique a été conduit à dans hôpital de Yaoundé, au Cameroun, où il séjournait depuis deux mois pour des soins. Dans la mi-journée, l’ancien ministre de l’intérieur charismatique est décédé. Il a tiré sa révérence après avoir longtemps vivoté avec une mystérieuse maladie.
    ANDRE MBA OBAME est tombé malade après l’élection présidentielle de 2009 dont il réclamait la victoire. Il s’est rendu en Afrique du Sud où il s’est fait opérer. Puis, il est parti pour la France et avant de retourner au Gabon. Sa santé ne s’était pas améliorée. C’est ainsi qu’il est parti de nouveau l’étranger à la recherche de la guérison.
    Pourtant lors de la campagne ayant précédé l’élection présidentielle, l’opposant se portait comme un charme. Le certificat médical joint à son dossier de candidature délivré pour la circonstance l’atteste. Il est allé à la pêche aux voix débordant d’énergie. Mais en Afrique du Sud, les médecins lui diagnostiqué une sciatique paralysante et hyperalgique.
    L’opération faite sur avis médical s’est bien passée et André Mba Obame est revenu au pays avec une béquille. Il a commencé à marcher sans celle-ci, retrouvant peu à peu ses automatismes. « Quand je lui ai rendu visite en 2013, je l’ai surpris en train d’écrire des SMS de ses deux mains à partir de son portable. Il a laissé sa béquille et s’est mis à marcher. J’ai voulu l’aider mais il m’a dit qu’il pouvait marcher sans l’aide de quelqu’un. Il m’en a fait la démonstration », a confié un autre proche d’Amo, relevant qu’il luttait contre des forces occultes.
    Les malheurs d’Amo ont commencé avec son discours à l’hôpital de Quiron de Barcelone, en Espagne, où était mort son mentor politique, Omar Bongo Ondimba, le 8 juin 2009. Son geste a été perçu par certains de ses anciens amis comme un crime de lèse-majesté et un rituel visant à prendre l’esprit du défunt pour accéder aux manettes de l’Etat. Son sort a été immédiatement scellé au cours d’une messe-basse tenue dans une résidence huppée.
    POISON ET SORTILEGES. A partir l’élection présidentielle du 30 août 2009, la vie d’Amo est devenue un enfer. Lors de son dernier meeting de campagne sur l’avenue Jean-Paul II, il a inhalé une substance enfoui dans le micro qu’il avait utilisé. C’était le poison qui allait bientôt le ronger. En même temps, des sortilèges ont été implantés dans sa piscine et dans son jardin pour le traquer au mieux et le neutraliser.
    La persécution spirituelle de l’opposant s’est intensifiée après l’élection présidentielle. En août 2012, soixante-cinq puissants marabouts ont été emmenés à Libreville pour conjurer le sort de la nouvelle bête politique en furie. Les maîtres spirituels ont été logés au Méridien Ré-Ndama, à Glass, dans le 4ème arrondissement de Libreville. Pendant plusieurs semaines, ils ont conjugué leurs efforts et gardé l’opposant dans leur viseur.
    Dans leur mission funambulesque digne d’un contre-feu, ils ont mis à contribution des personnes qui le connaissaient bien et qui accédaient à sa résidence sans susciter une quelconque méfiance. Tard dans la nuit, les maîtres spirituels allaient planter des sortilèges dignes de mines anti personnelles pour neutraliser leur cible. Ils ne se privaient pas d’infiltrer la foule pour se rapprocher de la cible.
    Le 25 août 2012, lors de sa première adresse au peuple gabonais, Amo a reçu le premier fusil nocturne. Ce jour-là, pendant qu’il s’adressait à la foule, il a eu la sensation d’une piqûre entre l’épaule droite et l’omoplate. Une douleur lancinante s’en est suivie pendant une quinzaine de secondes avant de se dissiper. Après le meeting, André Mba Obame est rentré chez lui, ne se doutant pas de l’effroyable menace qui pesait sur lui.
    Les jours suivants, ses proches ont constaté qu’il présentait des signes d’un affaiblissement. Le 28 août, il a reçu au niveau de la jonction de l’omoplate droite une puissante décharge dont la douleur était indescriptible. Celle-ci a, comme la première, a duré une quinzaine de secondes avant que l’opposant ne sombre dans une fatigue extrême. Le 29 août, tard dans la nuit, sa santé s’est considérablement dégradée.
    SERIE D’ATTAQUES MYSTIQUES. Dans la nuit du 30 au vendredi 31 août, les choses sont allées de mal en pis. Devant cette situation, les proches d’André Mba Obame l’ont transporté dans un état comateux chez des maîtres spirituels aux confins de Minvoul. Ces derniers ont révélé que l’ancien ministre de l’Intérieur avait été victime d’une série d’attaques mystiques.
    Des soins intensifs prodigués au patient ont permis aux sommités spirituelles de sauver in extremis ce dernier. Des substances assimilées à un poison virulent sont sorties de son organisme. Les sortilèges plantés dans sa piscine, autour de sa maison et dans le jardin ont finalement été déterrés, après les révélations d’une autre mère spirituelle venue s’enquérir de la santé d’Amo.
    Au départ, ce dernier a pensé qu’il s’agissait d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Mais deux examens médicaux réalisés au scanner dans deux établissements hospitaliers à Libreville n’ont révélé aucune trace d’AVC. « Comme il doutait des résultats du premier examen, il sa réalisé un deuxième examen. Mais les résultats étaient les mêmes : pas de trace d’AVC », a expliqué l’un de ses confidents.
    En 2013, André Mba Obame a quitté le Gabon pour plusieurs mois de soins médicaux à Tunis, la capitale de la Tunisie. Son exil médical l’a conduit à Niamey, au Niger, où il a séjourné jusqu’à son arrivée à Yaoundé où il suivait des soins. Il devait ensuite retourner en Afrique du Sud où il avait été opéré. Mais il est passé de vie à trépas pendant son escale à Yaoundé.
    MORTE LENTE. Outre les sortilèges, l’ancien ministre de l’Intérieur d’Omar Bongo Ondimba a été empoisonné. Il aurait inhalé un produit toxique appelé polonium, lequel aurait été importé d’un pays de l’Est, via l’Afrique de l’Ouest. La toxicité du polonium est tellement grande qu’on estime qu’il suffit d’en ingérer ou d’en respirer un millionième de gramme pour que la dose soit mortelle.
    Cette toxicité extrême alliée au fait qu’il n’existe aucun traitement connu pour l’évacuer de l’organisme en fait un poison imparable, mais dont l’utilisation paraît réservée à une organisation disposant de moyens importants.
    André Mba Obame aurait été empoisonné avec une dose moins élevée de microgrammes qui a finalement entraîné sa mort lente par irradiation interne, nonobstant les soins ininterrompus de l’un des meilleurs hôpitaux du monde. Une fois ingéré, le polonium est véhiculé par le sang et finit par s’accumuler dans les organes, principalement le foie, les reins et la moelle osseuse.
    Si la dose est assez importante, les organes vitaux arrêtent de fonctionner les uns après les autres, une situation aggravée par le fait que le système immunitaire est totalement détruit.

