Libreville abritera les 23 et 24 juin 2021 le premier événement hybride du pays sur la transition énergétique. Il s’agit d’une plateforme de réflexion réunissant les opérateurs existants et futurs de l’industrie gazière, de nouveaux investisseurs et prestataires de services ainsi que les membres du gouvernement.

L’avenir de gazier du Gabon en débat du 23 au 24 juin 2021 à Libreville. © D.R.

 

La principale plate-forme mondiale d’investissement dans l’énergie qui sert à la fois les nations et l’industrie de l’énergie (IN-VR), en partenariat avec la Task Force Gaz de la présidence gabonaise, organise du 23 au 24 juin le «Gabon energy transition 2021» ; premier sommet de la transition énergétique entièrement axé sur l’avenir du gaz, de l’énergie et de l’électricité du Gabon.

«Le Gabon crée de nouvelles opportunités industrielles, car il accélère activement leur transition énergétique, en investissant dans de nouveaux projets et technologies de GNL, dans le but de remplacer le charbon et de produire de l’énergie avec moins d’émissions de gaz à effet de serre», assurent les organisateurs.

Conçu sous le format hybride, cet événement rassemblera pendant deux jours, plus d’une dizaine d’experts et conférenciers et plus de 200 participants en ligne et en présentiel, au tour des thématiques sur la réduction du torchage ; le stockage, le transport et distribution ; le financement et fiscalité ; le comptage et bilan en matière de gaz ; les risques sur l’impact social et environnemental du projet gaz ; les normes pour les équipements gaz et types de compteur ; la réglementation et gouvernance ; le négoce de carbone.

L’objectif à l’issue de cette rencontre est de produire une feuille de route pour l’avenir gazier du Gabon, le prochain plan directeur gazier du pays, en plus de développer et d’optimiser l’exploration et la production d’hydrocarbures du pays.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. diogene dit :

    «Le Gabon crée de nouvelles opportunités industrielles, car il accélère activement leur transition énergétique, en investissant dans de nouveaux projets et technologies de GNL, dans le but de remplacer le charbon et de produire de l’énergie avec moins d’émissions de gaz à effet de serre», assurent les organisateurs.

    Des centrales à charbon ? Nous produisons du fuel pour l’échanger contre du charbon ?

    Les organisateurs payés quelques centaines de milliers d’euros auraient pu lire leur dossier…
    A moins qu’un copier coller avec insertion du mot Gabon est servi de document !

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