Après la pause relative à la célébration de l’Aid el-Fitr, le 10 avril, les travaux en commission et sous-commission ont repris ce jeudi 11 avril au stade de l’Amitié sino-gabonaise d’Angondjé où se poursuit le Dialogue national inclusif. Pour cette reprise, les réflexions ont particulièrement été approfondies au sein de la sous-commission Emploi.

Monseigneur Jean Bernard Asseko Mvé faisant le point de la journée du 11 avril 2024. © D.R.

 

Au stade de l’Amitié sino-gabonaise d’Angondjé où se poursuivent les travaux du Dialogue national inclusif (DNI), a indiqué le porte-parole du DNI ce jeudi 11 avril, après la pause relative à la célébration de l’Aid el-Fitr, le 10 avril, les travaux au sein des commissions et sous-commissions ont repris «avec le même dynamisme». Au sein des ateliers, les questions liées à l’Emploi ont particulièrement fait l’objet des réflexions approfondies. Dans le pays, les contributeurs à ce DNI ont globalement estimé concernant la question de l’emploi que le chômage est important du fait de «l’absence d’une réelle politique d’emploi».

Si pour renverser la tendance ils ont fait plusieurs suggestions allant de la promotion de l’auto-emploi à la création d’un fonds d’aide à la création des entreprises, l’atelier sur l’Emploi a bouclé avec la question de l’auto-emploi. Selon monseigneur Jean-Bernard Asseko-Mvé, cet atelier a ouvert des réflexions sur l’accès à l’emploi, la réinsertion professionnelle, la protection sociale des salariés et les mécanismes d’accès rapide des jeunes à l’emploi. «Ils se sont aussi penchés sur le point d’indice», a indiqué le porte-parole du DNI.

Selon qui, dans la même sous-commission emploi, le groupe qui débat des modifications à apporter au Code du travail s’est appesanti sur les mesures à mettre en œuvre pour répondre aux sollicitudes des citoyens gabonais. Concernant cette question, les contributeurs pointaient du doigt un Code du travail inadapté et favorisant clairement l’emploi massif des étrangers en proposant entre autres, de réviser les conventions collectives. C’est donc logiquement que dans la poursuite des travaux, les commissaires ont orienté leurs réflexions sur des aspects spécifiques.

Notamment, la convention sur la passation des marchés, les conventions collectives, l’emploi de toute personne vivant avec un handicap ou encore le recrutement de la main-d’œuvre étrangère. À côté de la sous-commission Emploi, a fait savoir Jean Bernard Asseko Mvé la sous-commission infrastructures a débattu de la localisation et de la faible capacité de l’aéroport de Libreville. «Elle a également réfléchi sur les questions de navigation fluviale et lagunaire», a-t-il dit faisant le point de la journée.

 

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Jean Jacques dit :

    Ou comment le problème du chômage, le pays c’est une maison vous enfants, seulement que vous l’argent les 3 autres restent sans rien, c’est ce qui se passe au Gabon les revenus des richesses du pays qui devraient être partagés ÉQUITABLEMENT avec les 2millions d’habitants, mais si c’est Bongo ou leon MBA qui a eu cette idée FOLLE DE PAYER LES POLITICIENS Députés, sénateurs, ministres,DG,président des institutions des SALAIRES ABSOUDRES,qui pénalisent un grand nombre des jeunes il faudrait fixer tous ses salaires à 1500.000.du président de la république jusqu’au Députés .le pays aura beaucoup d’argent dans la caisse de l’état pour créer les postes budgétaires.
    Insérer les stages obligatoires à partir de la classe de 4ème ,2fois par semaine et Instaurer une bourse stage.

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