    • Bassomba dit :

      Montrez nous (copie) le résultat d’un des grands hôpitaux que le défunt a fréquenté à travers le monde qui signifie que c’est bien le Polonium qui est à l’origine de la déchéance physique jusqu’à la mort de AMO?

  7. IPANDY dit :

    Je pense également que c’est fait à dessein cette non publication des condoléances que les gens souhaitent adresser à la famille d’AMO. Je trouve ça très mesquin de la part du nouveau DG de ce médium. La mort est pour nous tous aujourd’hui il veut plaire au pouvoir en place demain il pourra avoir besoin de ceux qui sont dans l’opposition. Ses explications ne tiennent pas la route. Qu’il aille raconter ces inepties aux enfants qui viennent de naitre.

  8. Le Miroir de la petite émergence dit :

    Bien avant le décès de MBA OBAME, ce torchon d’informations ne relayait aucunes informations avérées en défaveur du régime de bananes en place!
    Arrêtez de vous faire passer pour ce que vous n’êtes pas!
    Vous faites honte au métier noble du journalisme.

  9. Ozavinoga77 dit :

    Je n’achetais ce torchon que pour la rubrique nécrologique et rien d’autre. Ce n’est plus un quotidien national, c’est un tract de propagande.

    Que Echos du Nord qui a su mettre sur le marché, « Echos des Faits Divers », nous édite « Echos nécrologiques ». Succès assuré!!!

    • Bassomba dit :

      Vous pouvez rêver, l’UNION est un quotidien, vendu et acheté très vite en journée, essayer de mettre « echos du nord » en quotidien, on rira, parce qu’ils n’auront jamais autant d’infos que L’union en a chaque jour! alors tais toi!

      • Ozavinoga77 dit :

        Je ne pense pas avoir fait de commentaire audio sur Gabonreview. Donc le « tais- toi » vous pouvez le garder pour vous!
        Vous ne profitez pas de l’éducation et des valeurs que vos parents vous ont inculquées. C’est bien dommage!
        Je vous invite à lire « Le Monde Diplomatique », vous feriez preuve d’un peu d’objectivité dans vos propos par la suite.
        Cordialement!

      • KIA dit :

        @Bassomba je ne sais pas combien on te donne pour faire le lèche-botte du pouvoir mais tes interventions sont tellement pathétiques que je me demande si vraiment tu es un gabonais. Soit tu es aveugle ou alors l’argent du pouvoir te rend complètement débile. Tu vis dans un rêve et crois moi le réveil sera très brutal. comment peux tu soutenir un régime qui fait trop de mal au gabonais que de bien? Sur quelle planète vis tu? parce que crois moi tu ne vis pas dans le même Gabon que nous.

      • moukouambo dit :

        vous savez , j’achète l’union depuis 20 ans; pour lire la page sport ,et lybek . et cher Bassomba c’est le cas de 50% des gens qui l’achètent. s’il n’y avait pas ces rubriques l’union pourrait avoir quelques soucis.

  10. Véracité dit :

    C’est assez scandaleux de constater l’absence de AMO dans l’UINON.

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