Le ministère de l’Education nationale a menacé de sanctionner les établissements scolaires qui reprendront les activités pédagogiques avant la rentrée des classes, prévue le 9 novembre.

Les établissements qui reprendront les activités pédagogiques avant la date de prévue pour la rentrée des classes, s’exposent à des sanctions pouvant aller jusqu’à la fermeture définitive. © bing.com

 

Le ministère de l’Education nationale a brandi le bâton. Les établissements scolaires qui reprendront les activités académiques avant la date de la rentrée des classes fixée par la tutelle, risquent gros.  «Toute violation des dispositions légales expose les contrevenants à des sanctions administratives pouvant aller jusqu’à la fermeture définitive des établissements», a prévenu l’Inspecteur général des services du ministère de l’Education nationale, le 15 septembre sur Gabon 1re.

Nicole Nzaou Rékati a rappelé à cette occasion que la rentrée administrative aura lieu le 26 octobre, tandis que la rentrée des classes est prévue le 9 novembre. «Exception faite aux établissements scolaires en règle avec la législation en vigueur au Gabon et liés par une convention avec des organismes extérieur tels que l’AEFE , la MLF ainsi que ceux régis par un programme international, aucun autre établissement n’est autorisé à commencer toute activité pédagogique», a-t-elle précisé.

Par ailleurs, Nzaou Rékati a rappelé aux promoteurs d’établissements privés laïcs qui ne se sont pas encore fait identifiés, qu’ils sont invités à prendre attache avec l’Inspection générale des services en vue de la régularisation de leurs situations administratives respectives. «En conséquence, les fondateurs doivent prendre toutes les dispositions légales nécessaires à l’ouverture et fonctionnement d’un établissement d’enseignement privé», a-t-elle conclu.

 
GR
 

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