C’est pour répondre à cette question qu’Abdel Malick Fatimétou, présidente de Cités et gouvernements locaux unis d’Afrique (CGLU Afrique), a sollicité lundi l’expérience de Rose Christiane Ossouka Raponda, ancienne présidente de cette organisation.

Rose Christiane Ossouka Raponda et Fatimétou Abdel Malick, le 29 août 2022, à Libreville. Communication primature

 

En marge de la Semaine africaine du climat à laquelle elle participe, Fatimétou Abdel Malick s’est entretenue le 29 août, à Libreville, avec Rose Christiane Ossouka Raponda. La question du développement des pays du continent et l’avenir de Cités et gouvernements locaux unis d’Afrique étaient au centre des échanges entre les deux femmes. La présidente de CGLU Afrique a sollicité l’expérience de la Première ministre du Gabon, ancienne maire de la commune de Libreville et ancienne présidente de l’organisation régionale fondée en 2005 de novembre 2018 jusqu’à sa nomination au gouvernement en février 2019.

«Nous sommes venus demander son appui pour plusieurs interventions, aussi bien au niveau africain qu’au niveau de l’organisation elle-même, pour que les collectivités puissent désormais adhérer massivement à [CGLU Afrique] et pour que les collectivités, qui font face à des problèmes, soient accompagnées par les gouvernements», explique Fatimétou Abdel Malick, non sans féliciter la première autorité du pays, Ali Bongo Ondimba, pour son discours prononcé au cours de la cérémonie d’ouverture de la Semaine  africaine du climat le même jour. «C’était un grand discours. Un discours porteur d’espoir pour les collectivités locales et pour l’Afrique tout entière», apprécie-t-elle.

Pour sa part, Rose Christiane Ossouka Raponda a affirmé que «les collectivités locales ont un rôle majeur à jouer dans le développement de nos pays africains».

 
GR
 

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